lundi 8 août 2016

QUE CHERCHENT-ILS VRAIMENT CES EXCITÉS, QUE SONT BAN KI MOON ET CHRISTOPHER ROSS ?

SILENCE, BAN KI MOON ET CHRISTOPHER ROSS LIVRENT LEUR DERNIER CRACHAT DE VENIN EN TANT QU’ULTIME BAROUD D’HONNEUR !

       Encore une défiance de plus pratiquement dans le temps mort, de Ban Ki Moon et son gourou Christopher Ross contre la montée géopolitique et la place géostratégique du Maroc unique unifié et stable. Parce que, l’idée de penser voire de chercher à parquer le Sahara marocain dans un genre étatique à la Commonwealth, ne relève que d’un tempérament machiavélique de faire perdre plus de temps au Maroc. Alors même que sa fonctionnalité amorcée dans le cadre de la régionalisation avancée, lui impose d’aller plus vite pour montrer les ennemis dans leur vraie posture en tant que coupables de ce qui arrive au Grand Maghreb. A cet effet, il faut le rappeler sans hésitation, que cette idée saugrenue ne serait jamais acceptée par les marocains. A commencer par les habitants des 03 régions Dakhla-Laayoune-Guelmim qui ne s’imaginent même pas de voir la fonction de Chef de l’Etat en l’occurrence Sa Majesté le Roi Mohamed VI devenir informelle. Et qu’en plus n’aura aucun statut légal avec cerise sur le gâteau, le représentant de l’Etat n’aura qu’une fonction symbolique en assistant aux événements et fêtes nationales.

       Aussi, même si, cette conception-prothèse a ses passionnés petits pensionnaires au sein du Secrétariat Général encore sous Ban Ki Moon pour quelques petits mois, il faut savoir qu’elle a beaucoup de détracteurs surtout au Conseil de Sécurité de l’ONU la trouvant d’un âge historique désuet et ridicule. Pour preuve, Christopher Ross le titulaire de la chaire de cette diplomatie de façade est plus que jamais affaibli, d’où il se cherche une autre issue pour sortir de son propre piège-traquenard. Dont il s’y est entremêlé démagogiquement les idées suivant ses humeurs, entre Indépendance autodétermination fédéralisme et confédération. Assurément, en fin de mandat de Ban Ki Moon pourquoi s’illusionne-t-il de pouvoir ainsi donner le coup de grâce à l’offre marocaine d’autonomie de 2007, en faisant en sorte de s’accorder plus de temps mort avant la fin de la récréation ? Sauf qu’aussi à l’inverse il donne en même temps l’impression en ON comme quoi maintenant il est convaincu, que ses manipulations relayées dans le pré-carré fermé au Secrétariat Général n’apporteront rien. Evidemment, face à cette soi-disant volte-face, il faut rester sur ses gardes et s’en méfier des tours que préparent Christopher Ross, car il se voit transbahuté sans ménagement dans l’oubli une fois l’époque Ban Ki Moon éteinte par la force du calendrier onusien. 

       Ceci étant dit, normalement au Secrétariat Général de l’ONU c’est là où l’impartialité et la neutralité devraient être prises en compte dans tous les différends et litiges  sur les souverainetés des pays. Malheureusement avec Ban Ki Moon elles ne sont même pas reconnues dans l’affaire du Sahara marocain, s’étant lui-même, en personne, fait remarquer par des comportements et gestes désolants inacceptables et intolérables. Ce qui a, conséquemment, fait établir un climat de méfiance de certains pays permanent au Conseil de Sécurité à son égard, voire un état de dé-confiance des marocains à ses conceptions-perfidies qu’ils cherchent à faire passer par des artifices lexicaux de basse besogne. Au-delà même de l’inquiétude avérée par les impacts de ses échecs itératifs, sur sa schizophrénie indéniablement constatée par tous les marocains et par toute la communauté internationale. Néanmoins, faut-il le répéter à redondance, cette idée satanique n’est nullement incontournable, comme l’est fondamentalement l’offre d’autonomie gestionnaire dans le cadre de la régionalisation avancée. En plus, l’effet conjugué du bien-être de la population sahraouie après l’effectivité de mise en place des Conseils des collectivités territoriales issus du long processus électoral à partir du 04 Septembre 2015, est devenu source d’inspiration sociale économique culturelle et écologique. Et dont la grande majorité des marocains séquestrés dans les camps de la honte à Tindouf et ailleurs, s’en réjouissent désormais de la pratique et fonctionnement de la démocratique sans restriction au Sahara marocain.   

       Voilà pourquoi des diplomates dans beaucoup de chancelleries très en vue, considèrent-ils le Secrétaire Général Ban Ki Moon incapable d’assurer une influence positive sur les dossiers en suspens dans la pratique au quotidien. Voire même incompétent au vu des résultats obtenus sur le rapport d’insouciance qu’ont montré certains pays à son endroit, en référence à son inaptitude à donner ses lettres de noblesse à sa charge à l’ONU. Parce qu’il ne suffit pas d’inaugurer les chrysanthèmes et faire des déplacements à travers le monde pour faire le ‘’m’as-tu vu’’ lors de Sommets régionaux et conférences internationales que ce soit pour de nobles causes ou pour avoir bonne conscience sur ce que vit le monde. Au contraire un Secrétaire Général doit être un homme ou une femme rompu à la politique pour pouvoir faire le distinguo entre l’interventionnisme positif dans l’urgence, et les réunions à tout vent qui se font sous l’égide de l’ONU. Dont il ne faut plus se cacher de décrier les budgets alloués, qu’au demeurant sont astronomiques par la pratique des gonflements des prestations et donc les fausses facturations.

       Cependant, au fur et à mesure que la fin de l’ère Ban Ki Moon s’approche, attention à cet essai de saucissonnage édulcoré qu'on veut imposer au Maroc sous couvert d’artifices onusiens si ce n'est carrément l'usage de l'Article 07 de la charte. Dès lors qu’il risque de contribuer, quasiment autant que l’appel au séparatisme, à la déstabilisation du pays et à la destruction de sa cohésion sociétale avec des conséquences terribles sur la région Europe-Maghreb-Sahel et Afrique subsaharienne. D’ailleurs ce ne sont pas les exemples qui manquent affirmant la dangerosité de cette idée pernicieuse, comme le cas du Sud-Soudan où l’ONU s’est montrée politiquement trop petite dans ses imaginations de solutions malheureusement sur directives du Département d’Etat américain. N’ayant fait évidemment que provoquer désolation et interrogation sur le bien-fondé de ce saucissonnage-partition du Grand Soudan d’autrefois. N’est-ce là encore un exemple parmi tant d’autres où Ban Ki Moon a tout fait faux durant ses deux mandats à la tête de l’ONU, tellement que sa personnalité est devenue insignifiante car manquant de mordant impartial et aussi de bonnes attentions dans la neutralité ?

     A cet effet, ne pourrait-on dire que dans ce contexte le drame de l’ONU sous Ban Ki Moon envoûté par ses envoyés particulièrement Christopher Ross, c’est les traitements inégalitaires des conflits ? Tantôt dus à des indifférences non justifiées comme en Palestine, tantôt à des zèles imputables aux manigances et perfidies comme dans le cas du Sahara marocain. N'est-ce là une explication de leur bouillonnement de rancune jalousie et rancœur par livraison de crachat de leur venin en tant qu'ultime baroud d'honneur? C’est pour cela par l’influence revigorée de satisfecit en ce qui concerne son inflexibilité envers eux, en usant de sa nouvelle modélisation diplomatique géopolitique et relationnelle stratégique que le Maroc est devenu significativement leur bête noire contrecarrant méthodiquement leurs malveillances. A l’exemple de son annonce de reprendre son siège à l’UA après 32 ans d’absence, en plus sous condition car il en détient le droit en tant que fondateur de l’OUA en 1963 à Addis-Abeba après la charte de la conférence de Casablanca 05-07 Janvier 1961. A bon entendeur salut !

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