LE PLUS GRAND MÉRITE DE LA DIPLOMATIE MAROCAINE N’EST-CE D’AVOIR PROFONDÉMENT RÉNOVÉ L’APPROCHE DE FAIRE DE RAPPELER ET RESPECTER LE DROIT, TOUT EN
LUI DONNANT UNE FORME LISIBLE DE PAR L’ORCHESTRATION DE LA DÉMARCHE ROYALE EN
AFRIQUE EN EUROPE EN ASIE AU GOLF AUX AMÉRIQUES ET AU MAGHREB ?
Maintenant, il
est clair et net que la marche diplomatique marocaine à l’ONU, a démontré sous
l’effet de la vision royale que le maintien de ce dossier au sein de la quatrième
commission de l’assemblée générale de l’ONU n’est qu’un basculement vers le
viol de la charte par recherche des remodelages et rafistolages. Aussi, n’en
pourrait-on confirmer que la reconfiguration structurelle en ressources humaines qui s’installera
incessamment prochainement, coïncide avec le tassement des surexcitations perfides sournoises
et malveillantes du noyau résiduel anti Maroc au sein de cette assemblée ?
Dont, heureusement les échanges avec le DEA (Département d’Etat Américain) les
pays nordiques européens et l’Algérie en ont été circonscrits méthodiquement, par suite de la vigilance et des acquis diplomatiques marocains depuis
l’avènement du règne Mohamed VI. D’autant plus qu’au marché politique perfide aujourd’hui, montrant une très vive tension surtout entre le Maroc et l'Algérie au Secrétariat Général de l’ONU sous Ban Ki Moon ayant montré aussi l’agitation des supporteurs de second plan dos au mur, c’est le tarissement
des idées pour concurrencer l’offre marocaine d’autonomie 2007 et donc la
marche formelle circonstanciée des institutions contribuant à la stabilisation à tous les niveaux.
Néanmoins, et
c’est là où il faut davantage creuser les méninges, n’est-ce l’arrivée
d’Antonio Gutteres ne provoquerait-elle une forte tension comme baroud
d’honneur de ces pays voyant l’évolution du conflit du Sahara marocain leur
échapper ? Tellement que devant la quatrième commission de l’assemblée
générale de l’ONU, le représentant de l’Algérie n’a fait qu’interrompre les
intervenants leur déniant le droit d'interpeller son pays sur son implication à
propos de la longévité inadmissible de ce dossier. Et dont il faudrait faire très
attention à la réactivation militaro-terroriste du serment de l’Algérie sous Feu
Boumediene de ne jamais laisser le Maroc tranquille. Dès lors, qu’en ce temps
présent les prémices de son auto proclamation à l’ONU car s’étant octroyée un
abus de droit en tant que soi-disant gardienne
de la normalité onusienne à propos du devenir du Sahara marocain. Autrement
dit, n’est-ce pas cette manœuvre politique algérienne en plein remue-ménage
onusien au vu du départ prochain de Ban Ki Moon, dénote un déni des réalités
particulier sur le terrain ? D’abord, pour essayer de faire fuir les
investisseurs qui drainent des soumissions faites sur la maturité de la
situation géopolitique sociale et sécuritaire
au moyen et au long terme. Puis sur le
contexte géostratégique international tendu en Syrie et Ukraine, d’où l’on
entend ici et là son attisassions du conflit du Sahara marocain en faisant dans
la surenchère face à l’adjudication des marchés lancés par le Maroc dans son
Sahara. Qu’heureusement il en eut déjà prévu la programmation diplomatique
conforme aux attentes des investisseurs dans le respect du droit, pour ne
laisser l’Algérie et ses manutentionnaires continuer à berner la communauté
internationale.
En effet, la
tension USA-Russie à propos de la Syrie du fait qu’il n’y a point de certitude
pour que l’ONU encore sous Ban Ki Moon réussisse dans ses bons offices, n’arrange
que les agitateurs au Maghreb par leur rêve de résurrection et la trahison de
leur parole donnée. En l’occurrence, les généraux algériens qui ne veulent se
libérer de l’esprit du mal pour lequel ils fondent leur supervision des
terroristes avec en ligne de mire l’augmentation du risque de déflagration de
la guerre par procuration dans cette région. Sauf que chose qu’ils ne veuillent
accepter, c’est que tout le monde sait que la stratégie du Royaume du Maroc
renforce sa diplomatie multi directionnelle qui vise l’intégration de son
économie dans les pays émergents en se basant sur un pilier majeur, à savoir, l’investissement.
En plus de l’accréditation de son aura politique à l’international,
contrairement à l’Algérie dans le creux de la vague des pays en souffrance si
ce n’est carrément en agonie. D’ailleurs, le dernier exemple de l’installation
de Boeing au Maroc illustre bien qui sont les entités appelées à se développer
pour accompagner cet écosystème d’investissement et faire face aux défis du
fléau du chômage. Dès lors que le devenir du tissu économique, surtout celui
occupé par les PME-PMI qui sont les véritables moteurs de croissance spécifique
en interne, est l’expression de l’Etat-Maroc unique et unitaire sans pleurs ni
impression indicible de son vrai don politique diplomatique pour l’appel à plus
d’investisseurs.
A cet égard,
pour être plus complet, comment peut-on organiser la COP 22 à Marrakech du
07-18 Novembre 2016, alors que le mal à mobiliser des ressources des Etats
insulaires persiste par suite des conséquences du dérèglement climatique à l’exemple
des dégâts de l’Ouragan Mathiew. Aussi, l’effet de mise à niveau de la
diplomatie marocaine serait sans importance, voire même dénué de raison d’être
s’il n’intervient pas pour aider, comme ce qu’a fait Sa Majesté le Roi Mohamed
VI s’étant engagé à prendre en charge les frais de déplacement aller-retour et
séjours des chefs d’Etats et gouvernements de ces pays. Pis encore, sur ce
grand axe de solidarité Sud-Sud, outre la recherche collaborative de lutte anti
terrorisme certains pays riches ne s’en soucient pas des opportunités de
création des richesses locales via entrepreneuriats gagnants-gagnants à l’exemple de ce qu’entreprend le Maroc en Afrique. Ce qu’évidemment oriente le choix de
la stratégie diplomatique marocaine, faisant trembler l’Algérie reléguée dans
la nouvelle classification de l’ONU. Et ce de par l’altération de sa capacité
réactionnelle qu’elle soit intermittente ou persistante dans la compétition
internationale, au sens où c’est là où l’on voit l’illustration cadrée de la
diplomatie marocaine s’imposant par la spontanéité et la sincérité du Roi. Qu’effectivement,
c’est par son intuition sa détermination et son influence qu’il est le chef d’Etat
par excellence paraissant aux yeux des observateurs le seul porteur d’idées de
solidarité concrète, discours d’Abidjan et Bamako faisant foi. A bon suiveur,
bon décryptage !
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