mercredi 27 septembre 2017

POURQUOI LE SELF-CONTROL DES RESPONSABLES SECURITAIRES MAROCAINS GENE LE POUVOIR ALGÉRIEN ET LUI FAIT PEUR ?

LE POUVOIR BOUTAFLIKA N'EST PLUS CONTRÔLABLE, IL RIT DE SES PERSPECTIVES PLEURE DE SES RATÉS CRIE DE SES ANGOISSES ET MENT DE SA SITUATION A LA FOIS ?

       A présent, l'on peut confirmer que la géopolitique royale, celle qui a relancé la gamme du renouvellement diplomatique multi régénérant des partenariats stratégiques gagnants-gagnants dans tous les continents, peut durer. Il suffit de la stimuler pour qu'elle reste offensive et en même temps capitalisante et valorisante des victoires politiques sur le terrain surtout en Afrique. Dont, l'influence des services de renseignements civils et militaires est évidente, par autant de personnes-clés autour du Roi Mohamed VI en ces moments charnières dans la vie bousculée des pays de par le monde. Ce qui, d'emblée gène et fait peur au pouvoir algérien dès lors que les responsables sécuritaires marocains n'aiment participer à aucun événement sans en connaitre les bas-fonds des scénarios. Aussi, de ce point de vue, attention de continuer de donner l'impression que le ministre Bourita des Affaires Étrangères et de la Coopération est seul face à la triplette Messahel-Laamamra-Cherqui et leurs enragés éclaireurs à Genève Pretoria New York Bruxelles Addis-Abeba Nouakchott Bamako Lagos Le Caire Londres Tunis Caracas et Montevideo. Cela, évidemment, enverra de mauvais signaux sur le changement du paradigme de stratégie diplomatique du Maroc en ce qui concerne le renforcement de lutte anti terrorisme. Ce que toute l'UE apprécie, particulièrement, l'Espagne la France le Royaume-Uni la Belgique l'Allemagne l'Italie et la Hollande, s'expliquant cette efficacité par le mode d'action exclusif des services spéciaux marocains. Lesquels, ne cessent d'anticiper sur les faits et actes, par un travail méticuleux, résultat de compétences mises en œuvre et d'une expertise inclusive maintenant demandée de par le monde.

       Voilà ce qui nous amène à avancer que plus de 64 ans, partout, le pouvoir algérien n'a cessé de jouer à qui veut toujours perdre face au Maroc. En plus le faisant, paradoxalement, dans un dédale tactique-diplomatique qui en dit long sur sa fixation avec sa cohorte de pays qui lui sont inconditionnels pour le non respect du Droit International. Allant, en dépit des règles basiques du bon voisinage et de la sécurité, jusqu'à provoquer le chaos dans ses interstices de gouvernance assez mitigée à Ksar Lamradia à Alger. Car, obligatoirement, il se trouve toujours plongé dans les secrets de son passé, par rapport à ses prédictions préférentielles actuelles pour Aqmi Daech et autres groupuscules terroristes dans la région MENA Sahel subsaharienne africaine. Ainsi, de fait, il est difficile d'imaginer un autre changement de son attitude malencontreuse, à la fois riant de ses mésaventures avec son avorton le Polisario, pleurant de ses ratés de mauvaise gestion criant de ses angoisses et mentant sur sa situation vis-à-vis de celle du voisin de l'Ouest. D'où, aussi, il est aisé d'y voir quatre célèbres enchainements-envenimements des relations Rabat-Alger, de surcroit l'ayant mis dans un état cauchemardesque de confusion de ne pouvoir tenir le cap comme État moderne. A première vue, de bien lointaines origines qui auraient traversé pour des raisons diverses, l'empire ottoman l’Égypte mamelouk et l'occident colonisateur en l'occurrence. Et dont, chemin faisant après les indépendances l'ont mené à des postures dangereuses anti Maroc, primo la guerre des sables 1963, secundo l'expulsion dans un sens et l'enlèvement voire séquestration dans l'autre de nombreux marocains sans défense par ce pouvoir militariste au lendemain de la Massira (Marche Verte) 06 Novembre 1975 coté marocain, tertio la fermeture des frontières terrestres par suite d'attaque terroriste à l’Hôtel Atlas Asni 1995 à Marrakech et quarto l'essai-harcèlement diplomatique sans arrêt dans toutes les instances internationales notamment à l'UA UE et ONU.

       Et oui, aujourd'hui, tout à coup, la main des manipulateurs au sein de l'UE semble encore vouloir prendre une longueur d'avance sur le Maroc. Une attitude, dont il vaut mieux ne pas s'y habituer, ni par dépendance ni par inadvertance et encore moins par docilité de ne provoquer des remous à Abidjan lors du Sommet UE-Afrique. Alors, faut-il le rappeler, n'est-ce là où l'on voit toute une plaie de mésentente qui s'agrandit avec le temps, n'ayant abouti qu'à plus d'incompréhension éprouvée parfois non nuancée de la part du gouvernement algérien à l'endroit du Maroc ? Comme ça, l'on peut annoncer à l'approche de ce Sommet UE-Afrique à Abidjan, attention il y a danger le fennec algérien prend une réputation de grand méchant ! A l'exemple de ce qu'il a préparé pour le Sommet Japon-Afrique à Maputo au Mozambique en voulant gérer à mi-distance de façon machiavélique, l'imposition de la RASD aux Travaux dont le Japon n'en voulait pas. Une façon pour lui en tant que pays organisateur, de montrer sa suspicion à propos des effets des facteurs de nuisance au Sommet sur la base d'informations vérifiées de ce que représente la RASD au sein de l'UA après le retour triomphal du Maroc. D'autant plus, il faut le marteler sans gêne, aujourd'hui la même suspicion n'est pas levée sur les lobbys pro Algérie qui ont atteint un grade de haine inégalable contre le Maroc. Ce qui traduit, qu'un débat enflammé au quatre coins de l'UE est en voie de voir le jour pour protéger la version initiale de ce Sommet, celle de l'UE-Afrique dont la RASD ne serait conviée, étant donnée qu'elle n'est nullement reconnue à l'ONU.

       A cet égard, n'est-ce pas la même suspicion demeure et sera, la base de la réaction marocaine pour accélérer le déstockage des coups-bas en préparation par l'Algérie et ses lobbys corrompus en Europe ? Voire aussi, n'en déplaise aux ennemis, devenir le socle de l'impulsion pour la rupture avec leur mode d'hypothèque de l'avenir UE-Maroc. Qu'effectivement, à chaque occasion Mme Moghirini à son corps défendant, trouve que c'est la seule façon, coté marocain, de s'opposer à la rigidification des racines de ce mal algérien désolant. Par ailleurs, n'est-ce pas à maintes reprises, elle-même, a mis nommément en cause les lobbys s'y liant, surtout dans la lutte de l'UE contre les flux migratoires le terrorisme et le trafic de drogues des armes des faux-médicaments et la traite esclavagiste ? Autant le dire, le monde les perçoit, toujours tentaculaires en effectivité au quotidien dans la cale de la machine UE à Bruxelles, pour faire passer  le pouvoir Boutaflika comme victime. Évidemment, pour stopper ses agitations ne faut-il un plaidoyer passionné par le Maroc, dans tous les supports et plateformes médiatiques y compris sur le Net, afin de le montrer non seulement avançant face au vent mais aussi trainant ses boulets de sa mauvaise gouvernance derrière lui ? D'autant plus, aujourd'hui, mieux vaux arrêter de faire des réponses évasives plus désolantes, sur le comportement controversé des diplomates algériens à l'égard de leurs homologues marocains. A bon suiveur, bon décryptage ! 

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