vendredi 13 janvier 2023

QUE SE PASSE-T-IL ENTRE LE MAROC ET LA FRANCE ?


JUSQU'À PREUVE DU CONTRAIRE EMMANUEL MACRON N'EST PAS PERSONA NON GRATA AU MAROC.


      Emmanuel MACRON est-il vraiment intérdit de visite officielle au Maroc ? Il faut dire que oui à ce jour. Même si, il peut y séjourné à titre privé quand il veut, sans que personne ne lui dise d'où il vient ni où il va. Tellement, la sécurité est exemplaire étant devenue avec le temps la force authentique du Maroc de Tanger à Lagouira et de Oujda à Safi. Aussi, quand Brigitte MACRON avait dit de son mari de président qu'il est honnête, elle parlait en fait de l'incompréhension des français à son endroit même l'ayant réinvestis pour un deuxième mandat. Et bien, on peut l'affirmer comme quoi le durcissement très net des marocains envers lui le jugeant pas du tout honnête mais filou. N'est-ce, cela qui a entraîné la dégradation pour ne pas dire la suspension des relations préférentielles du Maroc avec la France ? Autrement dit, c'est la fermeté du Maroc de n'accépter aucun compromis ni diktat de la France sur le Sahara, pouvant le forcer de choisir l'orientation de la pensée d'Emmanuel MACRON retouchée par la DGSI-DGSE dans ce conflit préfabriqué.


       On parle là, du nouveau Maroc de sa propre jouissance d'autonomie décisionnelle constamment renforcée par les nombreuses crises diplomatiques vécues après l'arrivée d'Emmanuel MACRON à Élysée. Certes, il ne s'agit pas de simplement montrer de ce fait les exploits diplomatiques marocains face à beaucoup de pays de l'UE, mais plutôt de promouvoir les dernières Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU sur le Sahara marocain. Notamment, grâce à l'offre d'autonomie 2007 dans la régionalisation avancée incarnant la fiabilité la viabilité la réalisation et donc la solution de ce conflit qui n'a que trop duré. En effet, par ses faux pas, Emmanuel MACRON s'imisce machiavéliquement dans la balance diplomatique Rabat-Alger. Parce que, craignant du côté des "Kabranates" vert-kaki les peurs des désordres ambiants augmentant les risques de désintegration de l'Algérie tebbounienne qu'il maltraite à chaque occasion. Voilà pourquoi dans son interwieu au POINT il a écarté la possibilité d'une guerre ouverte Maroc-Algérie dont dépend la stabilité régionale. Sans omettre aussi, qu'il n'est pas disposé à faire de déclaration mémorielle de repentance vis-à-vis des algériens et du régime militariste de Ksar Almouradia d'Alger. En tout cas, il a essayé d'oublier l'ambigüté totale de sa version sur le rapprochement avec le Maroc sans dire un mot sur une quelconque visite officielle. Évidemment, jusqu'à preuve du contraire il n'est pas persona non grata au Maroc. À bon lecteur, bon  décryptage !

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