Après
l’événement-hécatombe du décès du jeune poissonnier marocain d’Al Hoceima cette
ville du Rif marocain dont le pouvoir algérien et ses manutentionnaires dans
leurs relais mensongers à ce propos, ont montré que la vie politique au grand
Maghreb vaudrait la peine d’être scrutée dans les détails. D’autant plus, il
faut le dire sans complexe ni faux-fuyant, elle n’est en effet plus exemplaire en respect des souverainetés marocaines comme d'antan. Ayant
montré en ce temps présent l’invraisemblable concentration de velléités que possèdent certaines
composantes de l’arc politico-syndical, encore heureux peu nombreuses et peu influentes dans cet espace à son endroit. Et
ce, de par l’expression de leurs ego et surmoi relevant de l’âge du rideau de
fer, ne supportant ni son envolée déterminée sociale économique écologique ni sa stabilité de par sa vigilance sécuritaire-cultuelle et encore moins sa cohésion sociétale même en phases incontrôlées d’incompréhensions
douloureuses voire paroxystiques comme dans le malheureux cas de l’écrasement
de ce jeune dans une benne à ordures. Ce qui revient à démontrer vaillamment
leur perte du temps et terrain à cause de leurs plans perfides par méconnaissance de ce
que c’est vraiment le Maroc, ce pays de foi et de combat pour la démocratie
dans la sérénité et la responsabilité qui rendent grand tout son peuple.
Néanmoins, pour
rassurer même symboliquement, n’en pensez pas que c’est une obsession mais
c’est juste un rappel que pour le pouvoir algérien incorrigible, son rêve
sulfureux à court terme c’est noyer le poisson de ses échecs cuisants en
s’octroyant illicitement illégitimement le droit de s’immiscer à tous les
niveaux par la manipulation dans les affaires internes du Maroc. Une preuve
manifeste qu'il prenne ses désirs pour réalité sans rougir ni même se demander à quoi ça risquerait de l’amener à long terme son agitation scandaleuse non fondée injustifiée à l’encontre du voisin de l’Ouest. Oubliant les événements récents de Kabylie de Ghardaia et de tout le Sud, n’en sachant alors que sont salut
se trouve dans l’idéal du futur commun avec ce voisin en co-développement sain
et exempt de langage glauque. Non seulement en opportunités mais aussi en
rayonnement en Afrique et ailleurs au point d’y voir un rapport à présent
embarrassant pour la Tunisie maladroite incohérente l’Egypte hypocrite non influente et la Mauritanie
réfractaire chancelante. Dès lors que pour que ces indicateurs soient effectifs, ils n’auraient pas du
être absorbé dans la matière de la guéguerre des services d’intelligence sur
l’échiquier régional voire mondial pour le leadership en Afrique.
Tellement, qu’à
cet effet n’en est-on pas en droit de se poser la question, pourquoi ce pouvoir
s’abandonne-t-il donc dans ce ‘’périphérisme’’ politique pernicieux faussement léthargique
de surcroit douteux et couteux pour son image ? A même, d’en continuer à
en faire la priorité dans ses choix de violence verbale parfois physique
matérialisée ici et là contre le Maroc, cherchant par tous les moyens de le
déstabiliser sinon carrément essayer de broyer avec frénésie ses gains
diplomatiques itératifs, dans des mises en scène pour le bon plaisir de l’abattre ? Excusez
du peu, car au fond, ce n’est qu’une recherche de sa part de refaire le match
de 1963 pour espérer ressentir à toute fin utile de l’auto admiration qui est dans
ses imaginations et rêves ! Ainsi, pour tout marocain qui se respecte c’est
bon d’en partager les témoignages décapants à propos de cette posture
machiavélique au-delà de ses formes croisées malignes voire racistes, de par
l’expression des manigances de cette cohorte à Ksar Lamradia à l’égard des
marocains partout où ils se trouvent dans les Instances internationales. C’est
dire qu’il s’agisse de sa part d’un drame de mécanique politique de haine anti
Maroc sans fin, lequel est présenté au monde à visage caché par Boutaflika et
ses généraux pris au piège de l’insuccès, de la débandade et de la résignation.
D’ailleurs, c’est vraiment dommage pour eux et leurs soutiens filipendules au
Grand Maghreb, s’étant tous engagés dans un si long et obscur chemin pour rien.
D’autant plus, ayant inventé cette gabegie de démagogie politique complexifiée, dont une fois de plus nul doute que les peuples algérien tunisien égyptien et mauritanien s’en trouvent
malgré-eux soumis à sa conséquence directe dévastatrice des relations de bon
voisinage avec le Maroc.
Néanmoins, de ce
fait, est-ce que le contrôle de Ksar Lamradia à Alger par ces gens que l’on ne
peut qualifier d’amateurs, mais seulement manipulateurs chevronnés qui utilisent
leur fougue anti Maroc n’en ayant rien à foutre de la pertinence ni de l’évolution
de la politique de réclamation de bonne gouvernance solidaire à l’international.
En cela, n’est-ce vrai qu’ils en courtisent au su et au vu de qui veut les
entendre et voir, en même temps les terroristes de Daech Aqmi Boco Haram
Chababs et tous les trafiquants coupables du vol des richesses de leurs peuples
de par le monde ? Comme ça, en l’occurrence, ils font la démonstration que
jamais leur intention n’était de faire du bien à leurs concitoyens ni d’apporter les bonnes
solutions pour la croissance économique du pays et encore moins d’imposer la bonne norme
de paix au Maghreb dans le but de contrôler tout ce qui se passe dans la région. Aussi, à
aucun moment ils n’ont eu de sens remarquable des gens raisonnables dans le
monde de la politique, n’en faisant qu’à leur tête en se battant pour usurper
par leur manipulation du système de gouvernance expéditive en UA (Union
Africaine) la volonté des peuples africains. Dont l’objectif c’est de la rendre
inappropriée et donc de les forcer par abus de compromissions de Madame Nkosazana Dlamini Ex épouse du président Zouma, à finir sous tension de la peur du
lendemain. A cet effet, c’est parce que le Maroc ne pourrait laisser pourrir
cette situation, n’est-ce pas dans ce sens qu’il a anticipé son retour au sein
de l’UA par sa mise en demeure de la présidente de la commission
africaine mettant le monde à témoin ?
En vérité vulgaire menteur et manipulateur, ce pouvoir algérien ne fait que dans la
surenchère violant l’état de non guerre Maroc-Algérie même pensant pouvoir changer la réalité
de ses déboires en refusant de se voir en face. Parce que c’est ainsi qu’il se
dépeint, non solidaire non épris de sagesse politique, toujours en quête de
l’art de la discorde qu’il barbouille ici et là dans un registre de perfidies
sur le dos du compagnon du chemin de l’indépendance. Et, d’où il présente son œuvre
bizarroïde comme un journal de ses accords tacites et secrets avec les pays faux-amis du Maroc et leurs lobbys afin de le pousser à broyer du noir. Certes, heureusement, sans
réussir ni dans la formulation de leur façon violente dont ils pensent tous profondément, pouvoir
l’éloigner de tout sursaut de convocation de son génie et conséquemment sa
volonté géostratégique d’ouverture sur le monde. Ce qui augure de mauvais présage
sur l’avenir de la région MENA-Sahel subsaharienne africaine que Ramtan
Laamamra ministre des affaires étrangères algérien ne s’en cache d’attiser la
tension. Et, qui sans avoir honte, a eu le culot de lancer ses invectives à l’encontre
du Maroc en plus faisant dans le dénigrement des amazighs rifains ayant
solennellement géo politiquement refusé son ingérence. Tellement, qu’il ne lui resta rien à se
mettre sous la dent, à même jusqu’à aller s’engouffrer dans la brèche du
panarabisme où se suspendent des cloches aux cous de ses portes-messages, d’un
tintement presque dissonant à l’ère du multilinguisme. A bon lecteur, bon
décryptage !
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