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N’EST-CE LA OU ON COMPREND QUE DANS SA FUITE DÉSORDONNÉE CE QUI EN RESTE DU POUVOIR ALGÉRIEN N’A QUE FAIRE DU PEUPLE ?
Aujourd’hui en cette
fin 2015 et début d’année 2016, c’est un sauve-qui-peut qui commence sous-forme
de séquestration-déposition du président Bouteflika, après avoir effectué son
isolement par la bande à pression interférentielle agissant dans le cadre de
l’illégalité constitutionnelle à Ksar Lamradia. Dont la thèse en est une
opération commanditée politiquement, ayant pour cible de tailler un rôle clé à
Said le frère bienheureux comme seule alternative dans le désordre et l’irrationnel.
Et qui, se serait déplacé à plusieurs reprises en Suisse à bord de jet privé
affrété par un banquier ami sud-africain, pour des rendez-vous contre-natures dans
le but de s’approprier le butin de l’Etat algérien et en transférer une bonne
partie ailleurs à toute fin utile. Dans ce sens il est vrai, que ce dernier
était en contact avec plusieurs financiers cadreurs spécialisés dans ce genre
d’escroquerie des Etats en fin de vie. Sauf que, du coté des Alpes suisses il
n’y a aucune mention à ces virées clandestines, d’autant qu’il n’y a à ce jour
aucune plainte de faite si ce n’est des déclarations évasives sur le sujet
jetant plus de trouble sur cette affaire dont le futur en dira certainement
plus.
Aussi, face à
cette débandade du reliquat résiduel du pouvoir algérien à plusieurs niveaux, il
ne reste à la communauté onusienne qu’à rendre ouvertement hommage au Maroc. Le
seul pays maghrébin stable sécurisé et illustrateur en vrai de la lutte anti
terroriste sur le terrain. Car jour après jour selon ses propres moyens, il
concourt par son combat social économique cultuel écologique culturel à
l’examen de situation politique-sécuritaire ayant pour objectif l’éradication des
facteurs inducteurs de ce fléau. Et, ce n’est nullement sarcastique envers
quiconque que de le rappeler avec insistance en ce moment où la négation des
libertés fondamentales s’y intègre dans le comportement des Etats partout dans
le monde, en portant confusion dans leur empressement politicien de vouloir à
tout prix gagner aux élections face à la xénophobie et le racisme. N’est-ce là
où on constate qu’au Maroc sa façon intelligemment mordante et audacieuse s’est
montrée efficace dans sa lutte antiterroriste, obéissant à des règles
d’investigations et méthodologies d’interventions précises dans le temps et
l’espace par tous les services sécuritaires en interne et en externe ?
Effectivement
face à cette réalité marocaine au Maghreb, pour plusieurs observateurs la
montée en puissance de Mohamed Mediène alias Général Taoufiq (1990-2015) aura
été le pêché capital du DRS. Au vu de son jeu dangereux portant des zones
d’ombre malheureusement toujours persistantes, et d’où de fameux documents en ont révélé la base nodale
de ses transactions avec la nébuleuse Aqmi Boco Haram et Daech via les groupes
jihadistes dans la bande sahélo-saharienne-africaine. Avec qui le DRS, encore
heureux sans résultats probants, aspirait à leurs incursions-infiltrations en
territoire marocain pour refaire le coup d’Atlas-Asni à Marrakech. En effet, le
Maroc via le BCIJ en a démantelé plus d’une cellule dormante dont des documents
saisis, rapportent l’implication du DRS algérien ne le crédibilisant guère dans
ses théories anti Maroc à l’échelle onusienne. Ni même dans ses rapprochements
avec les pasdarans iraniens, jouant le jeu des escrocs si l’on en croit les
informations distillées par les services de pays comme l’Arabie Saoudite pour
ne citer qu’elle.
Néanmoins, il faut le dire, pourquoi les
pays du Machrek Arabie Saoudite comprise considèrent le Maroc leur atout absolu
sur le plan géostratégique que ce soit en état de guerre ou de paix ? Dont,
apparemment même le Qatar s’étant empressé de consolider des liens spécifiques
de co-localité-partenariat avec lui sans défrayer la chronique, en commençant
par le lancement de sa succursale de banque islamique. N’est-ce là aussi une
conséquence, que les CERG (Centres d’Etudes et Recherches Géostratégiques)
propageant leur conception de matérialisation des réussites fictives du DRS
moyennant corruption, en ont crée le vide en Algérie notamment dans la lutte
anti terroriste ? Tellement qu’aujourd’hui avec Tartag, ce département est
remis à une place où il est contraint de faire ses investigations selon le bon
vouloir de Said le bienheureux ne voulant plus revivre l’exemple d’In Anemas.
Ce n’est pas la
première fois que la volonté de Tartag même en tant que second, se rencontre
avec le machiavélisme de ce bienheureux de continuer ensemble à harceler le
Maroc sans aller plus loin. Sauf que même vu de cet angle, l’ardoise morale
immatérielle du DRS algérien vis-à-vis de la DST marocaine n’en sera pas
effacée pour autant. D’autant plus, ce prétendant à la fonction suprême, n’est-il
toujours dans le même ton d’hostilité voire d’animosité grandissante que son
frère de président absent envers le Maroc ? Pire encore, il continue d’augmenter
sa transgression du bon voisinage avec le Maroc en se mettant derrière les
gesticulations-tartuferies pseudo-guerrières du Polisario. Espérant en effet démontrer
dans la foulée que ses lobbys propolisariens ne respecteraient jamais
l’intégrité territoriale marocaine. Mais, là encore, l’ambition de ces lobbys
de s’allier à leurs gouvernements respectifs a fait psitt, du fait que le
Congrès Américain n’en veut rien savoir de leur manigance anti Maroc. Car la
politique d’Obama cautionnée par les démocrates et partagée sans ambages par
les républicains, s’avère pleine d’attrait pour l’investissement au Maroc dans
tous ses territoires notamment dans les trois régions du Sud
(Dakhla-Laayoune-Guelmim).
Néanmoins,
est-ce que la société algérienne myope qui a enlevé ses lunettes pour mieux apprécier le flou que
provoque ce sauve-qui-peut politique du pouvoir vacant Bouteflika, ne sent-elle
qu’il y a péril en la demeure ? N’est-ce là une manière inélégante de se
laisser mourir avec et pour ce pouvoir qui l’a tant méprisée voire broyée de
tous les cotés de sa rupture avec elle sous les yeux de l’ONU ? Par
ailleurs, même si aujourd’hui, la communauté internationale s’en éloigne pour d’autres
affaires plus urgentes en détournant les yeux, elle est tétanisée et préoccupée
du cas algérien sachant pertinemment que le déclin de l’Algérie a démarré longtemps
bien avant la chute du prix du pétrole et dérivés. Dont le DRS qui fut le vrai
détenteur de la décision marchande et non la primature ni les ministères
affiliés, n’y peut rien aujourd’hui. Dès lors que son pilotage impliquerait des
restructurations des mentalités afin de pouvoir arriver à des conditions inespérées
pour que l’Algérie s’en sorte.
Mais en
attendant, est-ce que les algériens qui croient toujours aux potentialités de
leur pays, ne se demandent-ils si la cohorte qui les dirige n’est plus
légitime ? Et que seul le réalisme de reconnaître que cette bande
d’escrocs est leur pire ennemi dont ses scandales nombreux si rien n’est tenté
pour les chasser du pouvoir, pourraient être un préambule à des cycles de
tension populaire à venir. Voilà pourquoi il est temps pour le peuple algérien
de s’organiser en partition de vivacité sociétale populaire entre ses angoisses
et aspirations face à ce pouvoir. En confirmant son titre n’aimant pas la Hogra
ni l’avilissement, d’abord en premier lieu d’organiser une Massira à Tindouf
pour chasser le Polisario. Et, ensuite conséquemment donc de mettre le paquet
et oser se confronter à cette de la présidence dans une bataille électorale
sans merci, dont sûrement la débâcle à Ksar Lamradia ne s’arrêtera pas là. D’ailleurs
le sauve-qui-peut rocambolesque de ce pouvoir n’en est qu’à ses débuts, comme
le confirme la campagne enragée mise en fil des actualités par les groupes de
pression pour rassurer ce qui en reste de ce pouvoir. Et ce, en contrepartie
financière substantielle qu’ils touchent en tant que dû de leurs lobbyings
douteux aux relations impérieuses les liant en plus aux opposants connus du
Maroc. A bon entendeur salut !