mercredi 8 novembre 2017

LE MAROC ASSÈNE LE BALISAGE DE SES PERSPECTIVES D'AVENIR EN SE RÉFÉRANT A SON REDRESSEMENT MULTI POTENTIEL DANS LA RESPONSABILITÉ ET LA SÉRÉNITÉ.

ENFIN LE MAROC VIENT D’ÊTRE COURONNÉ DE L’ÉLARGISSEMENT DE SES RÉSEAUX DE COOPÉRATION MULTILATÉRALE VIA L'OPTIMISATION DE SES SERVICES OFFERTS AU NIVEAU NATIONAL ET A L'INTERNATIONAL POUR LA PROSPÉRITÉ LA STABILITÉ ET LA PAIX EN AFRIQUE.

       Le Maroc officiel n'a pas l'habitude de communiquer ni avec ni sans arrogance, au sujet des actes-événements dont les idées peuvent s'échanger et se partager ailleurs selon les angles différents. En cela, même aujourd'hui, il ne voit pas pourquoi il le ferait même après sa prouesse tactique hautement technique de lancement de son satellite informationnel à la carte pour ses besoins civils et militaires sur la Base de Kourou. Tellement, qu'on ne le veuille ou pas, avec la collaboration étroite discrète voire secrète de la firme Thalès et Ariane-Espace, il est maintenant un ajusteur incontournable des connaissances hautement stratégiques pour l'exécution et l’extension de sa géopolitique au niveau de la coopération et le codéveloppement. Tel un espoir dans les territoires africains longtemps restés inviolés par le terrorisme, mais à présent sujets de convoitises et dont on les devine aujourd'hui avides de stabilité de responsabilité et de transformation en bonne gouvernance. A cet égard, il faut le rappeler, le 07 Novembre 2017 aux environs de 22h43mn heure de Guyane française soit le 08 Novembre à 1h 43 heure locale, le Conseil de surveillance de lancement des satellites n'a-t-il fait tombé les masques des ennemis du Maroc ? Non seulement par la douche froide que l'Algérie boutaflikienne en panne ait subi et dont le monde entier en parle de son retard avec presque ironie. Mais aussi par les communications pour le moins inhabituelles qui relèvent des compétences des membres de ce Conseil montrant le Maroc faire son entrée fracassante dans le club des pays qui ont au moins un satellite sur orbite. On chuchote même qu'il s'agisse de prérogatives que le Maroc et la France, comprendront qui pourront, ne se sont jamais hasardés à secouer ni même à piétiner pendant toute la préparation dans le grand secret

       Rappelons que tous les deux, le Maroc et la France sont les attributaires de la mise en chantier du projet avec mobilité non restreinte pour le Maroc dans l'exploitation exclusive à postériori dans ce secteur à la réalité professionnelle jouissant d'un capital humain producteur de la valeur ajoutée. Ce qui veut dire qu'il n'y aura que des exploitants-opérateurs marocains pendant toute la vie du satellite, avec aussi en contrepartie financière pour Ariane espace un important niveau d’investissement dans l'aéronautique dans le Royaume Chérifien. Pour cadrer avec les données géostratégiques perpétuellement mouvantes, et donc s'interdire l'improvisation dans la mise au point des programmes dont le ciblage la modulation et l'utilité de la connaissance forment la trame essentielle à la carte en faveur des demandeurs civils et militaires. Un marché de référence qui s’étalera sur des décennies et qui ouvrira pour le Maroc les portes pour d'autres opérations aussi importantes sur le continent africain via partenariats tripartites gagnants-gagnants équitables et équilibrés. Voilà pourquoi, le futur ministère des affaires africaines dans son évolution anticipative doit s'atteler impérativement à transformer l'éventail d'établissements de formation des jeunes africains diplômés pour les réadapter aux exigences des nouveaux marchés. Et ce, pour qu'avant tout ils assimilent parfaitement le monde de l'entreprise publique et privées usant de ses connaissances. Et, aussi pour qu'ils soient quasiment outillés des processus de production qui exigent une qualification dans la manipulation des technologies de pointe comme l'analyse des données cartographiques dans tous les domaines. Et oui, c'est là une occasion d'offrir à l'Afrique un autre sésame de viabilisation de la qualité des formations délivrées à ses jeunes ressortissants, par une batterie de mesures qui consistent en l'élaboration des modules de formation, en la mise en œuvre des dispositions d'évaluation adéquates et surtout en la certification des formateurs.

       Néanmoins, pour le 42-ème anniversaire de la Marche Verte le Maroc n'a-t-il eu droit au plus beau des cadeaux. Celui du lancement réussi du satellite Mohamed VI ''A'', au point que Boutaflika apparemment en a pris connaissance, notamment après les spéculations sur le report de l'événement. Alors que c'est une doléance sordide de la part de la cohorte du pouvoir algérien par suite de l'effet de surprise et du vent de panique qui s'en est suivi dans ses rangs. En fait, l'Algérie officielle a essayé de semer le doute à propos de ce lancement, allant jusqu'à trouver normal qu'elle ait un droit de regard sur l'opération. Une attitude qui est d'autant plus étonnante que ses dénis de son ''investment-grade'' au vu  des rapports émanant d'instances internationales financières à propos du climat des affaires en Afrique du Nord qui n'ont pas été tendres avec ce pouvoir. En plus, c'est arrivé moins d'une semaine après la sortie extravagante de Messahel, et d'où ces organismes reprochent à Boutaflika et ses ravisseurs à Ksar Lamradia le fait de ne rien faire pour sortir le pays du marasme économique. Ce qu'évidemment a réduit la capacité de ce pouvoir militariste à la Pinochet, à résister aux chocs socioéconomiques politiques et sécuritaires dont le pays se trouve désormais empêtré. En plus étant resté ankylosé dans ses perfidies anti Maroc, sans adoption de stratégie de recentrage de sa diplomatie, la maintenant invraisemblablement spéculative ondulée et piteuse sans espoir de revenir à la raison.  

       Et donc, c'est sans surprise que ''New-Maroc'' est né en cet instant, devenant de surcroit fournisseur de méthodologie d'accès à l'émergence en raflant la mise en investissements diversifiés. Et ce, en faisant face à des pressions des sphères et lobbys mécontents, parce que, son marché devient de plus en plus concurrentiel avec l'arrivée en force de plusieurs filiales d'entreprises internationales. Comme ça, d'ores et déjà l'on peut affirmer que le ticket d'entrer dans le club des pays émergents est désormais hors portée du pouvoir algérien. Ce qui veut dire qu'il y aura encore plus d'écart Rabat-Alger dans tous les domaines, avec un nouveau look des activités à l'international qui s'inscrivent dans la droite ligne de la feuille de route tracée par Sa Majesté le Roi Mohamed VI par ce choix souverain de perspective d'avenir. D'ailleurs selon plusieurs observateurs internationaux, l'impact de cette approche multidimensionnelle du Maroc avec dextérité et doigté diplomatique est là pour le démontrer. A tel point, il n'y a plus de doute, le résultat côté Rabat est mirobolant si on y jette un regard professionnel sur les facteurs extrinsèque s'y afférant, car porteur d'un nouveau balisage en perspective prospective dont il se pare le temps. Gravant son inspiration dans la gestion minière et dans l'agriculture, s'ajoutant à l'aménagement des territoires la pêche hauturière l'environnement la météo la gestion des catastrophes naturelles la défense des frontières la lutte antiterroriste et anti migration...etc. Et c'est là l'interet primordial de couverture du satellite Mohamed VI ''A'' lancé aujourd'hui avec succès. En fait, le Maroc revient de loin et même de très loin si l'on considère que la réévaluation de cette prouesse technologique usant de normes de gestion en ON pour l'amélioration des performances opérationnelles en gouvernance. A bon suiveur, bon décryptage !  

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire