dimanche 8 octobre 2017

UN VENT NOUVEAU A L'ONU PAR LA PASSION LA VOLONTE ET LE POUVOIR DU MAROC DE GAGNER.

APRÈS TANT D’ANNÉES DE MANŒUVRES DU POUVOIR ALGÉRIEN, N'EST-CE LE MOMENT PROPICE POUR L'ONU DE PASSER A LA RÉALISATION DE L'OFFRE MAROCAINE D'AUTONOMIE ?

       Tancée savonnée presque humiliée, l'Algérie sait que désormais le vent tourne en faveur du Maroc qui est resté fidèle à sa manière de susciter l'espoir constructif pour la réalisation de son offre d'autonomie 2007 en vue de la stabilité et la sécurité de la région. Contrairement à elle, toujours dans sa logique de sape des efforts de l'engagement du Conseil de Sécurité de l'ONU par ses Résolutions sur le Sahara marocain, qu'effectivement, chemin faisant, la Communauté Internationale est devenue accro à la vision marocaine de gagner tous les défis pour toute l'Afrique. En tout cas, c'est ce qui ressort en filigrane des débats à la 4-eme commission de l'Assemblée Générale de l'ONU des droits de l'Homme la concernant, se trouvant par ailleurs dans ses retranchements acculée dos au mur. Comme ça, à propos de ses manœuvres diplomatiques louches diaboliques voire belliqueuses vis-à-vis du Maroc, elle n'est plus un modèle de gain de confiance dans une ONU en pleine mutation, surtout dans les conditions d'écoulement de l'information plus fluide. Désormais, tous les pays voient en la posture qui n'a que trop duré de cette Algérie ankylosée xénophobe, qu'une immense souffrance qu'elle endure n'écoutant pas leurs conseils de s'y résoudre à la réalité. Tous, aujourd'hui se posent la question, qu'y a-t-il vraiment sous le flou de son positionnement pour ne pas dire le voile de sa sédition en continu contre le Maroc ? A cet égard, il est exact qu'au sein de l'UA, plus de 44 pays africains s'opposent à la fois à cette façon de faire par ses gesticulations à haut risque dans le dossier du Sahara marocain et aux aboiements de son avorton enragé le Polisario. 

       Pourtant, au Conseil de Sécurité de l'ONU, à ce jour il n'est de véritable offre qu'une seule, celle d'autonomie 2007 dans la régionalisation avancée qui porte l'espoir de la politique de la transformation que vivent les 03 régions (Dakhla Oued Eddahab-Laayoune Saqui Al Hamra- Guelmim Oued Noon). En revanche, pour le Maroc, il s'agit de tout entreprendre pour assurer une meilleure assimilation de son offre par le nouveau envoyé spécial l'allemand Horst Kohler, et rendre, toutefois sa faisabilité aisée. D'ailleurs, c'est à cette seule condition que ce dernier avec l'aval du Secrétaire Général Antonio Guterres, pourrait jouer le rôle qui est le sien dans l'aménagement politique de cette donnée que le monde entier qualifie sérieuse courageuse viable et facilement exécutable sans encombres. Évidemment, cette préoccupation ne saurait se réaliser sans la poursuite du programme ambitieux en infrastructures relatif à la vision royale pour le développement tous azimuts de ces 03 régions. En l'occurrence, la mise en effectivité de la déconcentration-décentralisation et la prise des mesures attractives et incitatives par l'aménagement des territoires dans la sécurité absolue. Et ce, en ports et aéroports, axes routiers et autoroute, unités de dessalement d'eau de mer et adduction d'eau potable, électrification et domestication des énergies renouvelables, Hôpitaux Universités Grandes Écoles et promotion de la formation professionnelle qualifiante adéquate pour améliorer l'accès au travail, etc...

       Parallèlement, il faut, rappelons le, faire en sorte que Ramtane Laamamra et ses amis au soi-disant comité de médiation auprès du Secrétaire Général de l'ONU, ne puissent continuer leurs perfidies de tirer le dossier du Sahara marocain vers ce que l'on pourrait appeler la ''privatisation'' pour le compte de Shissano et ses sbires au sein de l'UA. En effet, heureusement qu'à ce niveau, la diplomatie marocaine et la société civile ont la charge de l'explication partout dans les chancelleries les forums les symposiums et toutes autres plateformes, la portée historique juridique et politique de l'offre d'autonomie 2007. Tant du point de vue de son organisation structurée bien ficelée dans le cadre de la régionalisation avancée, dont les grands axes de production de l'équité socioéconomique sont l'application de la transparence dans la gestion territoriale l'encouragement de l'investissement et la clarification de la garantie de l'Etat-Maroc. Non seulement pour sa promotion renforcée porteuse d'avenir de prospérité et de quiétude pour toute la population, mais aussi pour sa régulation institutionnelle sereine sécurisée. Cependant, une fois tout ceci fait, est-ce que l'État-Maroc ne fera-t-il fonctionner ses volontés géopolitiques ici et là dans le sens géostratégique qu'il souhaite. Déjà qu'il veille à l’entretien des rapports fronts sans faiblesse ni tremblement avec l'envoyé spécial du Secrétaire Général de l'ONU, Horst Kohler. S'ajoutant en plus à l'animation courtoise mais ferme, des voies de communications et de partage informationnel avec la Minurso dans ses composantes civile et militaire pour la restauration de la confiance.

       D'autant plus, le cas de Guargarate est toujours fumant, sachant même que le Maroc en maitrise tous les paramètres des surenchères. Et c'est ça qui préoccupe surtout de la part de la Mauritanie, qu'apparemment n'a pas envie de perdre la bienveillance marocaine, alors que sa stratégie est dictée par le pouvoir militariste algérien. Car il ne suffit pas qu'elle soit alléchée par le fait d'avoir un autre poste frontière avec l'Algérie sur l'axe de la terreur Tindouf-Zouirat, pour s'imaginer pouvoir jouer une posture d'équilibre pour ne pas dire de nuisance. Il n'en sera jamais ainsi, en plus sans avoir de vrais atouts en main pour assurer sa propre stabilité en ce temps de grondements en interne et des jeux de la géostratégie politique qui se manifestent ici et là sur toute la bande Sahel subsaharienne africaine. Comme quoi, le Maroc stable entreprenant et performant reste l'un des recours sur, pour assurer les objectifs de l'essor de la région en consolidant la traditionnelle chaine des échanges avec l'Afrique noire, surtout avec la CEDEAO. A l'évidence, ceci dérange le pouvoir algérien cloué au pilori à l'ONU, tellement, il a réalisé même tardivement que son rêve chimérique d'avoir un comptoir sur l'Atlantique est hors portée. S'étant en plus convaincu, que le Maroc est en passe de faire de son Sahara une plateforme de transport maritime et aérien via le port et l'aéroport de Dakhla. Un point d'entrée et sortie de fret transcontinental Nord-Sud, dont déjà il y a des intentions de s'y engager de la part de l'Europe la Russie la Chine l'Arabie Saoudite le Qatar les Émirats Arabes Unis et l'Amérique Centrale et du Sud. Voilà, pourquoi, aujourd'hui il y a un vent nouveau à l'ONU par la passion du Maroc de lutter contre le terrorisme et de transformer le pays tout entier de Tanger à Lagouira en hub d'investissements dans tous les domaines. A bon lecteur, bon décryptage !

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