dimanche 6 novembre 2016

PLUS DE DOUTE, LE DISCOURS ROYAL DE DAKAR CONSACRE LE GÉNIE MAROCAIN POUR L'ACCENTUATION DU RYTHME DE DÉCLOISONNEMENT D'AMPLEUR DES CINQ SOUS-RÉGIONS DE L’AFRIQUE.

N’EST-CE L’ANNONCE DE LA FIN DE L’ÉLOGE DES CAMÉLÉONS ET DONC L’EXPIRATION DE LEURS RÊVERIES QUE CE SOIT EN INTERNE POUR LA CONSTITUTION DU GOUVERNEMENT, OU AU SEIN DE L’UA RÉVÉLANT LE DOCTE TRAVAIL DE LA DIPLOMATIE MAROCAINE SOUS L’IMPULSION DIRECTE DU ROI.

       La question fondamentale à propos de la constitution du prochain gouvernement, c’est ou nous mènera-t-elle la caravane des caméléons si elle n’est pas stoppée comme l’entend faire en priorité sans ambages Sa Majesté le Roi Mohamed VI pour le respect de la démocratie sans démagogie ni petits calculs hégémonisme ? Comme aussi le cas de la présence du Maroc en Afrique pour arrêter l'attitude scandaleuse de certains perturbateurs agitateurs toujours en quête de discordance et dissonance d’arrière plan au sein de l’UA. D’ailleurs, à ce titre, c’est avec clairvoyance perceptible que le discours du Roi du Maroc à Dakar démontre comment ces caméléons et leurs compagnons en interne et à l’Etranger surtout à l'UA, ont-ils priorisé l’auto flatterie ayant des années durant mené à justifier leurs points de vue au gré de leurs passions. Parce que jusqu’alors en ce qui concerne l'UA, elle est restée strictement brouillonne car accaparée par la commission sous Ncosazana Dlamini ouverte à quantité d’idées superflues souvent négatives et subjectives, ne voulant elle-même se voir en face. Dont, à l’occasion de ce discours, la description du ton assuré du style accompli et de la teneur proactive informe qu’il est l’expression ardente sans contrainte pour une meilleure efficacité qui dépeint les liens séculaires Maroc-Sénégal. En plus, montrant le militantisme et la détermination des deux chefs d’Etats aux soins de toute l’Afrique en réponse à l’historicité de l’événement de la Massira 06 Novembre 1975, pour la sortir de l’étouffant huis clos des faux héros au fil des grinçantes péripéties créées selon des agendas dont on connait les bas-fonds.

       Mais, sur ce plan, qui pourrait mieux que le Souverain marocain se permettre de les contrecarrer en enfouissant voire enterrant une fois pour toute sous terre leurs thèses et gesticulations qui s’y en suivent ? Sachant qu’ils n’ont qu’une envie c’est de ne voir l’UA sortir de leur joug, voulant la projeter par leur folie dans les méandres du terrorisme et des violences ethnoculturelles voire dans le scepticisme aux multiples facettes. Ainsi, hélas d’après eux, cette situation ne provoquera que guéguerre au sein de l’UA à Addis-Abeba, ce qu’évidemment consciencieusement pousse le Maroc fort de ses décisions aux objectifs audacieux et de ses atouts de moralisation normative de ses ambitions à l'exemple de la problématique migratoire, de s’accorder avec les intentions de plus de 40 pays africains à ce jour pour dire bien haut le fond inaltéré de sa foi en l’Afrique ? Lesquels, ces pays aujourd’hui, sont tous inspirés et engagés géo-politiquement avec lui, en guise de sa légitimité ascendante de par l’aura du Roi et aussi la conviction inébranlable de tout un peuple en son Sahara ressuscitant l’ambiance de la marche verte de 350000 marocains et marocaines sous le commandement de Feu Hassan II.

       A cet égard, n’en pourrait-on y voir que l’idée de base de ce discours en cette date mémorable c’est montrer l’Afrique sortir de l’apesanteur des procédés d’exposition de perte de ses vrais gènes ? Et ce, en faisant mieux découvrir ses atouts potentiels comparatifs par ses propres talents parce qu’ayant commencé à changer son logiciel productif de ses tabulations d’antan préconçues à l’Etranger vis-à-vis du Maroc. C’à quoi le Roi Mohamed VI y a fait allusion pour que les futurs membres du gouvernement ne s’éloignent de prendre en ligne de compte advitam aeternam le continent africain comme partenaire sérieux et positif. En tous les cas, c’est le point crucial de ce discours qui a une valeur concessive au sein des propositions marocaines pour que l’Afrique ne se décompose pas et surtout que ses rêves grandioses ne disparaissent dans les multiples zones d’ombre qu’entretiennent avec perfidies inégalables les caméléons susmentionnés. Aussi, il est certain, tandis que le déroulé du retour du Maroc prend une tendance d’effectivité rapide, qu’encore on verra ces petits profiteurs des folies de l’histoire de ce séparatisme donquichottesque polisarien de surcroît illégal et illégitime, rentrer dans des danses-transes pour provoquer zizanie. Mais peu importe qu’ils le fassent, ce qui intéresse le Maroc c’est qu’il y a urgence à aller de l’avant en passant des mots à l’action quant à la conception de la nouvelle UA, avec des principes se détournant de l’archaïsme des programmes indéfinis dans leurs dimensions de préparation de co-développement de l’avenir prospère et dynamique commun.

       Et oui, aujourd’hui tout indique que l’Afrique se met au travail pour la réussite générationnelle avec vertu de modélisation géostratégique à la marocaine, par recentrage qualitatif en imagination géopolitique de partenariats d'égal à égal gagnants-gagnants dans tous les domaines. Défiant de la sorte, la conjoncture décisionnelle que veulent lui imposer ces caméléons installateurs de confusions et de mésententes inimaginables à l’UA, dans le but de retarder l’embarquement officiel du Maroc alors qu’il est le maître d’œuvre de cette ligne directrice de par le témoignage en ON de toute la communauté internationale. D’autant plus, tout un chacun sait qu’au nom de l’efficacité de l’UA, la course devenue mythique des repositionnements autour de l’idée du tracé de l’avenir que le Maroc insuffle commence à porter ses fruits en matière de la reconnaissance de son expertise multidimensionnelle multidirectionnelle et/où figure son impact populaire. N'est-ce là le nouveau défi de toute l'Afrique par l'organisation marocaine de la COP 22 à Marrakech 07-18 Novembre 2016, en forme de nouvelle révolution de diversification de ses atouts pour les mettre à disposition des forces locales dans le respect de l'écologie et de l'héritage du verdissement des espaces ? C'est d'ailleurs l'un des souhaits du Roi du Maroc à travers les messages distillés à la jeunesse à participer à la grande fermentation des idées qui marquent le temps présent, à propos de l'environnement sans mépris pour l'air ni à la la terre et encore moins à la mer.

       Voilà, pourquoi il faut que le prochain gouvernement du Maroc continue de partager les bonnes expériences dans le cadre du recadrage institutionnel sans calcul d’épicier ni vengeance pathétique de la victoire populiste, et ce pour rester en phase avec la charge émotionnelle proactive de bonnes solutions des déplacements du Roi partout. Pour preuve la réussite de la visite royale successivement au Rwanda et Tanzanie dans l’attente de reprendre le deuxième round commençant par l’Ethiopie, dont l’originalité c’est l'accentuation sous son influence du décloisonnement des cinq sous-régions de l’Afrique (Nord-Ouest-Centre-Est-Sud) en matière des échanges productifs de dynamisme solidaire et collaboratif à même la découverte de niches appréciables. Même si, parfois de par le coté de la peur de l’informel, il y a l’abandon de l’efficience politique dans ce panorama de superposition d’incertitude et d’espoir dans certaines filières de quelques partenariats. Néanmoins, le Roi dans ce discours de Dakar en donne la preuve que le Maroc se livre partout en Afrique à un véritable marathon politique socio économique écologique culturel et sécuritaire-cultuel pour dématérialiser le spectre de cette peur en accord avec son volontarisme de consolidation de ses liens avec tous les pays africains. A bon suiveur, bon décryptage !

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