EN LANGAGE ONUSIEN, IL N'EST PLUS POSSIBLE ENCORE, DE PARLER DE FERMETURE DE LA DIPLOMATIE MAROCAINE AVEC SOI-DISANT DES ANGLES OBSTINÉMENT ANTI ESPAGNE ET ANTI ALGÉRIE.
Aujourd'hui, l'on peut dire, les marocains se sont familiarisés avec les victoires diplomatiques parce qu'ils ont donné à la question du Sahara des réponses spécifiques hautement stratégiques. Ce qui signifie que la diplomatie marocaine s'est fixée l'objectif bien plus dans l'explication de l'historicité du conflit que dans les figures guerrières créées par KADHAFI et BOUKHAROUBA. De sorte qu'on puisse, à présent affirmer, les diplomates marocains ont appris à expliquer avec dextérité les idées de l'offre d'autonomie 2007 munie de propositions en interne. Et ce, dans l'attente de l'implication de Staffan de MISTURA le nouvel envoyé spécial pour le Sahara sans abstractions codées à la Horst KÖHLER. Dont, évidemment, on en espère trouver chez-lui au cas où le Maroc approuve cette nomination, des synonymes dans le langage pouvant lui offrir l'avantage de cerner, du même coup, les différences que l'Algérie et l'Espagne présentent par hypocrisie et rancœur contre la nouvelle approche diplomatique de Nasser BOURITA sur le terrain. En effet, autant le dire sans réserve, le monde entier sait que le Maroc par sa fermeté, il montre qu'il a hâte de voir l'Espagne choisir sans jeu ni espièglerie entre lui et Brahim GHALI. En plus, le faisant avec détermination sans complêxe et sans se soucier du soutien des Généraux à leur protubérance-chimère.
Ainsi, au lieu que l'Espagne et l'Algérie continuent d'aborder leur différend avec le Maroc sous l'angle du pourquoi elles ne pèsent plus rien dans la balance des valeurs de l'ONU, ne doivent-elles se poser des questions sous l'angle du comment, lui, a-t-il obtenu de tels résultats partout dans le monde ? Autrement dit, il en a fini avec la diplomatie de stéréotypage, abordant des points de vues par des angles incompréhensibles. D'ailleurs, pour savoir de manière très précise ce qu'il en est aujourd'hui, il faut prendre en compte la terminologie adoptée pour la reconnaissance de Donald TRUMP de la souveraineté totale du Maroc sur son Sahara. D'autant plus, il est clair que l'attitude de Joe BIDEN implique, de la bouche du Secrétaire d'État Antony BLINKEN, beaucoup plus qu'une simple ressemblance avec celle indiquée et tracée par le DEA le Pentagone et la CIA à son prédécesseur en faveur de la marocanité du Sahara. Dont, le Conseil de Sécurité de l'ONU en appréciera, qu'on ne le veuille ou pas après six mois, l'unique manière de sortir de l'impasse et faire admettre son caractère axiomatique non négociable à l'Algérie et à l'Espagne. Comprendront, ceux qui voudront ! Cela étant, la question qui se pose actuellement, n'est-ce de savoir en quoi le refus de l'offre d'autonomie, aiderait l'Algérie et l'Espagne de sortir du scandale d'État dont elles sont empêtrées par le faux et l'usage du faux pour exfiltrer le criminel Brahim GHALI ? Donc, l'enseignement à tirer de ce traquenard c'est qu'il s'agisse de combinaison d'actes irrésponsables de vouloir protéger un recherché de justice, que par ailleurs n'a fait qu'inverser la donne à leur dépens. Preuve en est le tollé médiatique de par le monde et aussi les mises en cause notamment de l'Espagne au sein du parlement européen.
En fait, l'acceptation de l'offre marocaine d'autonomie, au demeurant, annonçant la fin de la récréation des lobbyings porteurs en termes déjà connus de la pensée contraire, sera l'une des pierres angulaires de la solution définitive à ce conflit qui n'a que trop duré. Voilà pourquoi, le Washington Post dans son hostilité remarquée au Maroc, a sorti les marroniers du temps de Barack OBAMA. Et ce, pour convaincre l'administration BIDEN à assigner un sens de respect des droits humains au symbole de la reconnaissance du Sahara marocain. Sachant, pertinamment, que les carottes sont cuites même en poussant à la faire dépourvue de toute garantie sans relaxation des journalistes emprisonnés soi-disant arbitrairement. N'est-ce là, un chantage déguisé, dont tout un chacun constatera, effectivement, qu'ils ne sont pas représentatifs de situations concrètes d'atteintes aux droits de l'homme. En cela, Joe BIDEN n'est nullement l'endormi par les mensonges des ennemis du Maroc, mais le battant pour sa souveraineté totale sur son Sahara. Tout compte fait, à ce propos, n'est-ce à travers les impressions que laissera Nasser BOURITA dans sa prestation face à l'AIPAC le 06-07 Mai 2021, que les choses s'éclairciront au-delà des clivages politiques ? Bien évidemment, il n'est pas possible de prendre autre chose que l'engagement du Maroc qui va de l'avant, comme réalité par ses projets structurants colossaux de Tanger à Lagouira. À bon lecteur, bon décryptage !
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