Le lion de l'Atlas n'exprime jamais de lassitude ni de faiblesse, tellement il est patient inspirant la crainte car il est maître de ses lieux ! A cet égard, ne peut-on dire autant du Maroc de par l’effet de la puissance ingénieuse de ses services de renseignement déstructurant la
malveillance des arcs propolisariens et stoppant la nuisance des ténébreux
daechiens sur le terrain ? Au sens qu’aujourd’hui tous les services
sécuritaires de par le monde, imaginent l’avenir à court et moyen terme comme
un champ de bataille anti terrorisme notamment envers la machine infernale Daech. Dont Obama, en a enfin montré sa disponibilité purement politique de contrer ce danger planétaire que cette nébuleuse représente. Déclarant en ON que
les USA feraient le tout en tant que chef d’opérations pour l’anéantir en terre
en l’air et dans les mers, certainement par prise de conscience de ne pas laisser Poutine le stratège froid s'emparer seul du trophée et donc d'enraciner davantage Bachar Alassad. Mais la question qui taraude plus d’un, c’est quel
serait le rôle du Maroc dans cette lutte effrénée ou continuera à s’exercer la puissance
du renseignement pour contrer les ténèbres et malveillances ? D’autant que
depuis qu’il se préoccupe sans relâche de ce volet sécuritaire anti groupuscules
terroristes-daechistes porteurs de calamités, c’est même plutôt à lui que
l’Etat Islamique (EI) s’intéresse voulant lui porter des coups. Tout simplement
parce qu’il a montré sans conteste, de l’avis des observateurs nationaux et
étrangers, que sa sécurité multidisciplinaire est une réussite tant au plan
organisationnel en interne que professionnel missionnaire en externe.
C’est vrai,
l’approche sécuritaire au Maroc sous toutes ses formes est assez rodée autour
d’un programme précis concis et varié, au vu de la fréquence des démantèlements
des cellules terroristes. Et ce, entre ce qu’il a appris de faire des années
durant et ce qu’il fait aujourd’hui via le recrutement et la formation dans les
académies et écoles de police. Notamment, par son évaluation continue des
pratiques du renseignement, auxquelles la lutte antiterrorisme-nihilisme
demeure la priorité absolue permettant à ses différents services décentralisés
d’être toujours aux aguets. Mais, au-delà de ces choix sécuritaires au
demeurant non fortuits, ne fait-il souvent des mises à jour sur les thématiques
de vigilance et de mobilisations simulées pour parer à tous les dangers ? N’est-ce
là le but ou l’Arabie Saoudite veut en venir sous impulsion des USA, s’y engageant
avec le Maroc la Turquie le Sénégal et d’autres dans le montage d’une coalition
de 34 pays musulmans malheureusement sans l’Algérie. Et ce, pour créer un axe
régional stratégique de lutte anti terroriste, avec garde-fous et
rétrocontrôles probants en matière du respect des souverainetés ? Comme ce
que fait le Maroc prioritairement dans le développement de son concept innovant,
par la preuve diplomatique de croyance à la justesse de sa cause et la pratique
impitoyable presque guerrière anti Daech. Contrairement au pouvoir algérien s’étant
recroquevillé dans une forme rare dans l’échelle onusienne, mais néanmoins très
grave vu qu’elle est porteuse de malveillance. Car, se manifestant par les
signes de la schizophrénie du surmoi, que l’on pourrait appeler hyperexcitation
due au déficit du réalisme du danger daechiste. Dont la cause sous-jacente,
n’est autre que sa prédisposition FLNiste à l’excès de confiance sans commune
mesure, se conjuguant au défaut d’épuration des idées d’un temps révolu.
Néanmoins en l’occurrence,
pourquoi ce pouvoir ne sait-il que ce n’est plus vrai aujourd’hui avec l’apparition
de nouveaux facteurs ayant mis le peuple algérien sous-tension tributaire de la
santé du président Bouteflika ? Favorisant de fait le soutien du daechisme
via l’entretien du Polisario non toléré du peuple, la tension au sein de l’armée
et DRS, les coups et contrecoups pour la course à la présidence, la souffrance économico
sociale due à la baisse abyssale de la rente pétro-gazière et le grondement
sociétal dans les contrées voire Wilayas. D’ailleurs, tel qu’annoncé par les
différents Centres d’Etudes Stratégiques, l’année 2016 sera pour l’Algérie de tous
les dangers consécutivement au constat d’instabilité et d’insécurité dont elle
baigne désormais. Ainsi, si ce pouvoir algérien continue ses manipulations du
Polisario de Christopher Ross et des lobbys résiduels en UA (Union Africaine) et
UE (Union Européenne) à coups de milliards sans assurer prospérité tranquille
et vie en sécurité des algériens, il risquerait lui-même de raccourcir la
longévité d’Abdelaziz Bouteflika à la présidence. Ce à quoi face à cette
éventualité, l’armée fidèle à sa devise opérerait une autre saga de mise sous
tutelle du pays en l’engageant dans l’aléatoire et l’inconnu. N’est-ce donc
fini le temps ou les algériens se croyaient protéger du risque de guerre civile
par le pouvoir ?
En ce sens, n’en
parlons pas de la Tunisie apeurée qui doute, de la Libye meurtrie au bord de l’abime et de la
Mauritanie qui se cherche entre résistance et allégeance. De ce fait,
conséquemment personne ne peut nier la mobilisation tout azimut du Maroc,
l’une des plus documentées en matière du renseignement multisectoriel dans sa
répartition géographique de Tanger à Lagouira. Pour preuve, depuis le
secouement terrible du 16 Mai 2003 à Casablanca à ce jour, plus de 150
opérations ciblées ne manquant pas n’en plus d’originalité sont réalisées. S’ajoutant
aux dispositifs pris de contrer les terreurs daechistes, lesquelles s’étant par
ailleurs avérées des histoires de famille copains voisins et parfois mêmes de
larbins. Alors même que cette réalité reste pour partie inexpliquée, il n’en
demeure pas moins que son exploitation souligne que d’autres facteurs
extrinsèques sont la cause déclenchant la constitution en série voire en
dérivation de cellules dormantes.
A cet égard, est-ce
que le BCIJ (Bureau Central d’Investigations Judiciaires) quand il a commencé
son large travail en matière de communication nécessaire pour une meilleure
diffusion de ses activités contre les démons, n’a-t-il découvert des
positionnements dans l’arc politique marocain destinés à minimiser l’importance
des échanges de ces terreurs ? N’est-ce d’ailleurs le cas de quelques
relais associatifs malfaisants, adoptant au grand jour des postures
généralement vigoureuses sinon violentes envers leurs adversaires pour les
transformer en esprit du mal sociétal ? Arrivant même parfois, qu’elles
soient victorieuses en finissant par se retrouver auréoler sous l’aile
dominante du protecteur du moment. Et oui, de la vie du BCIJ, déjà huit mois se
sont écoulés avec un bilan primordial de lutte sans merci contre les
terroristes notamment les jihadistes. Une stratégie d’anticipation sur l’offre
morbide daechiste ici et là, dont le constat émerveille pas seulement les
services sécuritaires à travers le monde mais aussi les marocains sur tout le
territoire national. A bon entendeur salut !
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