AUJOURD’HUI NOMBREUX SONT LES ALGÉRIENS RENTRANT DANS
UNE DÉMARCHE CONTRE LA PERTE DE MÉMOIRE VIS-A-VIS DU MAROC !
Il est évident
que Ammar Saadani Louisa Hanoun et toute
l’intelligentsia même celle proche du
pouvoir algérien, sont désormais dans une démarche pour sortir le pays du
flagrant délire contre la mémoire. N’acceptant ni fédéralisme, ni confédération,
ni schize-division et encore moins autodétermination au Sahara marocain. Et ce,
avec ou sans recensement dans les camps de séquestration, dont expressément ils
n’en tolèrent plus l’existence. De fait, pour le Maroc droit dans ses bottes,
c’est le Niet absolu vis-à-vis de ce hold-up aux quatre versions, car s’agissant
effectivement d’une imposture bizarroïde qui n’existe que dans la tête de
Christopher Ross le noctambule nostalgique de ses anciennes virées dans le Sud
algérien. Et, dont en ce temps présent, il en a perdu l’assise référentielle pour
éviter son décrochage où les portes de sortie sont fermées sinon trop étroites.
Ainsi, autant l’annoncer, même en s’appuyant sur un raisonnement conceptuel de
dématérialisation du marché de la mémoire, il ne pourra faire oublier le joug
marocain et ses légitimités historiques tentaculaires en Afrique et sur le
terrain algérien.
A cet égard, ne
peut-on dire que les marocains en ont assez des approches énièmes mains en
marge et en dehors de la résolution 2218 du Conseil de Sécurité de l’ONU
d’AVRIL 2015, que cherche à imposer Christopher Ross en préparation de la
visite de Ban Ki Moon dans la région ? Car, à chacune de ses visites en
tant qu’envoyé spécialement spécial, on s’en rend compte qu’il veuille
raccorder le Maroc à l’accord-cadre qui a été conclu entre lui au nom de son
patron et le président Bouteflika au nom du protopolisario. C’est dire que son
objectif n’est autre que la protection, de seulement ce que veulent les
lobbyings et centrales de productions des mensonges à l’encontre du Maroc. De surcroît sous-forme de demande on ne peut moins dire cautionnée par le
Secrétaire Général qui n’a par ailleurs rien réussi nulle part, à savoir en
(Crimée-Vénézuella-Syrie-Irak-Mali-Centrafrique-Libye-Somalie-Yémen etc…). En
plus sans tenir compte de l’histoire de la mémoire régionale, mais juste pour
requinquer le mental et psychologie du pouvoir algérien en bérézina totale sur
tous les plans.
D’ailleurs,
outre le fait que ces initiatives invraisemblables de Christopher Ross n’en
éviteraient que le Maroc puisse continuer tranquillement avec sérénité ses
efforts pour l’offre du seul seuil de l’autogestion qu’il a proposé depuis 2007,
elles ne pourraient qu’augmenter les turbulences voire risques de
déstabilisation de tout le Maghreb et la bande Sahélo-africaine. Pourtant, et
c’est le moins que l’on puisse dire, Ban Ki Moon sait pertinemment que le Maroc
a donné ce qu’il peut comme solution politique sérieuse viable et/où il n’y
aura ni vainqueur ni vaincu. D’autant qu’il est auréolé du déroulé électoral
exemplaire du 04 Septembre 2015 et de l’ampleur de participation des habitants
du Sahara, s’ajoutant à leur attachement fusionnel sans condition à la royauté.
A ce propos, faut-il continuer à faire confiance à Christopher Ross qui cherche
par tous les moyens de sous-traiter l’intégrité territoriale du Maroc voire mêmes
ses souverainetés ? Ne s’en souciant aucunement de la réactivité des
marocains, parce que si en 1975 ils étaient 350000 dans la Massira, cette
fois-ci ils seraient 3500000 en partance non Saint Coran et drapeaux à la main
mais brandissant armes.
Apparemment,
seul lui n’est pas conscient des dangers politiques et sécuritaires que peuvent
engendrer ses suggestions génériques à l’emporte pièce. Parce que, ni l’Espagne
ni la Mauritanie qu’à l’évidence ne rentreront jamais dans cette légèreté
d’analyse et de conception maladroite, du fait que chaque pays a son propre
agenda au regard de l’urgence à la sécurité qui l’emporte sur l’idéologie
consumée il y a belle lurette. En cela, pourquoi ce diplomate reste-t-il dans
l’aveuglément total, au point de changer d’objectif tantôt dans
l’autodétermination tantôt dans la parthéno-division, parfois dans le fédéralisme
ou la confédération ? Sans tenir compte des propositions et mesures prises
par le Maroc, confirmant que c’est juste se tromper du coté où se trouve
l’avenir rayonnant du Sahara marocain et donc de toute la région.
C’est tellement
vrai que nos officiels diplomates ont doublé de vigilance avec lui, usant de techniques
de séquençages de ses propositions qu’au demeurant varient d’un entretien à un
autre et tout le temps. Néanmoins avec les temps qui courent, ses propos mêmes
oscillatoires ne sont-ils indispensables pour le ciblage le montage et
l’homogénéisation des contre-attaques diplomatiques marocaines ? S’ajoutant
au foisonnement des cris de la raison des soutiens que le Maroc ne cesse de
recevoir de par le monde. Dans le but de le conforter dans son savoir-faire et
de l’en encourager de continuer dans sa feuille de route de programmes
diversifiés concis et précis pour son développement structurant, sa sécurité
légendaire et son rayonnement reconnu.
Aussi, dans un
monde dominé par sa standardisation à tout point de vue, à cet égard, est-ce
que la différence marocaine dans sa feuille de route vers le développement sans
ambages, sa fonctionnalité institutionnelle et ses performances, ne
mérite-t-elle d’être prise en compte par Ban ki Moon par les actes en dehors
des paroles ? N’est-ce, ce que doit en effet creuser Christopher Ross,
c’est comment faciliter le retour des sahraouis ne voulant rester en dehors de
l’histoire événementielle qui bouge qu’on ne le veuille ou pas au Sahara
marocain ? Comment aider le Maroc stable, dans sa lutte contre les
parasitages d’environnement des camps en cellules terroristes d’obédience à
Daech Aqmi Boco Haram et autres Chababs ? D’ailleurs l’intérêt qu’accorde
le Maroc au daechisme polisarien n’est pas fortuit, dès lors que le conformisme
à des calculs politiciens en matière de renseignement anti terroristes n’est
pas pour les marocains. Sachant que ses conséquences sont ainsi anticipées, vu
qu’elles sont mesurées ici là en Afrique de par l’agitation des groupuscules
terroristes dans les camps à Tindouf Rabouni et dans le Sud algérien en
général. Important l’est aussi avec ou sans aval de l’ONU de savoir, est-ce que le Maroc ne
pourrait user le cas échéant du droit de poursuite à l’encontre des terroristes
bien ancrés dans les camps ? Voilà peut être en quoi, si Christopher Ross
ne révise son accord-cadre par une analyse approfondie de ces exemples, il pourrait se confronter. N’est-ce
pour cela les FAR et le BCIJ s’en sont dotés de moyens dans les provinces du
Sud et aussi le long de toutes les frontières terrestres de Saidia à Lagouira,
comprenant des services et unités performants de traitement des crises et
situations dangereuses? Gageons encore une fois, que la prédisposition du
Conseil de Sécurité de l’ONU vers le réalisme se généralise dans sa résolution
future d’Avril 2016, pour une coopération avec le Maroc dans le volet sécuritaire dans le respect de son
intégrité territoriale. A bon suiveur bonne lecture !