mardi 11 octobre 2016

L’ŒUVRE POLITIQUE ET DIPLOMATIQUE MAROCAINE, N’EST-ELLE LE FAIT DE FAIRE LE DROIT DE LE RAPPELER ET DE LE RESPECTER A L’ONU ?

LE PLUS GRAND MÉRITE DE LA DIPLOMATIE MAROCAINE N’EST-CE D’AVOIR PROFONDÉMENT RÉNOVÉ L’APPROCHE DE FAIRE DE RAPPELER ET RESPECTER LE DROIT, TOUT EN LUI DONNANT UNE FORME LISIBLE DE PAR L’ORCHESTRATION DE LA DÉMARCHE ROYALE EN AFRIQUE EN EUROPE EN ASIE AU GOLF AUX AMÉRIQUES ET AU MAGHREB ?

       Maintenant, il est clair et net que la marche diplomatique marocaine à l’ONU, a démontré sous l’effet de la vision royale que le maintien de ce dossier au sein de la quatrième commission de l’assemblée générale de l’ONU n’est qu’un basculement vers le viol de la charte par recherche des remodelages et rafistolages. Aussi, n’en pourrait-on confirmer que la reconfiguration structurelle en ressources humaines qui s’installera incessamment prochainement, coïncide avec le tassement des surexcitations perfides sournoises et malveillantes du noyau résiduel anti Maroc au sein de cette assemblée ? Dont, heureusement les échanges avec le DEA (Département d’Etat Américain) les pays nordiques européens et l’Algérie en ont été circonscrits méthodiquement, par suite de la vigilance et des acquis diplomatiques marocains depuis l’avènement du règne Mohamed VI. D’autant plus qu’au marché politique perfide aujourd’hui, montrant une très vive tension surtout entre le Maroc et l'Algérie au Secrétariat Général de l’ONU sous Ban Ki Moon ayant montré aussi l’agitation des supporteurs de second plan dos au mur, c’est le tarissement des idées pour concurrencer l’offre marocaine d’autonomie 2007 et donc la marche formelle circonstanciée des institutions contribuant à la stabilisation à tous les niveaux.

       Néanmoins, et c’est là où il faut davantage creuser les méninges, n’est-ce l’arrivée d’Antonio Gutteres ne provoquerait-elle une forte tension comme baroud d’honneur de ces pays voyant l’évolution du conflit du Sahara marocain leur échapper ? Tellement que devant la quatrième commission de l’assemblée générale de l’ONU, le représentant de l’Algérie n’a fait qu’interrompre les intervenants leur déniant le droit d'interpeller son pays sur son implication à propos de la longévité inadmissible de ce dossier. Et dont il faudrait faire très attention à la réactivation militaro-terroriste du serment de l’Algérie sous Feu Boumediene de ne jamais laisser le Maroc tranquille. Dès lors, qu’en ce temps présent les prémices de son auto proclamation à l’ONU car s’étant octroyée un abus de droit en tant que  soi-disant gardienne de la normalité onusienne à propos du devenir du Sahara marocain. Autrement dit, n’est-ce pas cette manœuvre politique algérienne en plein remue-ménage onusien au vu du départ prochain de Ban Ki Moon, dénote un déni des réalités particulier sur le terrain ? D’abord, pour essayer de faire fuir les investisseurs qui drainent des soumissions faites sur la maturité de la situation géopolitique  sociale et sécuritaire  au moyen et au long terme. Puis sur le contexte géostratégique international tendu en Syrie et Ukraine, d’où l’on entend ici et là son attisassions du conflit du Sahara marocain en faisant dans la surenchère face à l’adjudication des marchés lancés par le Maroc dans son Sahara. Qu’heureusement il en eut déjà prévu la programmation diplomatique conforme aux attentes des investisseurs dans le respect du droit, pour ne laisser l’Algérie et ses manutentionnaires continuer à berner la communauté internationale.

       En effet, la tension USA-Russie à propos de la Syrie du fait qu’il n’y a point de certitude pour que l’ONU encore sous Ban Ki Moon réussisse dans ses bons offices, n’arrange que les agitateurs au Maghreb par leur rêve de résurrection et la trahison de leur parole donnée. En l’occurrence, les généraux algériens qui ne veulent se libérer de l’esprit du mal pour lequel ils fondent leur supervision des terroristes avec en ligne de mire l’augmentation du risque de déflagration de la guerre par procuration dans cette région. Sauf que chose qu’ils ne veuillent accepter, c’est que tout le monde sait que la stratégie du Royaume du Maroc renforce sa diplomatie multi directionnelle qui vise l’intégration de son économie dans les pays émergents en se basant sur un pilier majeur, à savoir, l’investissement. En plus de l’accréditation de son aura politique à l’international, contrairement à l’Algérie dans le creux de la vague des pays en souffrance si ce n’est carrément en agonie. D’ailleurs, le dernier exemple de l’installation de Boeing au Maroc illustre bien qui sont les entités appelées à se développer pour accompagner cet écosystème d’investissement et faire face aux défis du fléau du chômage. Dès lors que le devenir du tissu économique, surtout celui occupé par les PME-PMI qui sont les véritables moteurs de croissance spécifique en interne, est l’expression de l’Etat-Maroc unique et unitaire sans pleurs ni impression indicible de son vrai don politique diplomatique pour l’appel à plus d’investisseurs.


       A cet égard, pour être plus complet, comment peut-on organiser la COP 22 à Marrakech du 07-18 Novembre 2016, alors que le mal à mobiliser des ressources des Etats insulaires persiste par suite des conséquences du dérèglement climatique à l’exemple des dégâts de l’Ouragan Mathiew. Aussi, l’effet de mise à niveau de la diplomatie marocaine serait sans importance, voire même dénué de raison d’être s’il n’intervient pas pour aider, comme ce qu’a fait Sa Majesté le Roi Mohamed VI s’étant engagé à prendre en charge les frais de déplacement aller-retour et séjours des chefs d’Etats et gouvernements de ces pays. Pis encore, sur ce grand axe de solidarité Sud-Sud, outre la recherche collaborative de lutte anti terrorisme certains pays riches ne s’en soucient pas des opportunités de création des richesses locales via entrepreneuriats gagnants-gagnants à l’exemple de ce qu’entreprend le Maroc en Afrique. Ce qu’évidemment oriente le choix de la stratégie diplomatique marocaine, faisant trembler l’Algérie reléguée dans la nouvelle classification de l’ONU. Et ce de par l’altération de sa capacité réactionnelle qu’elle soit intermittente ou persistante dans la compétition internationale, au sens où c’est là où l’on voit l’illustration cadrée de la diplomatie marocaine s’imposant par la spontanéité et la sincérité du Roi. Qu’effectivement, c’est par son intuition sa détermination et son influence qu’il est le chef d’Etat par excellence paraissant aux yeux des observateurs le seul porteur d’idées de solidarité concrète, discours d’Abidjan et Bamako faisant foi. A bon suiveur, bon décryptage ! 

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