L’ETUDE GÉOPHYSIQUE DES CARTES DE L’AFRIQUE ORIENTALE CONCERNANT
LA CONSTRUCTION DES BARRAGES, LE MONTAGE DES CIMENTERIES DERNIÈRE GÉNÉRATION, LA
FOURNITURE D’ENGRAIS ET FERTILISANTS POUR L’AGRICULTURE, LA FACILITATION DU
TRANSPORT ET LA LOGISTIQUE, L’ACCÈS AUX TÉLÉCOMMUNICATIONS VOIRE L’ENCOURAGEMENT
DES SOLUTIONS D’ENERGIES RENOUVELABLES, N’EST-ELLE PORTEUSE DES FONDAMENTAUX RIGOUREUX
DE CETTE VISITE ROYALE ?
Désormais, l’on
peut avancer qu’assurément les neuf pays de l’Afrique orientale en l'occurrence Érythrée Ethiopie
Djibouti Somalie Kenya Tanzanie Burundi Rwanda et Ouganda, seraient enchantés
de marquer du grand sceau de l'entente leurs relations respectives avec le modèle voire le mythe du Maroc. Aussi,
la visite royale aujourd’hui dans une première étape s’effectue inéluctablement
sur la création de la confiance, la prospérité relationnelle diplomatique et l’intelligence
dans la conduite des affaires d’égal à égal sans triche. Notamment des échanges commerciaux
économiques voire domaine des assurances banques et gestions administratives territoriales dans
le respect des souverainetés, en plus des infrastructures en barrages ports et aéroports unités de
cimenteries électrification rurale transport réseau routier et cadastre. D’abord
sur les terres des puissants complexes volcaniques du Rwanda, ensuite autour des lacs
imposants de Tanzanie que surplombent les plateaux élevés de l’Ethiopie dont la
légende en fait repenser à la reine de Saba.
Que
l’on ne s’étonne donc pas si ceux des pays qui s’opposent à la finalisation de
la construction du Grand Maghreb, font aussi obstacle au retour du Maroc à l’UA
(Union Africaine) pour ne plus la laisser fonctionner normalement. D'autant, n’en voyant même
pas que ce qu’il y a de remarquable dans la vision révolutionnaire du Maroc aujourd’hui, ce ne
sont pas seulement les témoignages sur sa façon d’appréhender le futur mais la
richesse la vie et la puissance de son multipartisme et sa multiculturalité, et ce dans la tolérance et la sérénité en adéquation avec son périple constructif africain.
A cet égard, en effet, quel est le but de leur posture à ces acteurs du mal et de la surenchère, sinon
inciter l’Afrique orientale à ne pas céder au dynamisme diplomatique marocain et,
donc à celui économique commercial culturel écologique géopolitique et
sécuritaire cultuel géostratégique ? N’est-ce tout simplement, ils ne le font que pour essayer de mettre un terme à la volonté et à l’aspiration de ces pays voulant le soutenir dans le recouvrement de toutes ses souverainetés, voire même à les pousser à la déconstruction
de l’idéal commun avec lui ? N'est-ce, parce qu'évidemment, lui, apporte plus de transparence dans ses
choix diversifiés de coopération inter-africaine en disposant de normes et éthiques universelles utilisées et
respectées à l’international ? Au sens où, maintenant, comme tout le monde
le sait, dans cette sous-région africaine les partisans de l’adhésion à l’attitude
visionnaire du Roi Mohamed VI l’emportent finalement haut la main, d'autant plus n’en ont jamais oublié que le Maroc fut le lieu très apprécié des personnalités africaines de légende tels Négus
Hailé Sillasse, Nyerere et Kenyatta et d’autres ayant beaucoup fait pour l'unité de leurs pays respectifs et donné de leur temps au
moment de la fondation de l’OUA.
Voilà, pourquoi au nom de
quoi la puissance du Maroc sous Mohamed VI de par la stratégie de
communication et d’exposition de l’accompagnement de sécurité, elle s’explique
aisément. Tellement que tous ces pays veulent s’engager avec lui, par des
partenariats de développement gagnants-gagnants non pas en dépassant les panels
de la concurrence existante mais de bénéficier de l’accès aux marchés ouverts
aux challenges. D’autant que cette sous-région dispose de ressources minières envieuses
que l’expertise marocaine pourrait la rendre compétitive en la matière, de quelques grands ports concentrant l’essentiel
de l’activité commerciale comme à Djibouti escale importante sur la route de
Suez, d’un tourisme de Safaris encore freiné par une infrastructure hôtelière
insuffisante dont tous cherchent à la dynamiser à l’instar de l’expérience
marocaine, d’un réseau de télécommunication en voie d’accessibilité mais
toujours lente, de constructions routières peu attrayantes laissant à l’écart
des zones entières malgré les efforts des chinois. S’ajoutant à une sécheresse récurrentes
et aux particularismes nationaux même avec des déclarations de bonnes
intentions de ne plus y céder, afin d’éviter de revivre les génocides ou autres guerres civiles et déportations des populations malgré la présence du siège de l’UA à Addis-Abeba.
Néanmoins, il ne
faudrait jamais l’oublier, car assurément, il y en a cinq Afriques sur le plan
physique (Centrale, du Nord, de l'Ouest, de l'Est et du grand Sud), au-delà de l’incroyable variété des paysages des formes et du climat
d’où transparaissent aujourd’hui les contradictions structurelles aux multiples
facettes. Mais, sur le plan politique, est-ce que le contraste existant
actuellement de par les oppositions politiques ici et là, ne montre-t-il une dégradation
dangereuse au carrefour de toutes les influences et manipulations venant de
l’extérieur ? D'ailleurs c'est là le point qui sert comme cheval de trois aux multinationales d'usurper les indépendances des pays surtout africains par la désinformation en vue de convoitise de leurs diverses ressources. Dans le fond, clairement, le choix du Maroc de la voie des énergies
renouvelables ne répond-il avec précision à l’établissement de son équilibre énergétique
et donc à son indépendance des pouvoirs financiers maîtres de la bourse d’octroi
de l’énergie fossile et même nucléaire mondiale ? Par conséquent, de ce fait, est-ce conciliable
avec la temporalité d’anticipation politique africaine, qui plus est fait l’objet
d’attirance et intéressement de partout de toutes parts ? Alors, n'est-ce du fait de la
croissance frôlant 8 à 10% la réponse est oui, d’autant qu’il faut noter la
sensibilisation croissante sur ce sujet de tous les pays africains notamment
aux problèmes de l’équilibre écologique et du défi de sauvegarde environnementale ? Néanmoins pour l’heure,
l’on est en droit de dire que la COP 22 à Marrakech le 07-18 Novembre 2016 construira
et consolidera le socle premier de cette envolée africaine vers la tendance à l’énergie
renouvelable, dont l'ambition permettra à l’homme et à la femme en Afrique l’exploitation sans problème.
A cet effet, c’est
vrai maintenant, il est incontestable que le Maroc s’engage
en Afrique orientale usant de son fonds d’historicité d’ouverture légendaire,
en plus qu'en ce temps présent il fait appel à son action experte labellisée sécurisée sur
la chaîne des échanges pléthoriques au long terme. D’abord en accourant à la
consolidation de la complémentarité géostratégique avec l’Inde le CCG et
surtout la Chine qui a plusieurs longueurs d’avance dans cette sous-région, que
d’ores et déjà il n’en fait pas un complexe mais voulant acquérir une position envieuse
contrairement à l’Algérie envoyeuse que de mauvais signaux et velléités déconcertantes
à son égard partout ou il est. N’est-ce par ailleurs pour cela, que la tournée royale
se présente comme bloc-package, sorte d’offre très cohérente en tant que tête
de pont de pénétration effective par les choix vitaux et stratégiques de l’économie
en Afrique orientale ? Soit directement pour combler les lacunes
diplomatiques relationnelles ayant souffert pendant 32 ans de l’agitation algérienne,
soit par l’énorme effet collecteur marocain des échanges-partenariats
labellisés gagnants-gagnants et donc modélisés de rigueur et éthique morale
comme pour l’Afrique de l’Ouest. A bon suiveur, bonne lecture !
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