jeudi 27 septembre 2012

EL OMARI ILYAS, LE PAMISTE QUI A DU FAIRE APPEL A SA PATIENCE POUR NE PAS ÉCLATER FACE AUX MÉDISANCES.



UN HOMME DU TEMPS PRÉSENT ACQUIESÇANT LES COUPS AVEC INTELLIGENCE. MÊME SI, LE TON AGRESSIF PARFOIS INQUISITEUR DE SES ENNEMIS POLITIQUES L’EXACERBE DANS SON AMOUR PROPRE ET L’EXASPÈRE AUTANT DANS SES MOMENTS DE SILENCE. SAUF QU’EN SE TAISANT PAR INSTANT JOUANT LE RÔLE DE CELUI AYANT L’HONNEUR OUTRAGÉ, IL RECOUVRE DU MÊME COUP  SON INTRANSIGEANCE. DONT CERTAINS PARMI EUX AVAIENT EU, DÉJÀ, TELLEMENT A EN SOUFFRIR. COMME AUSSI ACTUELLEMENT POUR D'AUTRES SE VOYANT CONTRAINT A REVENIR A LEUR STATUT DANS LA PRESCRIPTION-ÉQUIVALENCE-GÉNÉRIQUE DES CAS DE SOUFFRANCE.

C'EST AINSI QU'IL TROUVE DANS SA CONSCIENCE L’ESSENCE DE SA VAILLANCE PAR LE COURAGE D’ÉCRIRE ET L'AISANCE DE DIRE LES MOTS SANS COMPLAISANCE, NI LE MOINDRE ESSAI DE COMPRÉHENSION DES NUISANCES POUVANT SURGIR DANS LE CHAMP POLITIQUE MAROCAIN D’UN COTE COMME DE L’AUTRE DE SA PROPRE LIGNE DE CONDUITE.

EN TOUTE FRANCHISE IL SE POURRAIT DANS L'AVENIR S’ARRACHER CES PENSÉES DE SON ESPRIT, ET DIRE DES MOTS TENDRES QUE CHABAT ET D’AUTRES PRENDRAIENT POUR CAUTION D’UN CESSEZ-LE-FEU. ET CE, EN VUE D’ACTIVITÉS D’UNION NATIONALE POUR AFFRONTER LA PERTE DE LA CONFIANCE DÉJÀ INSTALLÉE VIS-A-VIS DES POLITIQUES MAROCAINS, ET DONNER SON VRAI SENS A LA NOUVELLE CONSTITUTION DONT IL SE SERAIT TARGUÉ  DE NE PAS L'AVOIR VOTÉE.

N'EST-CE PAS QU'EN POLITIQUE TOUT EST POSSIBLE, SURTOUT EN RÉAPPRENANT A PROVIDENCE LA MODÉRATION ET LA POLITESSE DANS LES PROPOS, LOIN DES OBSTINATIONS NE FAVORISANT QUE LA FRACTURE DE LA COHÉSION SOCIALE ET SOCIÉTALE? CE QUE LUI PERMETTRAIT CERTAINEMENT SA RIGUEUR ET QUALITÉ DE TRAVAIL POUR JOUER UN RÔLE DE RÉGULATEUR DANS LES POLITIQUES AVENIR.  

MAIS ATTENTION DE PRENDRE CETTE RÉFLEXION POUR ARGENT COMPTANT ET REFAIRE LE MÊME CHEMIN D’AVANT SUR LE DOS DES PETITES GENS. LES REGARDS DURS DU M20F ET DE LA SOCIÉTÉ CIVILE N’ONT PAS FAIBLIS, ILS CONTINUENT A SE POSER SUR TOUT LE MONDE EN SCRUTANT LEURS INTENTIONS, PARCE QU’ENCORE CHARGÉS  DE MÉFIANCE VU LE FLOU DES LIGNES DE DÉMARCATION.

De quel cosmogénie politique EL OMARI  Ilias se voit-il porteur dans ce brouhaha partisan bizarroïde ?

       Un homme politique confectionné à l'étranger, de sensibilité gauche sociale, ne s’illusionnant guère du sentiment que lui portent ses détracteurs à la société des érudits des cercles concentriques du sérail comme Hassan Aourid, Tayeb Fassi Fihri et d’autres. Mais aussi au PJD, à l’USFP et surtout au PI devenu depuis sous la houlette de Chabat qui officiait avant son élection à la tête du parti PI à visage découvert contre le PAM. Une attitude qu’il va falloir suivre de près, vu le désappointement des pjdistes suite à cette élection qui risque de tout faire capoter.

       De fait, sa présence dans l’entourage proche est considérée inamicale, provoquant pratiquement un front contre lui, parce que de plus, ne venant pas des mêmes itinéraires qu’eux. Alors qu’il avait brillé auparavant par son ontologie de l'amazighité, vu sa dépendance multitraitement par rapport au Rif son fief d’origine auquel il y est très attaché. 

      Mais, la question que beaucoup de gens se posent, est-ce la force de son raisonnement quelque peu autoritaire, qui l’a fait aboutir à une conciliation de la modernité et l'authenticité ? C’est encore à creuser, en regard de son soi-disant courage n’avalant guère son langage et s’affirmant par ses idées. Parce que c’est là où réside le substrat de finalité d’analyse de l'aura de son érudition, en plus de celle comportementale, signant sa nouvelle devanture politique en prenant pour caution l'amitié d’El Himma. N'est- ce, ce qui lui vaut encore injustement des échanges par médias interposés d’une virulence inouïe avec ces érudits, jusqu’à en arriver peu à peu à l’épuisement de leur résistance nerveuse ? En vérité est-ce utile à la démocratie ce genre de percolation des monographies non essentielles de leurs pedigrees, paraissant, ne servir que leurs jalousies respectives les uns par rapport aux autres? En tout cas, pour les scrutateurs du champ politique marocain, elles permettent les clarifications au cour desquelles leurs imaginations affolées par les déballages sont devenues matière à consommer journalistiquement. jusqu'à s'en rassasier.

      En revanche au début, du moment, que son étoile commençait à scintiller avec l'apparition du MTD mouvement de tous les démocrates crée sous l'impulsion d'El Himma,  soudainement  l'impossible  pour  lui était  devenu   possible. Contrairement à d’autres charmés de son agitation, plongeant dans le silence et le repos sur les coussins du MTD. L’attendant, le voyant d’un instant à l’autre faire  de  l'ombre  à ses compagnons au sein de ce mouvement qui se voulait citoyen. Et c’est vrai que c'est ensemble qu'ils l'avaient transformé en parti politique le PAM, réunissant beaucoup d'ennemis d'hier entre eux, en donnant l'apparence d'instaurer la normalité dans la diversité. Sauf qu'avec ses amis les plus proches en essayant de transposer leurs espoirs politiques tant attendus, ils avaient bunkerisé le secrétariat général sans le savoir. Un non sens politique à ce moment, compte tenu en plus de la filiation de ces transfuges ouatés orgueilleux recueillis tambour battant, et des mastodontes richissimes mais usés venus d'ailleurs en quête de nouvelle virginité politique.
       Pareille naïveté n'est pas anodine sur ces débuts marqués de dispositions spéciales seulement vers le tremblement et non l’épanouissement du parti. Vu qu'on commençait à douter, sur le futur du parti avant même les défections successives et surtout après qu'El Himma ait rompu le motus vivendi menaçant en subliminaire de rendre le tablier. Néanmoins toujours avec ses amis, au lieu de débarrasser le parti de ce lestage absurde, et tenter de le sortir des méandres coupés de fondrières, ils ont continué à porter des bandeaux opaques sur leurs yeux croyant réjouir les adhérents par seulement les excès de verbiage en réponse à leurs nombreux détracteurs, surtout les pjdistes. Aussi, comme si rien n’était, ils ne savaient quoi faire pour éviter la plongée dans la douleur des ombres des gueguerres endogènes, paraissant inéluctablement fabriquant un feuilleton risquant  l’inachèvement.


       Néanmoins, le concernant personnellement, c'est en percevant l'animosité dont il faisait l'objet qu'il décida de réveiller la mémoire non sans raison de son vrai visage en optant pour la poigne pure et dure antiPJD. Parce qu’il était blessé au fond de lui-même après avoir vu son portrait brandit, et vivement décrié dans les manifestations des rues par la jeunesse du mouvement 20 Février demandant sa disparition de vue. Il est vrai que ça sentait bizarrement la manipulation à coup de gros billets, vu la dureté des propos des écriteaux adoptés et la nature diversifiée des panneaux utilisés qui n'étaient en rien spontanés pour le déstabiliser. 

     Ainsi, avalant contre son gré l’embrouillamini provoqué, jugeant plus raisonnable de s’esquiver, comme ça il se laissa à son tour glisser vers la temporisation, réfléchissant à ce qui allait suivre ! Quand aux balivernes sournoisement distillées, elles contenaient des messages dont on peut maintenant bien entendu deviner les signatures. Et ce, dans le but d’attiser le feu des marches et rassemblements sur les places en se hâtant à vouloir le brûler avec d’autres sur les braises du souffle printanier marocain. Qu’au demeurant, même actuellement certains surfent encore sur cette vague, s’étourdissant pour oublier leur raté qui a  permis à d’autres de s’accaparer de la chefferie de l’Exécutif alors qu’ils n’ont pas participé à la criée du moment.



       Bien sur qu’à l'ores des élections législatives anticipées, suite à cette atmosphère de suspicion le concernant, il demeurait seul avec sa colère. Au point qu’il en était devenu le pestiféré de son propre parti, tellement qu'à l'apparition des premiers résultats on cherchait à lui endosser vainement cet échec. Finalement, on ne peut être trahi que par les proches et les siens, vu que le PAM était comparé par les analystes avertis, à un paquebot qui navigue à coté des récifs rappelant l’accident de Costa Concordia sur la cote italienne. En effet, l'improvisation et la surprise auraient pu être au rendez-vous, seulement, les efforts tardifs d'amaigrissement d'avant les législatives, consentis par Biadillah en débarquant les opportunistes ne laissant apparemment que les valeurs sûres, avaient amortis le choc. C’est vrai, le résultat du 25 Novembre n'a pas été aussi décevant pour le PAM, comparativement à tous les autres partis du gouvernement sortant.

       La démocratie des urnes est faite ainsi, et ce ne sont pas les explications caverneuses en ce moment, saupoudrées de questionnements narratifs sur la rentrée politique qui effaceront la résistance à l’échec. Seul le fait de sortir des caprices politiciens de bas de gamme dont tout le monde est conscient, permettra aux jeunes prétendants à la chose publique de s’élever au dessus du pareil au même d’antan. 

       N’est-ce pas qu’il est temps de rejeter le voile et s’apprêter à prendre position claire pour le bien de l’apprentissage de l’alternance par les urnes. Où, l’espoir de faire renaître la politique en serait de mise sans mystère d’élasticité d’attraction pour le pouvoir selon les moments, ni regret d’un quelconque éloignement de ministérialité. D’autant plus, le gouvernement de surcroît trop benkiranisé par ses attitudes emphatiques, n’est plus étendu de toute sa composition sur les maroquins comme au début de la législature, s’efforçant de ne penser qu’à vilipender les quelques ministres sortants du gouvernement Abbas Al Fassi. Dès lors qu'il commence à fermer les yeux s’essayant d’éviter de supporter leur regard encore plus puissant qu’il ne l’était auparavant. Parce que les ressentant, ne s’abandonnant plus aux soins de la politesse et la correction dans leur riposte, mais se l’appropriant toujours virulente, à propos du constat d’incompétence flagrante de  certains membres.


       En effet actuellement pour affronter la destinée assumée dans l'opposition, il parait beaucoup plus poignant mais serein, s’employant à s’accoutumer de ce nouveau rôle. Sachant que les gardes fous avaient été renforcés aux différentes portes d’entrées du PAM, ne laissant plus les professionnels des lamentations ridicules à leur aise et qui ne cherchaient qu’à les faire parvenir jusqu’aux oreilles de celui qui n’est plus dans les rangs. Il est vrai qu’avec Benchamass Ben Azzouz Aboulkacem et d’autres, ils n’ont nul besoin de conseils pour affronter les médisances les concernant, surtout celles instillées par des crieurs de service à la solde de leurs ennemis connus déclarés où pas.
  
      Désormais il se sont mis en devoir avec Bakkouri en tant que chef du parti, à vider la corbeille des badges du parti, dont beaucoup de faux adhérents voulaient juste se servir comme sauf conduit et être bien en cour, n’ayant rien compris du changement en la demeure. Aussi ils se sentent mieux armé, l’esprit plus libre pour répondre à l’arrogance non calculée de quelques amnésiques de leur propre historicité politique événementielle en intra où extra muros, et frapper sans courtoisie là où il faut quand il faut pour remettre les pendules à l’heure, quitte à réveiller la mémoire des morts.

       En effet, mais alors sans parti pris, quand des jeunots politiciens de la coalition gouvernementale s’aventurent sur un terrain qu’ils ne maîtrisent pas, s’écoutant raconter par analogie des histoires en appliquant des conseils et consignes sévères sans garde attentive, fatalement ils s’exposent à l’ire de leurs semblables de l’opposition usfpéistes pamistes rnistes ucéistes vraiment initiés à la politique, chacun dans son positionnement parce que bien rodés à l’expression par les chiffrages et non l’emphase. C’est en tout cas l’impression laissée partout sur les plateaux de télévision, notamment chez Adaoui à l’émission Qadaya oua Araa sur la rentrée politique du moment. N’a-t-on pas dit, dès lors qu’on habite une demeure à vitrage même fumé mais non armé, on ne s’amuse pas à lancer en premier les pierres à tort où à raison sur les ennemis ? Au Maroc, tout le monde le sait beaucoup de politiques traînent des casseroles mais se font plus discrets espérant de se faire oublier et se racheter. Que nos jeunes à l’heure de la toile internet, se mettent à potasser l’histoire non officielle des partis et aussi des politiques en piochant dans le déroulé du fil d’actualités, pour s’armer de conviction sur les étapes vécues par tous, et non à faire les perroquets disant des sottises et contre vérités.    
     

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