vendredi 3 novembre 2017

LE SATELLITE MOHAMED VI ''A'', N'EST-CE LE BOUQUET DE LA VICTOIRE DE L'INTELLIGENCE LA PERSÉVÉRANCE ET LA CONSTANCE ?

SI LE MAROC NE DÉCOLLE PAS AVEC TOUT CE QU'IL ENTREPREND EN MATIÈRE D'INNOVATION TECHNOLOGIQUE, C'EST QU'IL Y A ANGUILLE SOUS ROCHE...?

       En pratique du renseignement civil et militaire, aborder l'arrosage voire la couverture du satellite Mohamed VI ''A'' de la région MENA Sahel subsaharienne africaine pourrait paraitre une question délicate pour quelques uns. Alors, pour une meilleure compréhension de ce sujet relatif à la sécurité du pays en ce temps des festivités de célébration de la Massira (Marche Verte 06 Novembre 1975), il sera proposé un ensemble de notions pratiques, desquelles l'UE et ses partenaires méditerranéens espèrent relancer une coopération d'éveil et de veille avec le Maroc. Et ce, sans entrer ni dans les détails des besoins ni dans la technicité très développée et encore moins dans les éléments de composition de ce satellite côté épiage et surveillance. En cela, n'est-ce d'emblée l'on peut dire, les fiches pratiques élaborées pour les initiés montrent des préparations dans le plus grand secret des intervenants, pour parer à l'absence et défaillance dans cette sous-région minée par les conflits le terrorisme la contrebande et l'immigration clandestine ? Non seulement dans la diversification des objectifs à atteindre, sachant pertinemment que des discussions très serrées de l'UE se poursuivent avec le Maroc en guise de collaboration adaptée avec lui. Mais aussi dans l'organisation adéquate pour faire de la région MENA une zone de paix et de prospérité, en contrecarrant le rôle perturbateur de l'Algérie et son avorton le Polisario, qu'au demeurant ne souhaitent aucunement la promotion du grand projet d'alliance des civilisations. 

       Maintenant c'est vrai, le porte-parole de la base de Kourou en Guyane française a indiqué que le lancement du satellite Mohammed VI ''A'' pour le renseignement le développement et la recherche n'est pas négociable avec quiconque. A cet effet, à l'entendre, on se serait cru, déjà, aux premières loges de cet événement qui aura lieu le 07 Novembre à 22h 40mn dans la salle de contrôle relookée pour la circonstance en un plateau de focalisation sur le Maroc, par des invités de marque de divers horizons. Ce qu’évidemment marquera, sans équivoque une étape critique dans ce choix stratégique du Maroc, se basant sur un code de bonne conduite selon des processus de maturation technicienne de haute performance. Tout cela, pour conditionner son avenir parmi la quarantaine de pays se positionnant dans ce domaine, primo par l'acquisition rapide de cette technologie en satisfaisant ses besoins d'investigation, et secundo en imposant des règles communicatives sérieuses dignes de foi en matière de qualité et quantité informationnelle dans la région dans plusieurs domaines.  D'ailleurs, n'est-ce ainsi, le Maroc se verrait-il, si tout va bien, en possession de garantie concrète par la réalisation des cycles des 500 photos/24 h et d’enrichir ses propres analyses en matière d'environnement de climat de sécheresse de navigation maritime et aérienne de protection-minute de ses télécommunications et défenses de ses frontières. Bref, il se positionnera, qu'on ne le veuille où pas comme un pays leader avec l’Égypte et l'Afrique du Sud en cartographie civile et militaire de haute définition et résolution en Afrique. En rappelant que toute cette logistique se fera en territoire marocain près de Rabat, par des techniciens nationaux triés sur le volet pour raison de sécurité. 

       En effet, on peut d'ores et déjà confirmer que la vision royale depuis 2001 au moment du lancement du premier satellite de petite portée jusqu'à ce jour, le poids géostratégique du Maroc a augmenté. Tellement son volume géopolitique est devenu conséquent se reconnaissant influent dans le monde, tout en s'adaptant à l'évolution du développement tous azimuts. Car, chemin faisant, il a pris conscience de sa place surtout en zone Euromed, et en Afrique que par ailleurs la marche du Roi Mohamed VI depuis son intronisation en a présenté une abondance diplomatique-relationnelle illustrant d'un coté le rôle du Maroc dans la mémoire des indépendances des pays africains. Et, de l'autre, le profilage de son émergence actuelle moderniste par l'accompagnement du codéveloppement Sud-Sud d'égal à égal avec tous les pays qui le souhaitent. Comme ça, ce ne sont ni les diatribes du pouvoir Boutaflika ni les gesticulations des lobbys et autres ennemis qui l'en empêcheront d'aller de l'avant dans cette dynamique de l'intelligence, se voulant être une véritable radioscopie de l'état de conscience du Maroc pour relever ses défis aux multiples facettes. D'ailleurs, n'est-ce là où l'on s'aperçoit qu'il est en constance effervescence socioéconomique écologique culturelle cultuelle et sécuritaire, en plus le faisant avec détermination face aux chuchotements et réserves des ennemis de l'intérieur, qu'incroyablement continuent leurs stratagèmes des compilations de publications tendancieuses ici et là à l'endroit de leur propre pays. 

       Aussi, outre leurs chroniques frôlant l'insolite parce que mêlant contrevérités mensonges et faux-témoignages sur le Net et réseaux sociaux, le Maroc n'a jamais cessé de s'ouvrir à l'investissement. Convaincu qu'il s'agisse d'atypiques historiettes caractérielles décousues à son vis-à-vis, ne pouvant laisser les vrais patriotes indifférents sans réagir et donner de bonnes leçons à quiconque veuille soigner son image auprès des ennemis de l'étranger sur le dos des marocains. A cet égard, n'est-il déjà requis des contributions civiles et militaires communes détaillées précises et chiffrées avec le Nigeria l’Éthiopie et les pays de la CEDEAO, vu leur rôle essentiel dans le suivi de réalisation des projets stratégiques sensibles dans le cadre des partenariats gagnants-gagnants et la coordination entre les différents intervenants ? D'autant plus, si avec tout ça le Maroc ne décolle pas pour de bon, c'est qu'il y a anguille sous roche dans la gouvernance à l'Exécutif, dont il faudra authentifier les manquements et sévir illico presto par un autre séisme structurel politiquement parlant. Sans donner l'impression d'une provocation de seulement une tremblote éphémère, sorte de continuité à véhiculer la tolérance amère qu'elle soit envers des décideurs incompétents dans les postes décisionnels. Et, donc, pour le gouvernement Othmani en finition sélective, tout en détaillant les atouts du Maroc moderne en Afrique, n'est-ce le temps pour lui d'exprimer sa volonté de conjuguer les efforts du Roi pour le grand boom entamé par les accords de partenariats avec l'Afrique ? A bon entendeur, salut !

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