mardi 15 décembre 2015

LE MAROC VOIT ROUGE CONTRE LES DÉMONS DAECHIENS, MAIS RESTE SEREINEMENT SUR LE QUI-VIVE FACE AUX MALVEILLANTS PROPOLISARIENS !

LE MAROC NE TRÉBUCHERA JAMAIS AU COURS DE SES CONTRE-OFFENSIVES SUR LES PAS DES DAECHIENS ET INVISIBLES MALVEILLANTS PROPOLISARIENS.

       Le lion de l'Atlas n'exprime jamais de lassitude ni de faiblesse, tellement il est patient inspirant la crainte car il est maître de ses lieux ! A cet égard, ne peut-on dire autant du Maroc de par l’effet de la puissance ingénieuse de ses services de renseignement déstructurant la malveillance des arcs propolisariens et stoppant la nuisance des ténébreux daechiens sur le terrain ? Au sens qu’aujourd’hui tous les services sécuritaires de par le monde, imaginent l’avenir à court et moyen terme comme un champ de bataille anti terrorisme notamment envers la machine infernale Daech. Dont Obama, en a enfin montré sa disponibilité purement politique de contrer ce danger planétaire que cette nébuleuse représente. Déclarant en ON que les USA feraient le tout en tant que chef d’opérations pour l’anéantir en terre en l’air et dans les mers, certainement par prise de conscience de ne pas laisser Poutine le stratège froid s'emparer seul du trophée et donc d'enraciner davantage Bachar Alassad. Mais la question qui taraude plus d’un, c’est quel serait le rôle du Maroc dans cette lutte effrénée ou continuera à s’exercer la puissance du renseignement pour contrer les ténèbres et malveillances ? D’autant que depuis qu’il se préoccupe sans relâche de ce volet sécuritaire anti groupuscules terroristes-daechistes porteurs de calamités, c’est même plutôt à lui que l’Etat Islamique (EI) s’intéresse voulant lui porter des coups. Tout simplement parce qu’il a montré sans conteste, de l’avis des observateurs nationaux et étrangers, que sa sécurité multidisciplinaire est une réussite tant au plan organisationnel en interne que professionnel missionnaire en externe.

       C’est vrai, l’approche sécuritaire au Maroc sous toutes ses formes est assez rodée autour d’un programme précis concis et varié, au vu de la fréquence des démantèlements des cellules terroristes. Et ce, entre ce qu’il a appris de faire des années durant et ce qu’il fait aujourd’hui via le recrutement et la formation dans les académies et écoles de police. Notamment, par son évaluation continue des pratiques du renseignement, auxquelles la lutte antiterrorisme-nihilisme demeure la priorité absolue permettant à ses différents services décentralisés d’être toujours aux aguets. Mais, au-delà de ces choix sécuritaires au demeurant non fortuits, ne fait-il souvent des mises à jour sur les thématiques de vigilance et de mobilisations simulées pour parer à tous les dangers ? N’est-ce là le but ou l’Arabie Saoudite veut en venir sous impulsion des USA, s’y engageant avec le Maroc la Turquie le Sénégal et d’autres dans le montage d’une coalition de 34 pays musulmans malheureusement sans l’Algérie. Et ce, pour créer un axe régional stratégique de lutte anti terroriste, avec garde-fous et rétrocontrôles probants en matière du respect des souverainetés ? Comme ce que fait le Maroc prioritairement dans le développement de son concept innovant, par la preuve diplomatique de croyance à la justesse de sa cause et la pratique impitoyable presque guerrière anti Daech. Contrairement au pouvoir algérien s’étant recroquevillé dans une forme rare dans l’échelle onusienne, mais néanmoins très grave vu qu’elle est porteuse de malveillance. Car, se manifestant par les signes de la schizophrénie du surmoi, que l’on pourrait appeler hyperexcitation due au déficit du réalisme du danger daechiste. Dont la cause sous-jacente, n’est autre que sa prédisposition FLNiste à l’excès de confiance sans commune mesure, se conjuguant au défaut d’épuration des idées d’un temps révolu.

       Néanmoins en l’occurrence, pourquoi ce pouvoir ne sait-il que ce n’est plus vrai aujourd’hui avec l’apparition de nouveaux facteurs ayant mis le peuple algérien sous-tension tributaire de la santé du président Bouteflika ? Favorisant de fait le soutien du daechisme via l’entretien du Polisario non toléré du peuple, la tension au sein de l’armée et DRS, les coups et contrecoups pour la course à la présidence, la souffrance économico sociale due à la baisse abyssale de la rente pétro-gazière et le grondement sociétal dans les contrées voire Wilayas. D’ailleurs, tel qu’annoncé par les différents Centres d’Etudes Stratégiques, l’année 2016 sera pour l’Algérie de tous les dangers consécutivement au constat d’instabilité et d’insécurité dont elle baigne désormais. Ainsi, si ce pouvoir algérien continue ses manipulations du Polisario de Christopher Ross et des lobbys résiduels en UA (Union Africaine) et UE (Union Européenne) à coups de milliards sans assurer prospérité tranquille et vie en sécurité des algériens, il risquerait lui-même de raccourcir la longévité d’Abdelaziz Bouteflika à la présidence. Ce à quoi face à cette éventualité, l’armée fidèle à sa devise opérerait une autre saga de mise sous tutelle du pays en l’engageant dans l’aléatoire et l’inconnu. N’est-ce donc fini le temps ou les algériens se croyaient protéger du risque de guerre civile par le pouvoir ?

       En ce sens, n’en parlons pas de la Tunisie apeurée qui doute, de la Libye  meurtrie au bord de l’abime et de la Mauritanie qui se cherche entre résistance et allégeance. De ce fait, conséquemment personne ne peut nier la mobilisation tout azimut du Maroc, l’une des plus documentées en matière du renseignement multisectoriel dans sa répartition géographique de Tanger à Lagouira. Pour preuve, depuis le secouement terrible du 16 Mai 2003 à Casablanca à ce jour, plus de 150 opérations ciblées ne manquant pas n’en plus d’originalité sont réalisées. S’ajoutant aux dispositifs pris de contrer les terreurs daechistes, lesquelles s’étant par ailleurs avérées des histoires de famille copains voisins et parfois mêmes de larbins. Alors même que cette réalité reste pour partie inexpliquée, il n’en demeure pas moins que son exploitation souligne que d’autres facteurs extrinsèques sont la cause déclenchant la constitution en série voire en dérivation de cellules dormantes.

       A cet égard, est-ce que le BCIJ (Bureau Central d’Investigations Judiciaires) quand il a commencé son large travail en matière de communication nécessaire pour une meilleure diffusion de ses activités contre les démons, n’a-t-il découvert des positionnements dans l’arc politique marocain destinés à minimiser l’importance des échanges de ces terreurs ? N’est-ce d’ailleurs le cas de quelques relais associatifs malfaisants, adoptant au grand jour des postures généralement vigoureuses sinon violentes envers leurs adversaires pour les transformer en esprit du mal sociétal ? Arrivant même parfois, qu’elles soient victorieuses en finissant par se retrouver auréoler sous l’aile dominante du protecteur du moment. Et oui, de la vie du BCIJ, déjà huit mois se sont écoulés avec un bilan primordial de lutte sans merci contre les terroristes notamment les jihadistes. Une stratégie d’anticipation sur l’offre morbide daechiste ici et là, dont le constat émerveille pas seulement les services sécuritaires à travers le monde mais aussi les marocains sur tout le territoire national. A bon entendeur salut !

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