EN CELA PAR UNE ANALYSE SÉRIEUSE DE CE DISCOURS SANS RÉSERVE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES DE QUELQUE NATURE QUE CE SOIT, NE PEUT-ON
EN DEVINER POURQUOI ET COMMENT LE ROI DU MAROC VEUT-IL INCULQUER L’AUDACE ET LA DÉTERMINATION AUX MEMBRES DU GOUVERNEMENT POUR SE METTRE A L’HEURE DE L’AFRIQUE
QUI BOUGE ?
C’est incroyable
mais vrai, après 32 ans d’absence officielle au sein de l’UA les marocains ne
voient plus l’Afrique australe et du sud comme un nuage lointain, mais comme un
nouveau ancrage où l’on prépare aussi d’autres nouvelles victoires sur les
risques et les turbulences du terrorisme. D’abord, via des plateformes de
renforcement de l’essor économique en co-développement coopératif productif et solidaire
adapté au mieux vivre Sud-Sud. Puis, par anticipation sur les scénarios
politiques des convenances pour éliminer les révérences aux caméléons manipulateurs
agitateurs attitrés au sein de l’UA. Ce qui demeurera, à n’en pas douter, un
témoignage du génie du Roi du Maroc par le choix circonstancié de Dakar auquel
il sut imprimer sa vision remettant en question le langage sournois dont se
figeaient ces caméléons. D’autant, est-ce que la doctrine défendue par cette
vision royale peut-elle être montée en perspective de continuité des relations
Maroc-USA en collaboration avec la nouvelle équipe inconnue de Donald Trump, que lui au
moment de sa compagne électorale il ne s’en est pas caché de montrer son
penchant isolationniste ? Au demeurant anti OTAN anti migration anti Etat
palestinien anti CCG anti vielle Europe anti Chine anti Cuba anti traité nucléaire civil avec l'Iran anti traité COP 21 anti interventionnisme à l'Etranger anti
financement des ONG dilapidant l’argent pour des causes non porteuses de l’idéal
de son programme électoral.
Néanmoins, à ce
propos, n’est-ce là où il faut affiner l’analyse des superpositions des
discours prononcés à l’Etranger par Obama depuis son arrivée aux commandes des USA il y a huit ans,
et ceux du Roi Mohamed VI après le déclenchement en 2010 en Tunisie de ce qui
s’appelle désormais ‘’souffle printanier arabe’’ à ce jour. Parce que, pour
ceux du président américain à Ankara pour l’Occident au Caire pour Israël et le
monde arabo-musulman et à Nairobi au Kenya pour l’Afrique, on pensait qu’ils
allaient contribuer à la diffusion de ses belles promesses, malheureusement, ce
fut la déception n’ayant tous mené qu’à des résultats controversés dont en a
bénéficié aujourd’hui Donald Trump pour prendre la Maison Blanche. Puis, pour ceux
du Souverain marocain qui ont marqué le déroulé des actualités de ces cinq
dernières années, comme à la chambre constituante en Tunisie pour l’encouragement
à l’accélération de la construction du Maghreb, à Bamako au Mali pour la
stabilité et la lutte contre le terrorisme dans la région MENA-Sahel
subsaharienne africaine, à Abidjan pour l’éclosion socio-économique et le
soutien des productions de richesses locales via la réplication de l’INDH, à
Riad pour montrer l’indépendance décisionnelle et la capacité d’interactivité
souveraine du Maroc en géopolitique et géostratégie et enfin à Dakar où il inculque
l’audace et la détermination aux membres du gouvernement leur demandant la grande
mobilisation pour se mettre continuellement aux grands soins avec l’Afrique.
Et oui, tout
indique que c’est comme ça que c’est fait le mûrissement de l’idée de retour du
Maroc à l’UA pour jouer son rôle de locomotive, non seulement en matière de
stratégie de ses échanges économiques culturels cultuels et sécuritaires mais
aussi pour la requalification politique de son image de marque à
l’international. Évoquant ainsi la nostalgie de l’esprit de l’OUA malheureusement devenu caduc de par le ton de non prodigalité de vitalité en
grande œuvre à cause des manipulations et fourberies de l’Algérie et ses
soutiens. A ce titre, concrètement, avec cet appel de Dakar aux africains de
retrousser leurs manches n’est-ce un accompagnement assumé de la rédemption
plus vivante plus vraie de l’Afrique que préconise le Maroc qui a acquis une maîtrise et un succès appréciable dans sa ligne de conduite qu’il n’entend
jamais dilapider ? Et ce, pour la protection de sa marque de fabrique
diplomatique en montrant aux peuples africains de dépasser les discordances et
les perfidies du discours d’Abuja du président Boutaflika. Par ailleurs,
n’est-il vrai après ce discours de la vérité remplie d’humilité et de
reconnaissance au Sénégal, que les africains s’y sentent au centre des préoccupations
dont ils y reconnaissent aussi la prise en compte de la charge de leur émotion ?
En plus, de voir enfin naître l’espoir d’une mouvance de rassemblement induit
par le Souverain marocain sans hostilités ni coercitions envers aucun pays pour
un avenir brillant de toute l’Afrique, contre les contraintes sociales imposées et surtout l’impuissance à s’attaquer à la radicalisation que nourrissent la
marginalisation et la mauvaise gouvernance en interne.
Pour l’instant,
aujourd’hui sans contenir tout le mystère des grands cycles historiques sous-entendant
les rêves de liberté d’action, il importe de bien comprendre le fonds de l’onde
de choc de l’arrivée de Donald Trump le pragmatique voire concentrationel prioritairement
sur les intérêts des USA sans machinerie ni machiavélisme à la façon DEA sous
Obama. Ce qui amène une vraie réflexion sur la constitution du gouvernement au
Maroc, de savoir qui des marocains au diapason de se qui se passe peuvent
postuler à la ministérialité ? Sachant qu’ils doivent intégrer sans
filouterie la vision géopolitique la force de l’analyse et le génie
géostratégique du Roi Mohamed VI, et donc de pouvoir évaluer les situations
dont le discours de Dakar en a fait allusion. Parce que quand on le scrute en
long et en large, on voit qu’un nouveau concept de transformation de zoning
géostratégique de l’Afrique est en voie de voir le jour à Rabat. Une
inspiration qui attire l’attention sur sa portée temporelle et teneur
référentielle sans ambiguïté, même si l’idée fondamentale ‘’l’Afrique pour tous
et tous pour l’Afrique’’ datait d’au moins cinq ans. C’à quoi apparemment la
visite royale au Rwanda et Tanzanie a donné un coup d’accélérateur mettant les
pouvoirs algérien et mauritanien dans l’œil du cyclone, vu leur exercice
politique régional scabreux à contre courant de la volonté des peuples du grand
Maghreb.
A cet égard, ce
sera sûrement l’expression du nouveau structuralisme gouvernemental, dont les
marocains en espèrent qu’il soit ramassé et restreint à tendance paritaire en
compétences masculines et féminines. Loin de toute rhétorique virulente entre
partis politiques, au vu qu’il n’a de choix que de mettre en place des comités
d’experts pour l’accompagner dans l’exécution de toutes les étapes de la
feuille de route tracée par Sa Majesté le Roi Mohamed VI. Ce qui, absolument, conviendrait au désencombrement des ministères des obligés du copinage et de
l’allégeance partisane, qui sont de surcroît définis par les observateurs du champ
politique marocain infructueux responsables de la contamination inquiétante de
l’administration marocaine. D’ailleurs, bon nombre de chefs d’Etats africains et
pas seulement reconnaissent l’énorme travail de l'équipe de collaborateurs
auprès du Roi, en symbiose parfaite avec les décideurs économiques tel l’OCP
les banques les assurances la RAM et d’autres institutions travaillant
d’arrache-pied pour se mettre au niveau de l’offensive royale diplomatique tous azimuts.
Notamment, dans la préparation des documents et plateformes pour signatures des
protocoles d’accords d’associations et de partenariats d’égal à égal
gagnants-gagnants. Evidemment, tout
cela répond à beaucoup de questions pour le renforcement conceptuel de l’acte
politique du Roi du Maroc cohérent, qu’effectivement, en plus, qu’on ne le
veuille ou pas il tient la route. En particulier envers le décloisonnement des cinq
sous-régions de l’Afrique en guise de dynamisation du marché des échanges et
l’entretien de rapports limpides multi potentiels au cœur de ses priorités. A ce niveau, de
ce point de vue, d’ores et déjà on peut penser qu’avec l’élection de Donald
Trump ça ira mieux, dont les messages portent aussi en ON sur la lutte sans conteste du terrorisme quel
qu’il soit. A même qu'il eut la primeur avant son élection de montrer du doigt des gesticulations étatiques qui s’y greffent, ayant les
différentes allures de sournoiseries-tromperies comme celles propolisariennes que supportent le
pouvoir algérien et ses généraux. A bon entendeur, salut !
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