lundi 2 octobre 2017

A QUAND LA FIN DE LA FOLIE DURABLE DE L’ÉQUIPE BOUTAFLIKA PAR LA RÉINTERPRÉTATION DE SOI-DISANT COUP DE GUEULE ?

CA SUFFIT, Y'EN A MARRE DE CETTE FOLIE DU RUISSÈLEMENT DU MÉPRIS DURABLE DES FAUCONS CIVILS ET MILITAIRES DU POUVOIR ALGÉRIEN A L’ÉGARD DU MAROC !

       Il ne faut pas se leurrer, le mépris de l'équipe Boutaflika envers la Tunisie et surtout le Maroc, a émergé dans les réunions passe-temps de certains dirigeants militaristes du FLN estampillés de panarabisme violent. On dit même, que Feu Boumedienne y est pris des notes pour ses rêveries de l'emmerdeur solitaire prédestiné à la notoriété par coup-d’État, parce qu'il se voyait déjà porteur de leur espoir de mettre le Maroc sous ses bottes. Et dont, ses successeurs n'ont jamais cessé de les consulter pour ne point le laisser tranquille dans ses recouvrements de toutes ses souverainetés territoriales. Tellement, au début des guerres d'indépendance au Maghreb, ils qualifiaient de moins noble origine les élites francophiles, jusqu'à les taxer de mauvaise réputation pour en faire un effet d'entrainement pour régler leurs comptes en interne dans les maquis. Pourtant, personne ne peut nier que ces élites travaillaient avec intelligence, elles-aussi, pour l’indépendance à leur rythme et à leur façon n'en comprenant qu'elles soient considérées un creuset d'aristocrates dans les termes les plus inadmissibles. En l'occurrence ''deuxième-francesses'', et ce, dans une ambiance d'échange de gros sous qu'au début arrivaient du Machreq pour cette propagande-bluff. Dont les panarabismes via leurs alliances de façade de l'époque, en ont fait leur langage courant pour les salir, ainsi que les récalcitrants à cette option de calomnies pures et dures que les historiens commencent à en livrer les dessous des jeux injustifiés de chats et souris. 

       A l'évidence, pour le Maroc et pas seulement, les tenants du pouvoir à Ksar Lamradia en sont encore au même point du début de leur manipulation qui n'a que trop duré. Dans l'espoir de continuer la réinterprétation du soi-disant leur coup de gueule, mais cette fois, en usant en plus du jeu dangereux de recherche d'atouts pour le narguer, par des montages d'actes de scènes et de pactes politiques qui relèvent de leurs rêves de redistribution de la carte géographique de la région. A même de se voir déçus, car n'arrivant pas à le braquer dans ses conditions de sa réalisation en tant qu’État souverain, de surcroit fort stable et entreprenant selon ses propres moyens. Et, d'où, il s'essaye malgré tout, de se projeter avec le temps à l'international, comme pays de taille moyenne toujours à la recherche d'assurance sur le plan gouvernance. Loin de toute fragmentation, dont tout le monde a compris dès ses premières actions jour après jour et tout au long de son vécu depuis 1956, que sa volonté se régénère et se restructure pour retrouver et consolider durablement son capital politique tout en sauvegardant son authenticité. D'ailleurs, n'est-ce à cause de cela, chez les faucons de la trempe de Messahel-Laamamra-Cherqui qui s'accordent à l'influence des Généraux,  la manipulation ne souffre d'aucune limite pour contrarier le Maroc dans sa feuille de route ? Au point que, quand ils disent dans leur nouvelle folie chacun dans son rayon d'action, qu'ils sont à la recherche d'un terrain politique pour l’autodétermination et non de l'entente avec le Maroc sur son offre d'autonomie dans la régionalisation avancée, très franchement ne passent-ils pour des gens rêveurs non réalistes et non cohérents avec les Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU ?

       Néanmoins, pour être plus complet à ce propos, n'est-ce là, où l'on voit que leur plan de sortie de leur bras de fer avec le Maroc pour le compte du Polisario, n'est autre qu'un levier de contrepoids réguliers qui rendent la visibilité encore plus confuse. Même si, l'illustration est rude, car il y a dedans, effectivement, toute une série de signes défavorables sur les questions de sécurité et lutte anti terroriste dans le Sud algérien notamment dans les camps de Tindouf Rabouni et autres...En quelque sorte, voilà pourquoi, l'on peut dès à présent annoncer au monde la raison pour laquelle, ces manipulateurs usurpateurs se montrent nerveux actuellement, n'aimant pas le cadre du travail des diplomates marocains. Qu'en effet, ils leurs ont fait subir sans tremblement ni faiblesse et de manière humiliante pour le pouvoir Boutaflika, tant de déconvenues et déconfitures dans tous les affrontements politiques et à tous les niveaux. Particulièrement, à New York au temple onusien où Messahel-Laamamra ont beau raconté leurs contes et aussi à Genève au Comité International des Droits de l'Homme où leurs représentants enragés jouent leurs rôles de vieux lascars perturbateurs de la sérénité des débats. S'additionnant aux consultations à Bruxelles chez leurs lobbys au sein des arcanes de l'UE, passant par leur façon de faire les yeux doux à la ligue arabe tout au moins ce qu'il en reste au Caire. Sans oublier à Addis-Abeba dans toutes les sous-commissions, dont faut-il le rappeler, quand l'incivil Smail Cherqui faisait le marchand de biens, se plaisant à soi-disant prêter l'argent aux délégués africains en difficulté pour continuer à avoir main-basse sur la commission de l'UA.

       D'ailleurs, aujourd'hui, à l'ONU, ils ne passent pas pour des gens honorables mais seulement des acteurs non sereins qui s'en mordent les doigts, et même à ce propos ne s’endorment plus, ayant honte de leur lâcheté au vu de l'argent gaspillé pour rien, étant donné le Maroc a rejoint triomphalement l'UA. Avec en plus cerise sur le gâteau, une perspective encourageante de faire sortir plutôt tôt la RASD de ses rangs et mettre fin à la nouvelle folie du ruissèlement durable du mépris de l'équipe Boutaflika à Ksar Lamradia vis-à-vis des pays africains. A cet égard, que les choses soient claires, ne peut-on jugé de l'importance de l'opportunité qui s'offre au Secrétaire Général de l'ONU de ne pas se faire berner à son comité de médiation ? Comprendront qui voudront ! Pour ne pas laisser Laamamra faire appel aux chercheurs onusiens des vulnérabilités épicritiques des pays africains, notamment, ceux qui contredisent ouvertement la thèse algérienne pro Polisario. D'autant plus, ne voudraient que ces vulnérabilités qui se traduisent déjà par une hausse de commandes coercitives dans d'autres domaines, pour les mettre au pas. Alors, n'est-ce le moment de crier, basta en ces jours de souffrance mondialisée par la rupture de dialogues constructifs et replis sur soi, ? Et d’arrêter ce jeu machiavélique, de vouloir permettre à l'Algérie de renforcer une décision ferme sans tenir compte du cas de la Kabylie, par le pari fou pour l’autodétermination au Sahara marocain. 

       Aujourd'hui, il faut le dire, même dans l'inquiétude justifiée au vu de beaucoup de flottement décisionnel en interne, ne peut-on confirmer que le Maroc ne laisse rien au hasard ? Contrairement, à ce que colportent les vendeurs de leur âme aux ennemis, et qui sont toujours dans le déni concernant ses avancées culturelles cultuelles écologiques et sécuritaires, qu'au demeurant, elles se répercutent sur sa position parmi le Top 5 des pays africains en matière de dynamisme socioéconomique. A cet égard, pourquoi vont-ils jusqu'à essayer s'interposer, malicieusement, par des analyses et exégèses lugubres sur les perspectives de son désir d'avenir ? N'est-ce, pour ne le laisser mettre à son profit le temps passé dans sa recherche de la bonne gouvernance, certes non sans difficultés pour l’Émergence légitime tant espérée ? Comme ça, si c'est ça le calcul du pouvoir Boutaflika de se venger de ce qu'il ait pu subir comme défaites diplomatiques, en jouant calamiteusement ses coups pour intimider voire contraindre le Maroc, il se fout le doigt dans l’œil. N'est-ce, aussi cela qu'en plus apporterait au Maroc un progrès décisif dans la véritable révolution sociale qu'il vit avec prudence et détermination, et/où le programme anti fatalité agit avec une extrême précision sur la restructuration étatique en voie d'élaboration ? Même si, c'est encore fait avec lenteur pour renverser pour de bon, les rapports de force avec les ennemis de l’intérieur comme de l'extérieur, que par ailleurs les marocains attendent. A bon entendeur, salut !

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