UN RÉALISME POLITIQUE VOLONTARISTE QUI VA DANS LE BON
SENS DE L’HISTOIRE EN TERMES D’OBJECTIFS POUR LE CO-DÉVELOPPEMENT ET LA RÉDUCTION DES TENSIONS RELATIONNELLES ENTRE PAYS AFRICAINS.
Afrique mon amour,
cette inspiration du Roi du Maroc par le discours de Dakar d’ou il en
inaugurerait pour de bon la nouvelle vague relationnelle au sein de l’UA. Parce que,
quand il y a deux jours le Président du Sénégal le bien pensant Macky Sall, a
vendu la mèche sur la teneur politique et sa valeur pédagogique à l’intention
de l’Afrique du discours du Roi Mohamed VI depuis Dakar le 06 Novembre 2016, il
n’a pas manqué subliminalement de jeter un coup de glaciation sur les
titulaires de la Chair de la discorde en Afrique. Distillant ainsi une vérité,
parce qu’il pense que leur positionnement anti Maroc n’a pas lieu de continuer
ni même d’être, dès lors que leurs inquiétudes non fondées ne soulèvent guère
d’adhésion mais seulement exigence d’explication sur leurs turpitudes non tolérées de leurs propres peuples. Consistant une meilleure activation de solidarité avec le Maroc sans aucune surprise, pour
que l’Afrique soit apaisée stable sécurisée et non indifférente au marquage des
consciences par le succès désormais à point du Roi Mohamed VI combatif et tolérant.
D’ailleurs, à ce
titre, ne faut-il rendre hommage au président sénégalais d’avoir saisi cette occasion, dont son
initiative communicationnelle indique d’une manière évidente le déclenchement
du processus de résolution définitive du retour du Maroc au sein de l’UA. Dans
ce sens, ne faut-il aussi rappeler que l’ONU avait objectivement décidé depuis le début du
conflit du Sahara marocain, de geler à son niveau tous les avis soi-disant nécessaires à
l’obtention de la reconnaissance de l’entité fantoche RASD ? Mêmes ceux
appuyés par les quelques autorisations de complaisance accordées sans scrupule par le Secrétaire
Général Ban Ki Moon et qu’au demeurant, à ce jour, ne sont reconnues par le
Conseil de Sécurité de l’ONU. Au point que ce qu’il faudrait savoir aujourd'hui, que
doit-il maintenant faire Antonio Gutterres pour garantir dans la neutralité et impartialité la fiabilité et la
valeur de ses futures investigations à propos du devenir du Sahara marocain ? Notamment sur les préoccupations de
la communauté internationale, dont on peut en déduire qu’effectivement elle
s’en inquiète des tentatives d’ouverture de succursales Polisario sous-bannières sans fondement
juridique surtout du Venezuela l’Angola l'Uruguay au Conseil de Sécurité en plus de l’Algérie ce dynamo d'agitation dans les couloirs des instances internationales. D’autant que tout indique que le Conseil de Sécurité de l’ONU dans une majorité confortable sans veto, aurait par réalisme objectivement choisi l’approche de l’offre marocaine 2007 d’autonomie dans la régionalisation avancée la considérant viable et réalisable dans un
cadre réglementaire approprié aux nouvelles prérogatives de la Minurso.
Cependant, cette
démarche royale inédite, signe de sagesse africaine de prononcer exceptionnellement le discours de
commémoration du 06 Novembre de la Marche Verte (Massira 1975) à Dakar au Sénégal, ne confirme-t-elle pas
l’expression d’une forte quête en vue d’une pratique stratégique commune
conforme à l’aspiration d’antan des fondateurs de l’OUA ? Et, par là même, une leçon sur l'engagement la détermination et l'humilité pour l’évitement des risques de discorde et division que veulent imposer aujourd’hui
à l’UA, des agitateurs patentés ne cherchant qu’à faire éclater la gloire significative future du Maroc, qu’évidemment, elle, ne fera selon la chronologie de son
effectivité que grandir les décideurs africains l’ayant dernièrement rejoint.
Aussi, la polémique enclenchée par ce petit bloc de récalcitrants ayant abattu leur carte telle la Namibie sur cette
opportunité s’en trouve ratatinée voire éclatée. Et ce, au vu que l’acceptation de la
RASD n’a plus raison d’être, et d’où, conséquemment en perspective de bonne gouvernance l’UA gagnera davantage en
qualité de ses prestations et de tous ses actes maillon incontournables de
toute sa future chaîne décisionnelle en présence du Maroc. Ce qui montre sans conteste qu’il s’agisse d’un Roi à
la dimension des défis de l’Afrique d’aujourd’hui, conscient de la difficulté
d’introspection installée dans les tours de contrôles de certains pays haineux
et rancuniers. Allant, malheureusement, jusqu'à même de critiquer son organisation de la COP 22 à Marrakech du 07-18 Novembre 2016 au nom et pour l'Afrique. Comme ça, le discours de demain sûrement implicitement dénoncerait
non seulement leurs égarements en montrant leur vanité dé néantise et notamment
l’orgueil sans raison du pouvoir algérien et ses soutiens onusiens désormais
résiduels et ridicules. Mais aussi la tromperie de l’orientation et de l’imagination de
Madame Ncosazana Dlamini sans aucune certitude ni sur le sens géopolitique de ses décisions et
encore moins sur l’aboutissement à la stabilité de l’Afrique et donc
conséquemment à la quiétude de ses peuples.
En cela, ce ne
serait en plus, qu’une incitation à l’UA de comprendre les enjeux de
conjoncture assurant la félicité du continent tout entier, par le flashage et
stoppage de ces agitateurs par le Maroc, afin qu’ils ne s’essayassent plus au franchissement
des limites des pays souverains reconnus à l’ONU. De fait, de par une phraséologie peu commune
en Afrique et structuralisme discourant dont les marocains s’en sont
accommodés depuis de dix sept ans, les idées de mobilisation attireront bien sûrement l’attention des africains. Surtout qu’ils auront l’occasion de voir le Roi
Mohamed VI s’adresser à eux indistinctement de façon directe, aux présidents chefs
de gouvernements décideurs économiques notables paysans classe moyenne société
civile et aux sécuritaires, sur les défis qui attendent l’Afrique. Ce qui ne
laissera point d’occasion à l’effet surprise que concoctent les ennemis à Addis-Abeba qui, par ailleurs s’amenuise
notablement en faveur de l’harmonisation et amélioration des
partenariats-business contractés avec les nombreux pays. En matière de la
qualité de réadaptation de leurs enjeux principaux notamment, en tenant compte
du renseignement productif collaboratif par la volonté des Etats et leurs
peuples. Tout en assumant d’aller à contre-courant des emprunteurs en interne de l’usurpation
des consciences via l’argumentaire doctoral dont il faut le dire qu’il est
l’expression non démocratique presque fascisante du temps présent.
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