DÉSORMAIS, LA PROBLÉMATIQUE DES CONCOURS AU MAROC EST POSÉE AVEC ACUITÉ, POUR ÉVITER LES COUACS LES MANIPULATIONS ET LES TRICHERIES.
Au Maroc, l'année 2022 aura été marquée par l'offensive diplomatique tous azimuts, l'exploit sans précédent des Lions de l'Atlas en coupe du monde au Qatar et les couacs inaccéptables de certains ministres dans la gestion de leurs départements augurant la lessiveuse prochaine. Ainsi, aujourd'hui les projecteurs de l'actualité sont braqués sur les résultats incompris par tous, concernant le concours d'accéssion au métier d'avocat. D'ailleurs, la controverse des medias et réseaux sociaux au Maroc et de par le monde s'est encore attisée si ce n'est envenimée après la conférence et la préstation mediatique du ministre tutellaire Abdellatif OUAHBI. En cela, elles sont devenues handicapantes pour lui, alors qu'il avait l'illusion que tout ce qu'il entreprend pour soi-disant transformer le monde de la justice au nom des réformes recevait sa justification par les dernières élections législatives. Là même où son parti le PAM s'était classé deuxième pour que lui et ses amis proches accėdent aux maroquins dans le gouvernement AKHANNOUCH.
En effet, les prétendues réformes de OUAHBI sans concertation ni compromis au préalable n'ont aucune chance d'aboutir. Elles pourraient même devenir des facteurs destructeurs inéxorables du monde judiciaire, par manque de confiance en lui. Les blocages vécus et grèves du zel de ces derniers temps faisant foi, du fait du conservatisme corporatiste à tout bout de champ dans le système juridictionnel marocain. Qu'au demeurant, sans être médisant, est considéré par les marocains comme l'apanage de quelques excentriques notoires qui, aussitôt, à chaque tiraillement déclenchent des répercussions facheuses au dépens des justiciables et autres. Mais, pourquoi montrent-ils une passion démesurée et un suivisme pas modéré détruisant les envies de justice rapide équitable ? Vraiment, il est temps que le monde judiciaire sorte du superflu des gueguerres entre ses diverses composantes et envers la tutelle. Il y va de la notoriété de la JUSTICE du pays avec ses principales caractéristiques reconnues jadis comme étant premières dans les préoccupations des gouvernants et du grand public.
En revanche, si de telles conditions venaient à se réaliser, ce sera la fin des manipulations et des tricheries dans les concours au sein de toutes les composantes du système judicaire marocain et pas seulement. Voilà pourquoi dans l'attente de son débarquement du gouvernement, le ministre Abdellatif OUAHBI doit se taire et sortir de ses extravagances logorréiques blessant la conscience des gens. Surtout les pauvres qui n'ont que leur dignité, alors que le chômage fait de leurs enfants diplomés les premières victimes des corrections par ordinateur. Et/où, la main du programmeur peut choisir délibérement après tripatouillage prémédité, seulement les enfants de l'élite priviligiée et des nantis. D'autant plus, même si les marocains toutefois ont vite appris à vivre avec l'automation et ses conséquences, ils savent ce que ça pourrait entraîner comme dégâts par les manipulateurs. Aussi, ce n'est nullement un état de dénigrement du progrés, mais un attachement à garder la main sur sa triomphante marche pour ne laisser les soi-disant crésus de ce temps l'enlaidir par la corruption voire la souiller par népotisme. À bon suiveur, bonne lecture !
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