lundi 24 mai 2021

PEDRO SANCHÈZ, BEL ET BIEN SUR SA FIN POLITIQUE.


DES INTERROGATIONS DE LA DGED ET LA DGST ENCORE SANS RÉPONSES SUR LE RÔLE DE PEDRO SANCHÈZ DANS LA CRISE RABAT-MADRID.
 


       Pedro SANCHÈZ le premier ministre espagnol est aujourd'hui reconnu comme l'initiateur de cette crise pour une poignée de petrogazo-dinars en guise de soutien à la thèse séparatiste du Polisario. D'ailleurs, ne l'avait-il, auparavant, montré au moment des éléctions législatives 2012 en tant qu'observateur pivot de la lignée démocrate d'obédience obamaéenne en connivence avec la gauche caviar, le parti Justice et Bienfaisance et les Pjidiste zélés du MUR. Par sa farouche contrariété à la monarchie marocaine qui, par ailleurs, en ce temps présent le montre insignifiant dans son poste de premier ministre. D'autant qu'il est décrié par beaucoup d'espagnols de tous les rangs qui contestent son action mal calculée, même étant averti de ne pas s'aventurer contre les intérêts vitaux du Maroc par les servives de renseignement extérieurs espagnols. Contrairement à la raison gênante du vieillard Javier SOLANA l'ex-ministre des Affaires Étrangères espagnol et de l'UE, ne souhaitant qu'il soit disqualifié pour ça et donc obligé de rendre le tablier. Sans se soucier de l'effervescence qui est à son comble en Espagne, faisant apparaître la prise de conscience chez certains et inculquer chez d'autres l'idée que Pedro SANCHÈZ voulait imposer au Maroc de déstructurer lui-même la reconnaîssance de son Sahara par les USA. Un nons sens politico-diplomatique, pour soi-disant les beaux yeux de l'Espagne allant à contre-courant des idées du moment au sein du Conseil de Sécurité de l'ONU à propos de l'offre marocaine d'autonomie 2007. 


       C'est dire que Pedro SANCHÈZ en accord avec Angela MERCKEL, veulent d'une part détruire les relations priviligiées Maroc-UE. Et, d'autre part, continuer à lancer leur foudre subliminalement sur la France, le Royaume-Uni, la Turquie, la Russie la Chine et surtout les USA. D'ailleurs, chose que Pedro SANCHÈZ doit savoir vu le contexte du déroulé de cette crise, tous ces pays n'acquiésseront plus sans objection au double langage de l'Espagne vis-à-vis du Maroc. D'abord, en refusant expressément de lui donner raison, alors qu'il a surtout voué ses turpitudes à aider les Généraux vert-kaki grabataires et séniles algériens contre le Maroc. Puis, on peut le dire sans résérve, l'alliance stratégique USA-Maroc convient à en étendre ses obligations pour stopper net, le double jeu de l'Espagne envers le voisin du Sud outre détroit Gibraltar. Autrement dit, l'Espagne raciste conquérante et colonisatrice n'a pas sa place dans la chronologie événementielle de l'UE au vu des interrogations de la DGED et DGST encore sans réponses sur le rôle de Pedro SANCHÈZ dans la crise Rabat-Madrid. Dont, Nasser BOURITA sur LCI BFM EUROPE1 et Karima BENAYCHE sur une TV espagnole, en ont montré avec brio les défaillances et leurs conséquences de l'acceuil d'un hors-la-loi en Espagne. Comprendront, ceux qui pourront ! À bon suiveur, bon décryptage !

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