AUJOURD’HUI POUR LES POLITOLOGUES A L’INTERNATIONAL,
L’HEURE DE LA MÉMOIRE EST A L’INTÉRESSEMENT A LA NOUVELLE FORME DE DISTRIBUTION POLITIQUE A
ADDIS-ABEBA APRES LA RÉSURGENCE DU MAROC.
Comme cela a été
déjà dit, le Maroc ne se laissera développer la force et l’agilité dans le
raisonnement dans une perspective de préparations de guerre envers aucun pays,
que s’il en sent qu’il en est contraint de le faire. Maintenant l’on peut
affirmer, qu’il n’y ait eu auparavant de l’amour ou pas au Maroc de la part de
certains pays africains, à présent l'heure du constat voyant de sa félicité est là,
ayant atteint un haut degré de perfectionnement des conditions de partage et d’échange
Sud-Sud en référence à la mémoire politique africaine. Ainsi, offensive moderniste et maîtrisée telle est la visite royale en Afrique orientale, à même d’avoir pu triturer sinon tétaniser les forces du mal
outrageuses promotionnées par l’ignorance et le suivisme aveugle et dogmatique
de certains leaders. De sorte que la charge d’historicité de cette reconquête
marocaine de l’UA (Union Africaine) est aujourd’hui l’expression formellement
politique sans doute d’intégration solidaire efficiente des perspectives pour sa
nouvelle forme de distribution des rôles sur des bases plus saines. De surcroît,
en boostant son exposition judicieusement géostratégique, dont elle n'eut fait que manquer l’effectivité
des années durant par déficience d’audace raisonnable et de responsabilité autonome.
Vraiment de par
ce nouveau regard du Maroc à l’UA assurant l’évitement de sa déconstruction
institutionnelle, tous les feux verts de la reprise de sa place sont allumés
consacrant sa félicitation d’avancée assurée dans toutes les cinq sous-régions (Nord, Centre, Ouest, Est et Sud).
Notamment celles jusqu’alors ne faisant que traîner les pieds dans des conditions politiques marécageuses, pour l’empêcher sans raison de recouvrir
toutes ses souverainetés. Et ce, en dépassant aujourd’hui leur danse politique
saugrenue d’un temps révolu, qu’en plus qu'elle fut presque de sacralité à la
tricherie du pouvoir algérien faisant partie de son génome voire son code de
formatage anti Maroc. Sauf que chemin faisant, bientôt la fin de vacance du siège du Maroc à l’UA,
annonçant ‘’l’Hiver 2017’’ dont le tableau exprimera sans conteste la
sensibilité de son imagination future, pour l'essentiel, économique cultuelle et sécuritaire au sein de toutes les institutions
africaines. De ce point de vue alors, il reste un seul choix pour l’Algérie si
elle ne veut pas s’effondrer, c’est d’arrêter de l’harceler voire de le vilipender
sans raison valable, et donc, ne plus rester dans ses hypothèses hasardeuses de
provoquer zizanie et discorde sans tenir compte de l’honneur des pays africains
dans cette Instance qu’est l’UA. Qu’en effet en l’occurrence, deviendra par la
force des choses le symbole de l’apparition des nouvelles conceptions de
cooptation du co-développement par l'INDH comme l’entend l'élargir le Maroc au Rwanda à l'exemple du Sénégal Cote d'Ivoire Gabon Guinée Conakry Guinée Bissau Mali et Madagascar. En plus de la coopération qu'il pourra influencer en tant qu’Hub-plateforme de transfèrement de son savoir-faire par les actes et les partenariats, et ce même
en triangulation gagnants-gagnants avec les pays BRICS USA France Espagne Turquie
et autres.
En revanche à cet égard, la vague du Maroc monte en Afrique et pas seulement, on commence à la voir vu les enjeux
colossaux pour les grands groupes d’investissement accueillis ces derniers
temps sur ses terres, à l’exemple de Nissan Renault Bombardier Boeing et
beaucoup d’autres tels les chinois russes indiens turcs pakistanais espagnols allemands suédois italiens et pays du CCG. Oui, maintenant l’on
peut dire que les marocains ont compris la mécanique infernale algérienne,
tellement qu’ils ne la laissent plus perturber l'aura du Roi Mohamed VI d'attirance de l'investissement à l’international, et
dont le futur gouvernement ne doit aucunement omettre la mise en place des comités
d’experts chargés d’étudier les stratégies nationales d’accompagnement et de
suivi. Néanmoins, d'une position l'autre de cette Algérie qui rejette les raisons objectives de l’émergence du
Maroc, pourquoi pour autant elle n’accepterait jamais en ON le résultat du débat de sa réintégration
à l’UA ? Au point de risquer plus d’isolement, alors que les marocains sont sortis
du dédale diplomatique de l’improvisation et ne sont
plus dans la réaction comme d’antan. Car, d'autant plus s’étant sortis de l’ambiguïté de l’auto-enthousiasme à l’offensive pragmatique et réaliste
d’explication interprétative pour lever les doutes comme à l'ONU. Parfois même, avec
colère justifiée dont le but premier c’est de faire prendre conscience les africains
du deal contresens du pouvoir algérien sur le dos du Maroc, sur beaucoup d’interrogations
avec les forces du mal de la manipulation et de la conspiration dont il est
facile d’en deviner les origines au Secrétariat Général sous Ban Ki Moon avec son envoyé Christopher Ross.
Ce faisant, concrètement, il
ne s’agit certes pas d’une recherche d’entrée hard ou soft du Maroc à l’UA, c’est
surtout pour montrer à la communauté internationale l’échec politique d’un
modèle de gouvernance héritée à la façon Kadhafi bâtie sur l’usurpation et la
triche en fonction des petits arrangements et règlements de comptes. Au sens
où, ce questionnement reste encore légitime pour évaluer le désastre qui n’est
pas dépourvu toute raison gardée de politique spectacle d’asservissement, selon
la satisfaction de l’individu qui l’ait subi qu’il soit chef d’Etat ou décideur
politique voire économique de haut rang. Tellement, qu’aujourd’hui on ne
comprend pas pourquoi Al-Sissi se promet d’engager un nouveau braquet diplomatique
contre le Maroc, croyant ainsi pouvoir gérer efficacement le temps qui joue
contre lui. Dont, bizarrement il l’aurait fait en réponse à ses interrogations
que soulève le rapprochement diplomatique marocain avec l’Afrique orientale. Notamment
l’Ethiopie cet ancien empire jamais colonisé, assurément géant émergent dans l’avenir
du fait que son autorité régionale se concrétise par ses grands chantiers
infrastructurels à l’exemple du grand barrage sur le Nil, conjugué à son
leadership économique incontestable frôlant 10% de croissance soutenue et
continue sur plus de dix ans dans la sous-région. Et bien, suite à ce constat qu’Al-Sissi ne le
veuille ou pas, n’est-ce là un signe d’énervement gratuit de par sa
gesticulation qui risquera d’aboutir à l’accélération de sa destitution ? Vu que
même les deux institutions militaire et parlementaire seraient souteneures des récurrentes
contestations des rues et à l’internationale surtout au sein de l’UA pour qui l’Egypte
ce grand pays a perdu son aura.
Voilà c’en quoi c’est là ou l’on voit qu’il
en ressort déjà des distillations-allocutions diplomatiques de la Tanzanie, un
commencement de changement de positionnement sur l’intégrité territoriale en
faveur du Sahara marocain. Sachant que le dialogue constructif prospectif qu’entreprend
le Maroc aujourd’hui, est sensé répondre à toutes les questions restées en
suspens par sa longue absence irrationnelle des institutions africaines sous tutelle de l'UA. S’ajoutant aussi à des recadrages
à tant d’autres points déductifs des dérapages algériens n’ayant provoqué que déperdition
relationnelle, même si pour le Maroc tout semblait être une gestion du temps. Dans l’espoir que ces pays intègrent toute sa souplesse de se faciliter la
tache et faire vite évoluer leur positionnement en sortant des vielles bases d’hégémonisme
structurel, sorte de piège dont encore certains pays, très peu nombreux, n’en arrivent pas à s’en libérer et en sortir. Aussi, la dynamique politique et diplomatique que connait l’UA
par suite de la visite royale en Afrique orientale aurait été pour quelque
chose dans la création des conditions favorables et d’aller plus vite de l’avant sans repli généralisé sur soi. Toujours est-il, est-ce que le rapprochement du Maroc avec ces pays
avant le Sommet de l’UA à Addis-Abeba en Janvier 2017, n'est-il révélateur de la
confiance de leur soutien à son retour avec grande humilité ? En cela, c’est vrai chose
dite-chose faite, n’est-ce là une première tendance pour redonner un autre
régime de roulement institutionnel à l’UA, après l’installation du Maroc sur son siège dans
cette capitale qui prospère de toutes ses richesses matérielles et immatérielles ? En rassemblant ses amis, d’abord pour l’élection de l’ex ministre des affaires étrangères sénégalais à la
tête de la commission africaine en remplacement de l’ex Mme Zouma, puis de ne
plus laisser jouer l'Algérie la diversion d’où peuvent sortir des positionnements à la ronde par
des danses diplomatiques de blocages non rassurants sur le maintien de la RASD et/où sur le traitement de sujets d'actualités. A
bon lecteur, bon décryptage !
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