L’ALGÉRIE PEUT-ELLE BRÛLER SOUS LES YEUX DE L'ONU COMME LA SYRIE, PAR SUITE DES MAUX DU POUVOIR BOUTEFLIKA !
La sécurité en
Algérie est-elle mise sous la loupe onusienne par des recommandations
préventives ? Il faut dire qu’on s’y emploie tant bien que mal à cette sensibilisation, tandis que c’est toujours RDS
(Rengaine Dissimulation Syndrome) en gouvernance sécuritaire coté pouvoir algérien.
Par opposition au RPS (Renfort Patriot
Système) marocain, avec grande volonté de rester fidèle à sa ligne de fidélité à l'Afrique. Au sens où beaucoup de diplomates onusiens notamment africains
ne sont plus comme auparavant animés par le remplissage du panier des
contrevérités à son égard. Pour cela ne peut-on dire d’emblée, qu’ils
s’y sont auto restaurés en s’instaurant une nouvelle conduite dans un autre
maillage de rencontres onusiennes d’intérêt pour lui ? Car ils sont convaincus que le
pouvoir boutaflikien n’a réussi à faire apparaître que chimères sans lendemain dans les relations entre pays africains. S'additionnant aux douleurs dans les camps
des séquestrations à Tindouf à Rabouni et ailleurs, de par son jeu conflictuel de diplomatie
sournoise induisant la communauté internationale surtout africaine dans l’erreur.
Mais pourquoi ces diplomates l'ont-ils fait maintenant ? N’est-ce parce qu’ils savent que le Maroc a acquis
une importance particulière dans le contexte mondialisé marqué par sa recherche
du sérieux via son offre d’autogestion depuis 2007 dans la sécurité et le
respect de tous les droits ? Et qu’évidemment pendant plus de dix sept
ans, ce pouvoir algérien n’a pu rien améliorer en matière des modèles
prédictifs pour l’embrouille Rabat-Alger suite aux événements tragiques d'Atlas-Asni à
Marrakech 1995. N’ayant pas pris en compte, ni la capacité du Maroc à pouvoir
vivre sereinement fièrement sans l’ouverture des frontières, ni même ses appels
à l’évitement de l’exposition du Maghreb aux risques associés à l’obturation
des canaux de coopérations sécuritaires objectives. Néanmoins, ledit
sérieux n'est-il labellisé du sceau Maroc s’accompagnant de la thématique de vigilance bien illustrée sur le terrain en interne et en externe ? Ne se voit-il déjà dans la mise en place d’une véritable politique de prise en
charge prioritaire de chantiers divers, à l'exemple du New deal de développement structurant au Sahara marocain ? Contrairement à l’Algérie qui
traverse une phase d’inquiétude aiguë voire dangereuse, sans aucune vision optimiste sur l'avenir. Dont dépend évidemment aussi la levée de barrières psychologiques, en marge de la campagne
internationale onusienne de sensibilisation au danger terrorisme-nihilisme. Autrement, c’est
en quelque sorte d’une révision structurelle institutionnelle dont l'Algérie a
besoin, afin de pouvoir prendre au sérieux les recommandations onusiennes ayant
pour objectif de remédier à ses maux pléthoriques. Et ce, d'abord pour qu’elle puisse
s’en sortir en évaluant leurs impacts et répercussions sur son image, puis pour ne plus s’engouffrer dans les méandres
des lobbyings de pression à propos des enjeux géostratégiques liés aux particularismes politiques régionaux.
C’est vrai, aujourd’hui
plus qu’hier, l’Algérie est otage de ce pouvoir qui cherche à dissimuler les
repères de sa descente aux enfers au vu du concentré d'informations non dénuées de complexité. Non seulement par des délires incroyables comme leurres,
s’ajoutant aux expressions des haines en interne entre gens qui lui gravitent
autour. Mais aussi par les rancunes surréalistes montrées en externe et montées
en rengaine vis-à-vis des voisins surtout le Maroc. Par conséquent, un travail sérieux
visant à améliorer les états socio économiques financiers culturels sécuritaires
et politiques de l’Algérie, serait soutenu de tout le peuple marocain. Notamment
s’il n’y a derrière ni entrave d’accès à la démocratie participative, ni
dilapidation des richesses gazières et pétrolières en faveur du Polisario et
encore moins d’insouciance sur les acquis et perspectives de la vraie construction du Grand Maghreb stable sécurisé et rayonnant. Une sorte de clarification des positionnements des hommes et femmes politiques en Algérie, particulièrement vis-à-vis du Maroc par l'évaluation du fil des événements passés et actuels en tant que support pour la vision politique d'un avenir serein.
Et oui, en ces
temps de grands chantiers onusiens sur la sécurité de par le monde, c’est ça l’Algérie
d’aujourd’hui où tout un chacun peut voir que le torchon brûle entre la Présidence l'Armée et les Moukhabarats ! Ce qui augure d’instabilité d’après tous les observateurs et aussi des
personnalités et non des moindres, tels Mouloud Hamrouch le labellisé Liamine
Zeroual-dépendant, Mohamed Mediène alias Taoufiq ex patron du DRS l’anti Said
le bienheureux frère du président-légume et Khaled Nezzar ex Chef d’État-major
des armées devenu conventionnement sans conteste anti Boutaflika. Parce qu’au vu du ton dans leurs sorties
médiatiques, séparément chacun dans son coin en outrepassant le droit de réserve, ils n’ont
fait que distiller leur dissidence light avec ou sans controverse. Sauf que ce fut
fait dans un tumulte journalistique relayé de moquerie sur leurs propos, du
fait que le postulant de demain à la présidence de l’Algérie n’a que faire de
leurs bulles, qui d'après son entourage elles rappellent seulement à faire des enrobages juridictionnels dans
l’affaire du Général Hassan. Dès lors que dénoncer le fait de tailler des costumes d’incompétence pour règlement de compte, ne faisait partie de leur ligne-besogne à eux aussi. Ne l'avaient-ils pratiqué séances tenantes, surtout pour jeter en pâture voire
dans les oubliettes des geôles les résistants à leurs harcèlements indignes quand ils étaient aux affaires ?
En ce sens, est-ce que cet
élu bienheureux à Ksar Lamradia ne cherche-t-il ainsi à marquer son terrain et à les déranger eux aussi, en plus des réticents du moment dans l’Armée et les frondeurs au sein du DRS
(Département du Renseignement Sécuritaire) ? Pour lui, n’est-ce pas que
tout doit rester nickel pour la suite de sa besogne, qui serait certainement peinte à la fois d’allégations à la Boumediene et de rêves de toujours dans les tons boutaflikiens
anti Maroc ? En tout état de cause, et c’est le moins que l’on puisse
imaginer, peut-être verrons-nous d’autres tours encore plus graves dosés de
controverses diplomatiques par les nostalgiques du statu quo. Tout simplement
pour contrarier d’éventuelles attitudes ajustées d’équilibrisme et non jonglage, par les réalistes qui savent pertinemment que le Maroc est bien décidé à
maintenir tous ses avantages. Et que ça ne sert à rien de continuer à le provoquer,
même sur des chaines de télévisions étrangères en exposant des
théories-compromissions mettant en cause ses services. Comme ce qui fut honteusement fait en Tunisie la blessée, n’ayant ajouté que flou et brouillage dans l’enquête sur les dysfonctionnements
sécuritaires, par suite à l’attaque terroriste du bus de transport de
la garde présidentielle à presque deux pas du ministère de l’Intérieur.
N’est-ce même très grave d’en arriver à cette bassesse de maltraitance du Maroc, ne contribuant aucunement à l’amélioration du
climat politique au Maghreb ? A bon suiveur bonne lecture !
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