samedi 26 décembre 2015

COMPTE A REBOURS FINAL EN SAUVE-QUI-PEUT DU POUVOIR VACANT ALGÉRIEN !

Ajouter une légende
N’EST-CE LA OU ON COMPREND QUE DANS SA FUITE DÉSORDONNÉE CE QUI EN RESTE DU POUVOIR ALGÉRIEN  N’A QUE FAIRE DU PEUPLE ?

       Aujourd’hui en cette fin 2015 et début d’année 2016, c’est un sauve-qui-peut qui commence sous-forme de séquestration-déposition du président Bouteflika, après avoir effectué son isolement par la bande à pression interférentielle agissant dans le cadre de l’illégalité constitutionnelle à Ksar Lamradia. Dont la thèse en est une opération commanditée politiquement, ayant pour cible de tailler un rôle clé à Said le frère bienheureux comme seule alternative dans le désordre et l’irrationnel. Et qui, se serait déplacé à plusieurs reprises en Suisse à bord de jet privé affrété par un banquier ami sud-africain, pour des rendez-vous contre-natures dans le but de s’approprier le butin de l’Etat algérien et en transférer une bonne partie ailleurs à toute fin utile. Dans ce sens il est vrai, que ce dernier était en contact avec plusieurs financiers cadreurs spécialisés dans ce genre d’escroquerie des Etats en fin de vie. Sauf que, du coté des Alpes suisses il n’y a aucune mention à ces virées clandestines, d’autant qu’il n’y a à ce jour aucune plainte de faite si ce n’est des déclarations évasives sur le sujet jetant plus de trouble sur cette affaire dont le futur en dira certainement plus.  

       Aussi, face à cette débandade du reliquat résiduel du pouvoir algérien à plusieurs niveaux, il ne reste à la communauté onusienne qu’à rendre ouvertement hommage au Maroc. Le seul pays maghrébin stable sécurisé et illustrateur en vrai de la lutte anti terroriste sur le terrain. Car jour après jour selon ses propres moyens, il concourt par son combat social économique cultuel écologique culturel à l’examen de situation politique-sécuritaire ayant pour objectif l’éradication des facteurs inducteurs de ce fléau. Et, ce n’est nullement sarcastique envers quiconque que de le rappeler avec insistance en ce moment où la négation des libertés fondamentales s’y intègre dans le comportement des Etats partout dans le monde, en portant confusion dans leur empressement politicien de vouloir à tout prix gagner aux élections face à la xénophobie et le racisme. N’est-ce là où on constate qu’au Maroc sa façon intelligemment mordante et audacieuse s’est montrée efficace dans sa lutte antiterroriste, obéissant à des règles d’investigations et méthodologies d’interventions précises dans le temps et l’espace par tous les services sécuritaires en interne et en externe ?

       Effectivement face à cette réalité marocaine au Maghreb, pour plusieurs observateurs la montée en puissance de Mohamed Mediène alias Général Taoufiq (1990-2015) aura été le pêché capital du DRS. Au vu de son jeu dangereux portant des zones d’ombre malheureusement toujours persistantes, et d’où  de fameux documents en ont révélé la base nodale de ses transactions avec la nébuleuse Aqmi Boco Haram et Daech via les groupes jihadistes dans la bande sahélo-saharienne-africaine. Avec qui le DRS, encore heureux sans résultats probants, aspirait à leurs incursions-infiltrations en territoire marocain pour refaire le coup d’Atlas-Asni à Marrakech. En effet, le Maroc via le BCIJ en a démantelé plus d’une cellule dormante dont des documents saisis, rapportent l’implication du DRS algérien ne le crédibilisant guère dans ses théories anti Maroc à l’échelle onusienne. Ni même dans ses rapprochements avec les pasdarans iraniens, jouant le jeu des escrocs si l’on en croit les informations distillées par les services de pays comme l’Arabie Saoudite pour ne citer qu’elle. 

       Néanmoins, il faut le dire, pourquoi les pays du Machrek Arabie Saoudite comprise considèrent le Maroc leur atout absolu sur le plan géostratégique que ce soit en état de guerre ou de paix ? Dont, apparemment même le Qatar s’étant empressé de consolider des liens spécifiques de co-localité-partenariat avec lui sans défrayer la chronique, en commençant par le lancement de sa succursale de banque islamique. N’est-ce là aussi une conséquence, que les CERG (Centres d’Etudes et Recherches Géostratégiques) propageant leur conception de matérialisation des réussites fictives du DRS moyennant corruption, en ont crée le vide en Algérie notamment dans la lutte anti terroriste ? Tellement qu’aujourd’hui avec Tartag, ce département est remis à une place où il est contraint de faire ses investigations selon le bon vouloir de Said le bienheureux ne voulant plus revivre l’exemple d’In Anemas.

       Ce n’est pas la première fois que la volonté de Tartag même en tant que second, se rencontre avec le machiavélisme de ce bienheureux de continuer ensemble à harceler le Maroc sans aller plus loin. Sauf que même vu de cet angle, l’ardoise morale immatérielle du DRS algérien vis-à-vis de la DST marocaine n’en sera pas effacée pour autant. D’autant plus, ce prétendant à la fonction suprême, n’est-il toujours dans le même ton d’hostilité voire d’animosité grandissante que son frère de président absent envers le Maroc ? Pire encore, il continue d’augmenter sa transgression du bon voisinage avec le Maroc en se mettant derrière les gesticulations-tartuferies pseudo-guerrières du Polisario. Espérant en effet démontrer dans la foulée que ses lobbys propolisariens ne respecteraient jamais l’intégrité territoriale marocaine. Mais, là encore, l’ambition de ces lobbys de s’allier à leurs gouvernements respectifs a fait psitt, du fait que le Congrès Américain n’en veut rien savoir de leur manigance anti Maroc. Car la politique d’Obama cautionnée par les démocrates et partagée sans ambages par les républicains, s’avère pleine d’attrait pour l’investissement au Maroc dans tous ses territoires notamment dans les trois régions du Sud (Dakhla-Laayoune-Guelmim).

       Néanmoins, est-ce que la société algérienne myope qui a enlevé ses  lunettes pour mieux apprécier le flou que provoque ce sauve-qui-peut politique du pouvoir vacant Bouteflika, ne sent-elle qu’il y a péril en la demeure ? N’est-ce là une manière inélégante de se laisser mourir avec et pour ce pouvoir qui l’a tant méprisée voire broyée de tous les cotés de sa rupture avec elle sous les yeux de l’ONU ? Par ailleurs, même si aujourd’hui, la communauté internationale s’en éloigne pour d’autres affaires plus urgentes en détournant les yeux, elle est tétanisée et préoccupée du cas algérien sachant pertinemment que le déclin de l’Algérie a démarré longtemps bien avant la chute du prix du pétrole et dérivés. Dont le DRS qui fut le vrai détenteur de la décision marchande et non la primature ni les ministères affiliés, n’y peut rien aujourd’hui. Dès lors que son pilotage impliquerait des restructurations des mentalités afin de pouvoir arriver à des conditions inespérées pour que l’Algérie s’en sorte.


       Mais en attendant, est-ce que les algériens qui croient toujours aux potentialités de leur pays, ne se demandent-ils si la cohorte qui les dirige n’est plus légitime ? Et que seul le réalisme de reconnaître que cette bande d’escrocs est leur pire ennemi dont ses scandales nombreux si rien n’est tenté pour les chasser du pouvoir, pourraient être un préambule à des cycles de tension populaire à venir. Voilà pourquoi il est temps pour le peuple algérien de s’organiser en partition de vivacité sociétale populaire entre ses angoisses et aspirations face à ce pouvoir. En confirmant son titre n’aimant pas la Hogra ni l’avilissement, d’abord en premier lieu d’organiser une Massira à Tindouf pour chasser le Polisario. Et, ensuite conséquemment donc de mettre le paquet et oser se confronter à cette de la présidence dans une bataille électorale sans merci, dont sûrement la débâcle à Ksar Lamradia ne s’arrêtera pas là. D’ailleurs le sauve-qui-peut rocambolesque de ce pouvoir n’en est qu’à ses débuts, comme le confirme la campagne enragée mise en fil des actualités par les groupes de pression pour rassurer ce qui en reste de ce pouvoir. Et ce, en contrepartie financière substantielle qu’ils touchent en tant que dû de leurs lobbyings douteux aux relations impérieuses les liant en plus aux opposants connus du Maroc. A bon entendeur salut !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire