ARRÊT SUR IMAGES DU
MAROC GRANDISSANT VITE PAR SA TRIPLE ACTION (RIA) RÉGULATION-INTENSIFICATION-ACCÉLÉRATION !
C’est bon pour
le moral, l’efficacité de la DST en interne et DGED en externe du Maroc, est
désormais sans ambages reconnue à l’international. Formant par l’impact global d’activation
du marché du renseignement ciblé spécifique, un rempart de résistance au
terrorisme-nihilisme et une école de résilience-production pour protection des souverainetés
marocaines, en l’occurrence territoriale économique culturelle cultuelle et
diplomatique. Effectivement, lors de l’inauguration du nouvel édifice imposant
du Bureau Central d’Investigations Judiciaires (BCIJ) à Salé, on pouvait en
voir l’amorce d’une mise en place d’un programme de décloisonnement des
renseignements pas n’importe comment. Aussi, le renforcement des infrastructures
de la DST, semble aller bon train au vu du budget conséquent alloué à la
réalisation et à l’équipement d’unités modernes sécurisées et efficaces selon
le découpage des 12 régions s’inscrivant dans la durée. Ce qui permettra de
corriger les retards d’intervention, par souci de sécurisation des champs et d’instauration
de climat propice pour d’éventuelles négociations le cas échéant.
Cependant,
autant le crier fort, lorsqu’un renseignement n’est pas exploité en
intervention anti terroriste au quotidien du fait de sa courte demi-vie, ça
donne l’occasion à la terreur de s’installer subitement. A cet égard, au Maroc
le partage du renseignement en matière de lutte anti terroriste n’est
aucunement un acte anodin. Il est d’emblée toujours de valeur ajoutée à une
situation, à l’exemple de celui désormais connu partout dans le monde grâce à un
dépistage spécifique méticuleux et professionnel des services marocains. Ayant aidé
et de quelle manière, d’abord à éviter d’autres conséquences plus graves voire cauchemardesques
de ce qui se préparait par Abdelhamid Abaoud, ce gros poisson daechiste notoire
à l’origine des attentats du 13 Novembre 2015 à Paris. Puis, à la prise en charge
précoce et efficace par le Raid et BRI français, de ce commando terroriste à
Saint-Denis en région parisienne dont tout un chacun en connait l’issue. Ce qui
démontre hélas, que la prévalence du partage du renseignement sécuritaire en
Europe est faible sinon parfois inexistante. D’où même des effets adverses dans
cet espace UE, sont décelés dans l’approche d’accueil des migrants. Car en
effet, n’ayant pas mis en place un cadre organisationnel lisible et
opérationnel adapté non seulement aux contraintes des risques d’infiltration
des jihadistes, mais aussi à la formalisation des droits de l’homme en supplétif
des aides aux réfugiés.
C’est ainsi que
les analyses des fils d’actualités formelles invasives et informelles discrètes
du monde du renseignement au Maghreb, montrent qu’il y a un constat différentiel
de puissance et confiance pour le Maroc, désordre et incertitude pour l’Algérie
et observance-souffrance en silence pour la Tunisie. C’est aussi pour cela, alors
que le pouvoir algérien actuel est en plein marché déprimé par suite à son
aveuglément dans sa chasse politico-diplomatique aux mirages, au Maroc on continue
à avoir des idées pour le vivre ensemble et pour l’émergence socioéconomique et
écologique. Et/ou s’entremêlent les éléments de la triple action (RIA), primo l’objectivité
dans la Régulation du cultuel et du partage du renseignement sécuritaire
stratégique, deuzio la correction dans l’Intensification de la
bonne gouvernance socioéconomique culturelle et écologique et tertio la détermination
dans l’Accélération du développement structurant tout azimut.
De ce point de
vue, par ailleurs, quand est-ce les ennemis résiduels du Maroc chasseront alors
leur schizophrénie pour éviter leur perte ? Face au terrorisme pléthorique
et aussi face aux effets de l’anxiété et la dépression sociétale menant crescendo
aux demandes séparatistes. Ne savent-ils que leurs marchés politiciens sur le
dos du Maroc, sont bel et bien en voie d’être définitivement fermés partout ? Du
fait que leurs séances à la criée mensongère sont frappées de sinistrose, sur
fond du ras-le-bol et non confiance de la communauté internationale vis-à-vis d’eux.
Malheureusement, même avec ça, ils continuent dans le déni des réalités en s’agrippant
à leurs diatribes et vociférations ouvertement anti Maroc, notamment de la part
du trio (A.V.AS) l’Algérie le Venezuela et l’Afrique du Sud. Sauf que, il n’en
demeure pas moins que leurs agitations sont aussi plombées d’une diminution en
largesse-corruption et offrandes de toutes natures envers d’autres pays ayant longtemps
bénéficié de leurs sucrages, mais commençant aujourd’hui à changer de fusil
d’épaule par réalisme même tardif.
D’ailleurs, depuis
le début de l’année 2015, tous les marqueurs politiques du marché du
renseignement anti Daech à l’international, ont subitement simultanément cédé
du terrain en faveur du Maroc. Par suite aux grondements daechiens ici et là, dont
toutes les instances internationales en ont fait enregistrer des déceptions pour
ne pas dire des colères vis-à-vis du pouvoir algérien et vénézuélien pour ne
citer qu’eux. De ce fait, seul le Maroc est considéré maîtrisant la situation
avec une expertise d’analyse indéfectible et technicité d’intervention par
anticipation hors normes. Dès lors que ses services de renseignement qui
effectuent un travail d’observance très rapprochée, en ont bouleversé les cycles
des réinitialisations des cellules dormantes daechistes sur tout le territoire
national. Et ce, dans un environnement régional potentiellement tumultueux en référence
à l’échelle des valeurs onusiennes en matière de sérieux de coopération et de
partage de renseignements probants anti terroristes.
En résumé, pourquoi
beaucoup d’Etats européens et pas des moindres, montrent un engouement vers l’approche
cultuelle-sécuritaire du Maroc ? Ne commencent-ils déjà à repenser leur
vision vis-à-vis du Maroc par la révision de leur grille d’analyse, en sortant
de leurs tabous et handicaps structurels parfois idéologiques mis à nus ?
C’est vrai que l’impact du calendrier de l’offensive diplomatique marocaine, a
aidé à montrer non seulement la qualité indéniable de son bilan notable anti
terrorisme. Mais aussi, ses perspectives à effets d’entrainement en Afrique et
ailleurs, malgré l’attaque sanglante et meurtrière de l’hôtel à Bamako au Mali
du 20 Novembre 2015. A cet égard, fini le temps des faux engagements dans la
lutte anti terroriste, dès lors qu’aucun pays fut-il grand ne peut vivre sans
traitement prioritaire des causes de ce cancer redoutable. A bon suiveur bonne
lecture !
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