samedi 21 novembre 2015

UNE NOUVELLE VISION DU MONDE DU RENSEIGNEMENT SUR LE MAROC !

ARRÊT SUR IMAGES DU MAROC GRANDISSANT VITE PAR SA TRIPLE ACTION (RIA) RÉGULATION-INTENSIFICATION-ACCÉLÉRATION !       

       C’est bon pour le moral, l’efficacité de la DST en interne et DGED en externe du Maroc, est désormais sans ambages reconnue à l’international. Formant par l’impact global d’activation du marché du renseignement ciblé spécifique, un rempart de résistance au terrorisme-nihilisme et une école de résilience-production pour protection des souverainetés marocaines, en l’occurrence territoriale économique culturelle cultuelle et diplomatique. Effectivement, lors de l’inauguration du nouvel édifice imposant du Bureau Central d’Investigations Judiciaires (BCIJ) à Salé, on pouvait en voir l’amorce d’une mise en place d’un programme de décloisonnement des renseignements pas n’importe comment. Aussi, le renforcement des infrastructures de la DST, semble aller bon train au vu du budget conséquent alloué à la réalisation et à l’équipement d’unités modernes sécurisées et efficaces selon le découpage des 12 régions s’inscrivant dans la durée. Ce qui permettra de corriger les retards d’intervention, par souci de sécurisation des champs et d’instauration de climat propice pour d’éventuelles négociations le cas échéant.

       Cependant, autant le crier fort, lorsqu’un renseignement n’est pas exploité en intervention anti terroriste au quotidien du fait de sa courte demi-vie, ça donne l’occasion à la terreur de s’installer subitement. A cet égard, au Maroc le partage du renseignement en matière de lutte anti terroriste n’est aucunement un acte anodin. Il est d’emblée toujours de valeur ajoutée à une situation, à l’exemple de celui désormais connu partout dans le monde grâce à un dépistage spécifique méticuleux et professionnel des services marocains. Ayant aidé et de quelle manière, d’abord à éviter d’autres conséquences plus graves voire cauchemardesques de ce qui se préparait par Abdelhamid Abaoud, ce gros poisson daechiste notoire à l’origine des attentats du 13 Novembre 2015 à Paris. Puis, à la prise en charge précoce et efficace par le Raid et BRI français, de ce commando terroriste à Saint-Denis en région parisienne dont tout un chacun en connait l’issue. Ce qui démontre hélas, que la prévalence du partage du renseignement sécuritaire en Europe est faible sinon parfois inexistante. D’où même des effets adverses dans cet espace UE, sont décelés dans l’approche d’accueil des migrants. Car en effet, n’ayant pas mis en place un cadre organisationnel lisible et opérationnel adapté non seulement aux contraintes des risques d’infiltration des jihadistes, mais aussi à la formalisation des droits de l’homme en supplétif des aides aux réfugiés.

       C’est ainsi que les analyses des fils d’actualités formelles invasives et informelles discrètes du monde du renseignement au Maghreb, montrent qu’il y a un constat différentiel de puissance et confiance pour le Maroc, désordre et incertitude pour l’Algérie et observance-souffrance en silence pour la Tunisie. C’est aussi pour cela, alors que le pouvoir algérien actuel est en plein marché déprimé par suite à son aveuglément dans sa chasse politico-diplomatique aux mirages, au Maroc on continue à avoir des idées pour le vivre ensemble et pour l’émergence socioéconomique et écologique. Et/ou s’entremêlent les éléments de la triple action (RIA), primo l’objectivité dans la Régulation du cultuel et du partage du renseignement sécuritaire stratégique, deuzio la correction dans l’Intensification de la bonne gouvernance socioéconomique culturelle et écologique et tertio la détermination dans l’Accélération du développement structurant tout azimut.  

       De ce point de vue, par ailleurs, quand est-ce les ennemis résiduels du Maroc chasseront alors leur schizophrénie pour éviter leur perte ? Face au terrorisme pléthorique et aussi face aux effets de l’anxiété et la dépression sociétale menant crescendo aux demandes séparatistes. Ne savent-ils que leurs marchés politiciens sur le dos du Maroc, sont bel et bien en voie d’être définitivement fermés partout ? Du fait que leurs séances à la criée mensongère sont frappées de sinistrose, sur fond du ras-le-bol et non confiance de la communauté internationale vis-à-vis d’eux. Malheureusement, même avec ça, ils continuent dans le déni des réalités en s’agrippant à leurs diatribes et vociférations ouvertement anti Maroc, notamment de la part du trio (A.V.AS) l’Algérie le Venezuela et l’Afrique du Sud. Sauf que, il n’en demeure pas moins que leurs agitations sont aussi plombées d’une diminution en largesse-corruption et offrandes de toutes natures envers d’autres pays ayant longtemps bénéficié de leurs sucrages, mais commençant aujourd’hui à changer de fusil d’épaule par réalisme même tardif.

       D’ailleurs, depuis le début de l’année 2015, tous les marqueurs politiques du marché du renseignement anti Daech à l’international, ont subitement simultanément cédé du terrain en faveur du Maroc. Par suite aux grondements daechiens ici et là, dont toutes les instances internationales en ont fait enregistrer des déceptions pour ne pas dire des colères vis-à-vis du pouvoir algérien et vénézuélien pour ne citer qu’eux. De ce fait, seul le Maroc est considéré maîtrisant la situation avec une expertise d’analyse indéfectible et technicité d’intervention par anticipation hors normes. Dès lors que ses services de renseignement qui effectuent un travail d’observance très rapprochée, en ont bouleversé les cycles des réinitialisations des cellules dormantes daechistes sur tout le territoire national. Et ce, dans un environnement régional potentiellement tumultueux en référence à l’échelle des valeurs onusiennes en matière de sérieux de coopération et de partage de renseignements probants anti terroristes.


       En résumé, pourquoi beaucoup d’Etats européens et pas des moindres, montrent un engouement vers l’approche cultuelle-sécuritaire du Maroc ? Ne commencent-ils déjà à repenser leur vision vis-à-vis du Maroc par la révision de leur grille d’analyse, en sortant de leurs tabous et handicaps structurels parfois idéologiques mis à nus ? C’est vrai que l’impact du calendrier de l’offensive diplomatique marocaine, a aidé à montrer non seulement la qualité indéniable de son bilan notable anti terrorisme. Mais aussi, ses perspectives à effets d’entrainement en Afrique et ailleurs, malgré l’attaque sanglante et meurtrière de l’hôtel à Bamako au Mali du 20 Novembre 2015. A cet égard, fini le temps des faux engagements dans la lutte anti terroriste, dès lors qu’aucun pays fut-il grand ne peut vivre sans traitement prioritaire des causes de ce cancer redoutable. A bon suiveur bonne lecture !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire