dimanche 27 novembre 2016

C'EST MAINTENANT OFFICIEL, LE MAROC EST JALOUSÉ PAS SEULEMENT AU SEIN DU GRAND MAGHREB LA LIGUE ARABE ET L'UNION AFRICAINE !

PLUS DE DOUTE, CERTAINS PAYS DE L'UMA DE LA LIGUE ARABE ET DE L'UNION AFRICAINE PROVOQUENT LE MAROC CAR SONT RESTÉS FIGÉS DANS LE MARCHÉ  NOIR DES COUPS BAS SUR INSTRUCTIONS SYSTÉMATIQUES VENANT D'AILLEURS.

   Le désir du changement de braquet diplomatique-économique et sécuritaire a consciencieusement germé après les différentes attaques infondées à l'encontre du Maroc à l'ONU L'UE L'UA et L'UMA depuis l'arrivée de Ban Ki Moon à la tête du Secrétariat Général. En cela, il a même été amplifié après les couacs successifs avec la Cour Européenne de Justice la Suède la Commission africaine et dernièrement avec l'Egypte d'Al-Sissi, avec l'objectif d'enrayer définitivement le coté des échanges de diplomatie de complaisance et donc de mannequinat sur les espaces des chancelleries à l'Etranger. Tellement c'est officiel, que ces pays et Institutions susmentionnées sont en passe de se transformer en entité de racketteurs dans les rencontres symposiums et Sommets à l'international, alors qu'on croyait que de sensibles progrès de leur part ont été accomplis. Ayant, à cet effet, machiavéliquement montré toute une série d'actes dans le découragement de mise d'association d'éléments destructifs de leurs relations avec le Maroc, malheureusement, tout en s'octroyant de nouvelles stratégies sournoises dans le renforcement par procuration sans raison valable de leurs perfidies pour le combattre. Ce qui montre que seul un gouvernement marocain contrôleur de tout ce qui se passe dans son entourage, pourra intervenir sans temps de latence à décourager les tentatives mensongères et en tirer profit immédiatement de son système de surveillance des contrevérités à l'égard de la marche tranquille du pays.

     Mais, n'est-ce voilà à raison pourquoi Sa Majesté le Roi Mohamed VI en a fait fi de leurs manigances interventionnistes politiciennes de basse besogne, en mettant les bouchées doubles dans ses initiatives africaines ? En l'occurrence, économiques culturelles écologiques et géopolitiques cultuelles-sécuritaires en partenariats stratégiques gagnants-gagnants d'égal à égal dans tous ses déplacements, dont la renommée est inégalée au Rwanda Tanzanie Ethiopie Madagascar Nigeria et Zambie. D'autant plus, à Madagascar face à la presse de ce pays il a remis les pendules à l'heure, montrant en subliminal à qui comprend les messages et les non-dits, qu'il n'y a aucun mystère à sa non participation au 16-ième Sommet de la Francophonie et que le Maroc est souverain dans ses décisions. Notamment dans l'ajout de l'écriture d'un nouveau paragraphe de son histoire dans cette Ile-Pays, par le focus de l'excellence politique à l'origine du concept de priorité face au fil d'actualités où l'acuité des problèmes socio économiques offusque la splendeur et la diversité du potentiel naturel et humain existant. Et, qu'au demeurant invraisemblablement est restée hors du processus d'appui de l'UE et l'UA par une vraie intégration régionale des économies Est-Sud-africaines, sur la base de la coopération solidaire. Dont le Maroc s'inspirant du code de son bon sens d'utiliser son savoir-faire du rétrécissement de ce décalage flagrant dans toute l'Afrique, entend garder son avance sensée représenter les notions référentielles de sa noblesse dans l'ère du temps. Et ce, pour le rendement de ses partenariats stratégiques avant-gardistes de sa tradition de solidarité qui serait toujours utilement corrigée et augmentée à chaque fois que les conditions le permettent. 

       Néanmoins, à ce propos, n'en peut-on voir que ce qui arrive à beaucoup de pays africains comme retard de développement et épanouissement, c'est la faute à l'Algérie et ses manutentionnaires ne les ayant laissés prendre leur destin en main des années durant? De par ses agissements idéologiques basés sur le soudoiement et la corruption des décideurs datant de l'ère du rideau de Fer, au vu que l'Afrique hier n'était pour elle qu'un champ d'expériences et de complications des cloisonnements relationnelles géopolitiques inutiles sans avenir. Et qu'aujourd'hui, le Forum africain de l'entreprise qu'elle compte organiser du 03-05 Décembre 2016 à Alger, dont elle se prétend en tant qu'acteur prioritaire dans l'EANS (Energie Agroalimentaire Numérique et Sous-traitance) sans vouloir accepter la réalité sur le terrain étant largement larguée par le Maroc. D'autant plus, elle n'est pas à son premier essai de reluisement de sa posture-pastiche, de par la diplomatie de ses baroudeurs longtemps restés amplificateurs du désordre à la Ramtane Laamamra se tenant à contre courant du déroulé de l'actualité africaine. Ne voulant malgré ses nombreuses déconfitures comme à Margaritta à Malabo à Sirte du temps de Kadhafi à l'ONU et au parlement européen, intégrer que c'est vers le décloisonnement des 05 sous-régions africaines que le Maroc se propose de guider la croissance partagée vers le progrès, en disposant d'outils de son capital technicien comptant sur l'ampleur du marché intérieur global.

      A l'évidence, à présent le format définitif de la Commission Africaine sous le (la) futur(e) président  (e), traduira le souci d'en faire une Instance compacte cohérente truffée de compétences pour une meilleure gouvernance facile et efficace. Dont le Maroc par l'inventaire de ses partenariats gagnants-gagnants en représentera sûrement les différentes orientations dans le champ d'action du prochain gouvernement. En sortant des tractations considérées comme office de partage d'un trésor électoral ou d'un présent facile à distribuer aux partisans aux copains d'aventure de voisins idéologiques et mêmes aux larbins détournés d'ailleurs. Tellement que la mouture à présenter au Roi, doit être établie sur la base de la structure du discours de Dakar via des pôles forts délimités par les lignes claires des prérogatives. Sans omettre en aucune façon la présence en même temps des colombes et faucons connus, loin du narcissisme et/où nombrilisme des uns et des autres comme ce qui se fait partout dans les pays forts. Parce que, ce qui attend le Maroc si par malheur il y a mauvaise appréciation des défis dans l'avenir au court et moyen termes, n'augure rien de bon pour faire face à l'Algérie et ses soutiens. Surtout par l'usage du vocable politicien qui se veut l'outil de la standardisation de la pensée des marocains, sans faire attention à la manipulation venant d'origines internes et externes connues anti Maroc. C'est pour cela, il faut dire donc sans hésiter, assez des versions gouvernementales se présentant comme des brochures des désirs sur mesure des partis politiques ! Assez de vouloir passer la méthodologie livrée pour la formation du gouvernement jusqu'à présent, comme une synthèse partielle et donc lacunaire sans l'aval clair du RNI bien au diapason de la démarche marocaine en Afrique ! Assez de tromper l'opinion en s'étonnant de ne pas y trouver l'aide de l'Etat et aussi de n'avoir des soutiens des associations et autres corporatismes socioprofessionnels ! Assez de recommander aux récalcitrants de consentir l'effort de revoir leur positionnement pour la compréhension de cette construction d'une majorité même vacillante. A bon entendeur, salut !

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