samedi 5 novembre 2016

AFRIQUE MON AMOUR, REFRAIN D'INSPIRATION DU NOUVEAU SOUFFLE MAROCAIN SANS ILLUSIONS ET SURTOUT SANS APPÉTIT D’OGRE !

UN RÉALISME POLITIQUE VOLONTARISTE QUI VA DANS LE BON SENS DE L’HISTOIRE EN TERMES D’OBJECTIFS POUR LE CO-DÉVELOPPEMENT ET LA RÉDUCTION DES TENSIONS RELATIONNELLES ENTRE PAYS AFRICAINS.

       Afrique mon amour, cette inspiration du Roi du Maroc par le discours de Dakar d’ou il en inaugurerait pour de bon la nouvelle vague relationnelle au sein de l’UA. Parce que, quand il y a deux jours le Président du Sénégal le bien pensant Macky Sall, a vendu la mèche sur la teneur politique et sa valeur pédagogique à l’intention de l’Afrique du discours du Roi Mohamed VI depuis Dakar le 06 Novembre 2016, il n’a pas manqué subliminalement de jeter un coup de glaciation sur les titulaires de la Chair de la discorde en Afrique. Distillant ainsi une vérité, parce qu’il pense que leur positionnement anti Maroc n’a pas lieu de continuer ni même d’être, dès lors que leurs inquiétudes non fondées ne soulèvent guère d’adhésion mais seulement exigence d’explication sur leurs turpitudes non tolérées de leurs propres peuples. Consistant une meilleure activation de solidarité avec le Maroc sans aucune surprise, pour que l’Afrique soit apaisée stable sécurisée et non indifférente au marquage des consciences par le succès désormais à point du Roi Mohamed VI combatif et tolérant.

       D’ailleurs, à ce titre, ne faut-il rendre hommage au président sénégalais d’avoir saisi cette occasion, dont son initiative communicationnelle indique d’une manière évidente le déclenchement du processus de résolution définitive du retour du Maroc au sein de l’UA. Dans ce sens, ne faut-il aussi rappeler que l’ONU avait objectivement décidé depuis le début du conflit du Sahara marocain, de geler à son niveau tous les avis soi-disant nécessaires à l’obtention de la reconnaissance de l’entité fantoche RASD ? Mêmes ceux appuyés par les quelques autorisations de complaisance accordées sans scrupule par le Secrétaire Général Ban Ki Moon et qu’au demeurant, à ce jour, ne sont reconnues par le Conseil de Sécurité de l’ONU. Au point que ce qu’il faudrait savoir aujourd'hui, que doit-il maintenant faire Antonio Gutterres pour garantir dans la neutralité et impartialité la fiabilité et la valeur de ses futures investigations à propos du devenir du Sahara marocain ? Notamment sur les préoccupations de la communauté internationale, dont on peut en déduire qu’effectivement elle s’en inquiète des tentatives d’ouverture de succursales Polisario sous-bannières sans fondement juridique surtout du Venezuela l’Angola l'Uruguay au Conseil de Sécurité en plus de l’Algérie ce dynamo d'agitation dans les couloirs des instances internationales. D’autant que tout indique que le Conseil de Sécurité de l’ONU dans une majorité confortable sans veto, aurait par réalisme objectivement choisi l’approche de l’offre marocaine 2007 d’autonomie dans la régionalisation avancée la considérant viable et réalisable dans un cadre réglementaire approprié aux nouvelles prérogatives de la Minurso. 

       Cependant, cette démarche royale inédite, signe de sagesse africaine de prononcer exceptionnellement le discours de commémoration du 06 Novembre de la Marche Verte (Massira 1975) à Dakar au Sénégal, ne confirme-t-elle pas l’expression d’une forte quête en vue d’une pratique stratégique commune conforme à l’aspiration d’antan des fondateurs de l’OUA ? Et, par là même, une leçon sur l'engagement la détermination et l'humilité pour l’évitement des risques de discorde et division que veulent imposer aujourd’hui à l’UA, des agitateurs patentés ne cherchant qu’à faire éclater la gloire significative future du Maroc, qu’évidemment, elle, ne fera selon la chronologie de son effectivité que grandir les décideurs africains l’ayant dernièrement rejoint. Aussi, la polémique enclenchée par ce petit bloc de récalcitrants ayant abattu leur carte telle la Namibie sur cette opportunité s’en trouve ratatinée voire éclatée. Et ce, au vu que l’acceptation de la RASD n’a plus raison d’être, et d’où, conséquemment en perspective de bonne gouvernance l’UA gagnera davantage en qualité de ses prestations et de tous ses actes maillon incontournables de toute sa future chaîne décisionnelle en présence du Maroc. Ce qui montre sans conteste qu’il s’agisse d’un Roi à la dimension des défis de l’Afrique d’aujourd’hui, conscient de la difficulté d’introspection installée dans les tours de contrôles de certains pays haineux et rancuniers. Allant, malheureusement, jusqu'à même de critiquer son organisation de la COP 22 à Marrakech du 07-18 Novembre 2016 au nom et pour l'Afrique. Comme ça, le discours de demain sûrement implicitement dénoncerait non seulement leurs égarements en montrant leur vanité dé néantise et notamment l’orgueil sans raison du pouvoir algérien et ses soutiens onusiens désormais résiduels et ridicules. Mais aussi la tromperie de l’orientation et de l’imagination de Madame Ncosazana Dlamini sans aucune certitude ni sur le sens géopolitique de ses décisions et encore moins sur l’aboutissement à la stabilité de l’Afrique et donc conséquemment à la quiétude de ses peuples.

       En cela, ce ne serait en plus, qu’une incitation à l’UA de comprendre les enjeux de conjoncture assurant la félicité du continent tout entier, par le flashage et stoppage de ces agitateurs par le Maroc, afin qu’ils ne s’essayassent plus au franchissement des limites des pays souverains reconnus à l’ONU.  De fait, de par une phraséologie peu commune en Afrique et structuralisme discourant dont les marocains s’en sont accommodés depuis de dix sept ans, les idées de mobilisation attireront bien sûrement l’attention des africains. Surtout qu’ils auront l’occasion de voir le Roi Mohamed VI s’adresser à eux indistinctement de façon directe, aux présidents chefs de gouvernements décideurs économiques notables paysans classe moyenne société civile et aux sécuritaires, sur les défis qui attendent l’Afrique. Ce qui ne laissera point d’occasion à l’effet surprise que concoctent les ennemis à Addis-Abeba qui, par ailleurs s’amenuise notablement en faveur de l’harmonisation et amélioration des partenariats-business contractés avec les nombreux pays. En matière de la qualité de réadaptation de leurs enjeux principaux notamment, en tenant compte du renseignement productif collaboratif par la volonté des Etats et leurs peuples. Tout en assumant d’aller à contre-courant des emprunteurs en interne de l’usurpation des consciences via l’argumentaire doctoral dont il faut le dire qu’il est l’expression non démocratique presque fascisante du temps présent.

       Voilà pourquoi, le discours royal du 06 Novembre 2016 à Dakar, il les tient déjà tous en haleine comme les marocains, par ce qu’il concentre leur intérêt sur ce que pourrait éventuellement leur annoncer le Roi. Dont Seule Sa Majesté en tient le secret en particulier sur les dispositions prises où préconisées pour le Sommet de l’UA en Janvier 2017 et la COP 22, pour que soient dissipées toutes les interrogations des chefs d’Etats qui ont rejoint l’approche multidirectionnelle pour le co-développement gagnant-gagnant dans tous les domaines socio-économiques culturels écologiques et sécuritaires-cultuels. Ceux-là mêmes, qui commencent à contester le monopole de l’Afrique du Sud de l’Algérie et du Nigéria, par exemple, sur leurs intrigues qui se chevauchent sans cesse sur la trame de la vraie histoire de l’Afrique sans ajout substantiel sur leur économie de proximité ni au niveau infra structurel ni dans l'accompagnement financier et/où en ressources humaines. Et ce, en appelant à faire recours au génie innovateur du Maroc pour trouver d’autres ressources alternatives en cadres et techniciens compétents qui ont fait leur preuve ici et là. Dans le but pour qu’ils ne soient plus laissés à ces manipulateurs pour les capter et/où les envahir par des promesses à tire larigot, sans perspective de dénouement des troubles aux effets pervers du temps du lieu et des intervenants de l’extérieur. Là encore ne pourrait-on dire que le Roi du Maroc se présente dans la conscience africaine comme le marqueur du temps actuel, s'activant se déplaçant et s’acharnant à maîtriser la réhabilitation digne et morale de son pays dans le concert de l’UA. A bon suiveur, bon décryptage !


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire