L’ELECTION D’ANTONIO GUTERRES N’EST-ELLE EN GÉNÉRAL A
LA FOIS BIEN ACCUEILLIE PAR LE CONSEIL DE SÉCURITÉ ET OBSÉDANTE VOIRE NON SÉDUISANTE POUR L’ALGÉRIE CHRISTOPHER ROSS ET LE POLISARIO ?
Quand les
montagnes russes ne seraient plus dans l’agenda politique au Secrétariat
Général de l’ONU conséquence des reniements de l’Histoire dans l’affaire du
Sahara marocain, alors il se produira une véritable solution fondée sur le
maintien de l’équilibre de la paix et de la sécurité de la région MENA et de la
bande Sahel subsaharienne africaine. Pour le coup, c’est ainsi en ce sens que
l’élection à l’unanimité de l’ex premier ministre portugais Antonio Gutteres
est recueillie avec bienveillance fervente du coté des membres permanents du
Conseil de Sécurité de l’ONU en dehors de celle quelque peu mitigée de la
Russie, pour raison de géostratégie et géopolitique plus ou moins rongée d'exaspération de l’appétit de faire vaciller les vertus politiques. Alors que, sûrement, elle
est obsédante voire non séduisante pour l’Algérie et ses portes-flingues à
l’international, même si, lui, n'est pas responsable de la situation. Aussi, dans le même temps les pays lusophones à l’exemple du Mozambique et de
l’Angola qui sont toujours en effervescence anti Maroc, ils s’apprêtent à
poursuivre leur prétention calquée sur l'Algérie par archaïsme. Et/où se déroule une
usurpation par effraction des consciences de par leur hostilité et leur appui à
l’établissement d’un Etat fantoche au Sahara marocain, dont comment ne pas y voir une perspective d'incubation en ON de la violence de la contrebande et du terrorisme.
Néanmoins, n’est-ce
là la posture des portes paroles des mécontents, dont on pourrait dire qu’elle
serait dans la diffusion de leurs idées partiales et non neutres pour le
perturber dans l’informel de son action autour de sujets politiques et
idéologiques d’un temps révolu. Parce que, contrairement aux apparences, le
Polisario s’en rappelle de sa visite en 2007 aux camps de la honte, d’où il
avait dénoncé l’orgie frénétique qui s’organise autour des détournements des
aides humanitaires à même jusqu’à avoir appelé à haute voix au recensement que
Ban Ki Moon n’en a nullement tenu compte. Comme ça presque dix ans après une
carrière à la tête du HCR, dès sa prise de fonction le premier Janvier 2017
saura-t-il gagner ce pari grâce à sa technique communicative polyglotte
illustrative et son génie combatif inspiré de son propre pas politique
constructif sans égal avec ses prédécesseurs ? De surcroît, s’incorporant
aux suggestions de ses visions carrées d’une manière singulièrement plus
normale moins affectée de sournoiseries ni préjugés. Autrement dit, qu’elle
soit reposée et résolue pour constituer à la fois la bonne amorce pour un bilan
non décalé mais seulement penchant vers l’apothéose de l’offre d’autonomie 2007
dans la régionalisation avancée.
D’ailleurs, pour
cette façon de voir le conflit du Sahara marocain, cela suppose des gestes typiques
forts de sa part dès le départ en tant qu’originaire de la région du sud de l’Europe,
en l’occurrence le Portugal mitoyen au Maroc et donc normalement bien au
diapason du fil historico-politique du Maghreb. Déjà, sa générosité a permis de
par sa formation d’ingénieur le montage de nouvelles structures au HCR, avec un
rabotage de presque le tiers des employés au siège à Genève ayant pesé dans l’opérationnel
par l’efficacité d’action dont on voit un bout d’espoir sur les résultats obtenus
et à venir. Avec un cantonnement à l’aspect humanitaire par contribution
assumée en cohérence et en stratégie politique sur les différents conflits en
matière de prévention indiscriminée, de dispatching des aides sans retard ni
hésitation et d’intervention brisant avec la tradition qui irrite beaucoup et inquiète
la communauté internationale.
A cet égard, maintenant
qu’il est confirmé, avec son style plus accompli aux objectifs ambitieux il n’a
de choix que d’œuvrer pour que l’ONU n’en reste à la constatation des ravages
des conflits sans réactivité constructive. D’autant qu’il faudrait qu’il le
fasse pour obtenir les plus grands succès dans lesquels figureraient des aires
et des impacts diplomatiques sans vengeance ni inertie pathétique d’ivresse de
la victoire d’un camp sur l’autre. En cela le Maroc en espère le soutenir dans
l’ensemble de son credo politique dans chacune de ses composantes mêmes celles qui assureraient la partialité justifiée et la neutralité pondérée face à l’affichage
du fatalisme d’implication des lobbys et membres influents au DEA sous Obama.
Et ensuite, tiendraient avant tout de l’évitement du chassé-croisé qui relie l’expression
des malveillances comme du temps de Ban Ki Moon à l’insupportable et non
conventionnelle voire dramatique attitude du pouvoir algérien. N’en n’oublions
pas à cet effet de rappeler que l’accord de Paris sur le climat qui est la continuité de quelques
rares succès des Nations Unies sous Ban Ki Moon, ait amené au respect des
engagements par l'accélération des ratifications du protocole par les 193 pays pour que puisse se réaliser la COP 22 à Marrakech
sous bonnes auspices onusiennes dans la sécurité et la sérénité.
Bien entendu,
tout cela demande des réformes relatives au vocabulaire que doit s’approprier
le prochain remplaçant de Christopher Ross, notamment dans son ballet
diplomatique face à l’Algérie au Polisario et à la Mauritanie sans tomber dans
le récitatif ni dans la pantomime. Parce que la reconduction de Christopher
Ross n’arrangerait rien, dès lors qu’il va continuer à faire figure de vrai
patron en usant de ses liens avec les militaires algériens qui sont maintenant
notoirement connus en mèche avec les terroristes d’AQMI DAECH BOCO HARAM et d’autres.
D’ailleurs ne ce sont pas là les seules accusations portées contre lui et ces
militaires dans leur besogne commune? Car cherchant à déstabiliser l’Etat-Maroc par une pression des plus injustes voire complexes dans l’énormité au bénéfice des tireurs des ficelles. Avec précision cependant que les conspirateurs de l’intérieur, dans leur rêve de
prendre tout le pouvoir sans unanimité derrière seraient inconsciemment en phase avec eux. Et ce, de par qu’ils
se confèrent l’auréole du martyr comme les terroristes de Daech, avec en plus une
inquiétante constance réitérative surtout en cette veille du deuxième scrutin
législatif d’après le Oui référendaire sur la Constitution du 01 Juillet 2011. En ce sens, et c’est
là ou il faut faire attention, il est d’autant plus nécessaire pour l’Etat-Maroc
de ne rester dans l’expectative alors qu’il y a des protestations de la part de
la société civile des élites des corporatismes socioprofessionnelle qui ont l’impression
qu’on ne les écoute pas outre mesure. A bon entendeur, salut !
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