lundi 16 octobre 2017

TANT PIS POUR ALGER, RABAT EN TERMES DE CE QUI EST SA CONSTANCE NE S’EMPÊCHERA D'APPLIQUER L'AUTONOMIE AU SAHARA MAROCAIN.

A CE PROPOS, L'AUTONOMIE AU SAHARA MAROCAIN EST AUSSI LE POSTULAT DE CONSERVATION DE L’INTÉGRITÉ TERRITORIALE DANS LA RÉGIONALISATION AVANCÉE POLITIQUEMENT VIABLE ET ÉCONOMIQUEMENT DURABLE.

       Le monde entier sait que de Feu Houari Boumedienne au président absent Abdelaziz Boutaflika, la machine politique du pouvoir pour contrarier le voisin de l'Ouest est restée essentiellement la même. Notamment dans les prises de position comme dans l'attitude par manque de clairvoyance et d'intuition, dont l'élément invariant c'est la haine du Maroc. D'ailleurs, dès 1964 la certitude en était acquise, et chaque nouveau événement au Maghreb et en Afrique en apportait la confirmation. Pire encore, ce pouvoir n'a eu de cesse à ce jour que d'essayer de rendre cette invraisemblable invariance, réplicative à l'UA à la LA et à l'ONU. Sans y parvenir heureusement, au point que c'est lui qui vit aujourd'hui dans le désarroi n'arrivant toujours pas à sonder les pensées du Maroc ni à le faire changer d'avis. Comme ça, l'on peut dire, sa capacité de nuisance et à répandre les mensonges et contrevérités autour de tout ce que fait le Maroc dans son Sahara, a lamentablement échoué. Toutefois, n'est-ce là l'une des forces du message en subliminal du discours royal du 13 Octobre 2017 devant les parlementaires, assurant et démontrant avec élégance diplomatique comme quoi le Maroc créera un ministère des affaires africaines ? D'où, concrètement sur le terrain à l'UA, se dégage déjà sa volonté à passer à l'effectivité rapide de la régionalisation avancée politiquement viable et économiquement durable.

       Oui, aujourd'hui, toute l'Afrique voit en cette assurance inébranlable de créer ce ministère, une réorganisation diplomatique exécutive sous-forme de commando en bon ordre pour dépasser les frustrations du passé. Une façon pour le Maroc de maitriser le temps de réactivité par des dispositifs d'alertes et de continuer à atteindre ses objectifs de codéveloppement par les partenariats stratégiques gagnants-gagnants Sud-Sud. En ce sens, il faut le rappeler sans ambages, c'est un souhait d’engrangement d'une mécanique diplomatique allant jusqu'au freinage des turpitudes du pouvoir Boutaflika. Et donc, de ne plus se soumettre à ses invectives dénuées de sens, dans ce qu'il considérait son territoire et son empire, tellement, il s'en était convaincu ne jamais se voir s'en déloger. Le retour triomphal du Maroc à l'UA fin Janvier 2017 au Sommet d'Addis-Abeba, faisant foi. De fait, que ce pouvoir ne s'étonne point que le Maroc-diplomatique ne le laissera embobiner les africains en se prétendant l’État humble et sur, pour l'avenir du continent. Alors même que c'est la peste qui se cache derrière ses machinations, n'augurant rien de bon en matière de mise au pas de l'UA par ses comportements totalitaires d'un temps révolu. Voilà pourquoi, le Maroc de par son expérience cumulée à l'ONU veut mettre fin à cette problématique par une fournée de diplomates à poigne femmes et hommes, qu'en effet sont le produit de la symbiose évolutive dans la battisse chellaéenne à Rabat. A l'évidence, n'est-ce là, où l'on apprécie l'approche différentielle que porte le dernier discours du Roi du Maroc Mohamed VI, par laquelle, on l'espère, s'exprimera la réalité du génie marocain dans les futures actions séquentielles à orientations ciblées pour contrecarrer à tout moment les digressions des ennemis.

        Il est de notoriété publique que l’État algérien est surnommé à l'international le pouvoir roublard. Car, il ne s'illustre pas par sa présence en ON dans les Sommets symposiums et rencontres dont en souffrent ses supporteurs lobbyistes, mais seulement  en OFF par son jargon diplomatique dépassé par les événements. Autant le dire avec clarté, bientôt le Maroc s'en sortira de la balance de la jalousie algérienne en passant à l'application de son offre d'autonomie. Même si, c'est vrai, il faut s'attendre à d'autres machinations de roublardises pour maitrise médiatique, qu’éventuellement annonceraient d'autres invariances tues jusqu'à présent. Parce que, rentrant dans la stratégie du pourrissement via utilisation de mystérieux boucliers dans le cadre du plan perfide mijoté par Christopher Ross avant son départ à l'exemple du fédéralisme repoussant les frontières. Mais, là où le bât blesse, pourquoi ce pouvoir ne sait-il pas que cette voie ne serait une adaptation fonctionnelle à l'offre d'autonomie au Sahara marocain ? N'est-ce pas, dans ce contexte très particulier elle serait une modification du processus adopté par le Conseil de Sécurité de l'ONU dans ses Résolutions, en l'occurrence celle 2351 fin Avril 2017. En conséquence de quoi, pour ne plus prolonger ce genre de confusion et tendre encore la tension avec le pouvoir algérien jusqu'à la limite, il est demandé à nos diplomates de rester sur la mobilisation en multipliant les interventions et explications de la portée du vote de la 4-ème Commission en faveur du renforcement de l'offre marocaine dans la régionalisation avancée. Au sens où cela fut l'un des thèmes centraux des débats au sein de cette Commission, confirmant qu'aujourd'hui le fonctionnement des décideurs Ouyahya-Messahel-Laamamra-Cherqui et Gaid Salah et leurs relais, a fait psitt. En plus, rendant compte de leur incapacité d'anéantir la normalité du leadership marocain à l'ONU, qu'au demeurant tous les intervenants en ont appelé et justifié à la fois la réalisation et la technostructure de la thèse marocaine.

       De fait, on peut certes se demander si tout ce temps, toutes les invariances à plusieurs composantes qui constituent la trame du discours de l'équipe Boutaflika par rapport au Sahara marocain ne sont-elles que des fictions ? D'autant plus, qui se substituent à la réalité pour en donner une image par la tromperie rhétorique et mesquine spécifiant une relation qui alimente l'invariance dans son positionnement anti Maroc. Parfois, allant jusqu'à penser par compromission avec le Polisario, qu'il existe une soi-disant identité sahraouie extrêmement mythique incompatible avec l'idée de la marocanité opérationnelle dans l'offre d'autonomie 2007 dans la situation géographique du Maghreb. Tellement, l'on en perçoit que ce pouvoir haineux s'y trouve encore mal à l'aise, face à la raison incompressible et à la détermination irrépressible de l’État-Maroc qui continue de prendre de plus en plus d'étoffe politique à l'international. Et bien que les choses soient claires, et tant pis pour Alger, l'exemple le plus frappant dans ce genre d'avance perfide c'est la Kabylie, où il est facile de voir la formulation de l'indépendance avec ou sans dédifférenciation politique et socioculturelle. Sans oublier que ce cas, vient d’être mentionné et revendiqué officiellement par Mr Mehanni à l'ONU, notant que son statut a été profondément biaisé par les totalitaires dictateurs du FLN au moment de la proclamation de l'indépendance de l'Algérie en 1962 après les accords d’Évian qui ont mis fin à la guerre. Comme ça, tout un chacun, saura que ce pouvoir n'y pourra rien changer à la vision du Maroc unique unitaire et indivisible, dans son principe usant de la matrice constitutionnelle comme l'ont prouvés les processus électoraux à chaque occasion. A bon suiveur, bonne lecture !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire