SILENCE, BAN KI MOON ET CHRISTOPHER ROSS LIVRENT LEUR
DERNIER CRACHAT DE VENIN EN TANT QU’ULTIME BAROUD D’HONNEUR !
Encore une
défiance de plus pratiquement dans le temps mort, de Ban Ki Moon et son gourou
Christopher Ross contre la montée géopolitique et la place géostratégique du
Maroc unique unifié et stable. Parce que, l’idée de penser voire de chercher à parquer le Sahara
marocain dans un genre étatique à la Commonwealth, ne relève que d’un tempérament
machiavélique de faire perdre plus de temps au Maroc. Alors même que sa
fonctionnalité amorcée dans le cadre de la régionalisation avancée, lui impose
d’aller plus vite pour montrer les ennemis dans leur vraie posture en tant que
coupables de ce qui arrive au Grand Maghreb. A cet effet, il faut le rappeler
sans hésitation, que cette idée saugrenue ne serait jamais acceptée par les
marocains. A commencer par les habitants des 03 régions Dakhla-Laayoune-Guelmim
qui ne s’imaginent même pas de voir la fonction de Chef de l’Etat en
l’occurrence Sa Majesté le Roi Mohamed VI devenir informelle. Et qu’en plus n’aura
aucun statut légal avec cerise sur le gâteau, le représentant de l’Etat n’aura
qu’une fonction symbolique en assistant aux événements et fêtes nationales.
Aussi, même si, cette
conception-prothèse a ses passionnés petits pensionnaires au sein du Secrétariat Général encore sous
Ban Ki Moon pour quelques petits mois, il faut savoir qu’elle a beaucoup de
détracteurs surtout au Conseil de Sécurité de l’ONU la trouvant d’un âge
historique désuet et ridicule. Pour preuve, Christopher Ross le titulaire de la
chaire de cette diplomatie de façade est plus que jamais affaibli, d’où il se
cherche une autre issue pour sortir de son propre piège-traquenard. Dont il s’y
est entremêlé démagogiquement les idées suivant ses humeurs, entre Indépendance
autodétermination fédéralisme et confédération. Assurément, en fin de mandat de
Ban Ki Moon pourquoi s’illusionne-t-il de pouvoir ainsi donner le coup de grâce
à l’offre marocaine d’autonomie de 2007, en faisant en sorte de s’accorder plus de
temps mort avant la fin de la récréation ? Sauf qu’aussi à l’inverse il
donne en même temps l’impression en ON comme quoi maintenant il est convaincu, que ses
manipulations relayées dans le pré-carré fermé au Secrétariat Général
n’apporteront rien. Evidemment, face à cette soi-disant volte-face, il faut
rester sur ses gardes et s’en méfier des tours que préparent Christopher Ross, car il se voit transbahuté sans ménagement dans l’oubli une fois l’époque Ban Ki
Moon éteinte par la force du calendrier onusien.
Ceci étant dit,
normalement au Secrétariat Général de l’ONU c’est là où l’impartialité et la
neutralité devraient être prises en compte dans tous les différends et litiges sur les souverainetés des pays.
Malheureusement avec Ban Ki Moon elles ne sont même pas reconnues dans
l’affaire du Sahara marocain, s’étant lui-même, en personne, fait remarquer par
des comportements et gestes désolants inacceptables et intolérables. Ce qui a, conséquemment, fait établir un climat de méfiance de certains pays permanent au
Conseil de Sécurité à son égard, voire un état de dé-confiance des marocains à
ses conceptions-perfidies qu’ils cherchent à faire passer par des artifices
lexicaux de basse besogne. Au-delà même de l’inquiétude avérée par les impacts
de ses échecs itératifs, sur sa schizophrénie indéniablement constatée par tous
les marocains et par toute la communauté internationale. Néanmoins, faut-il le
répéter à redondance, cette idée satanique n’est nullement incontournable,
comme l’est fondamentalement l’offre d’autonomie gestionnaire dans le cadre de la
régionalisation avancée. En plus, l’effet conjugué du bien-être de la
population sahraouie après l’effectivité de mise en place des Conseils des
collectivités territoriales issus du long processus électoral à partir du 04
Septembre 2015, est devenu source d’inspiration sociale économique culturelle
et écologique. Et dont la grande majorité des marocains séquestrés dans les
camps de la honte à Tindouf et ailleurs, s’en réjouissent désormais de la
pratique et fonctionnement de la démocratique sans restriction au Sahara marocain.
Voilà pourquoi
des diplomates dans beaucoup de chancelleries très en vue, considèrent-ils le
Secrétaire Général Ban Ki Moon incapable d’assurer une influence positive sur
les dossiers en suspens dans la pratique au quotidien. Voire même incompétent
au vu des résultats obtenus sur le rapport d’insouciance qu’ont montré certains
pays à son endroit, en référence à son inaptitude à donner ses lettres de
noblesse à sa charge à l’ONU. Parce qu’il ne suffit pas d’inaugurer les
chrysanthèmes et faire des déplacements à travers le monde pour faire le
‘’m’as-tu vu’’ lors de Sommets régionaux et conférences internationales que ce
soit pour de nobles causes ou pour avoir bonne conscience sur ce que vit le
monde. Au contraire un Secrétaire Général doit être un homme ou une femme rompu
à la politique pour pouvoir faire le distinguo entre l’interventionnisme positif
dans l’urgence, et les réunions à tout vent qui se font sous l’égide de l’ONU. Dont
il ne faut plus se cacher de décrier les budgets alloués, qu’au demeurant sont
astronomiques par la pratique des gonflements des prestations et donc les
fausses facturations.
Cependant, au
fur et à mesure que la fin de l’ère Ban Ki Moon s’approche, attention à cet
essai de saucissonnage édulcoré qu'on veut imposer au Maroc sous couvert d’artifices onusiens si ce n'est carrément l'usage de l'Article 07 de la charte. Dès
lors qu’il risque de contribuer, quasiment autant que l’appel au séparatisme, à
la déstabilisation du pays et à la destruction de sa cohésion sociétale avec des conséquences terribles sur la région Europe-Maghreb-Sahel et Afrique subsaharienne. D’ailleurs
ce ne sont pas les exemples qui manquent affirmant la dangerosité de cette idée
pernicieuse, comme le cas du Sud-Soudan où l’ONU s’est montrée politiquement
trop petite dans ses imaginations de solutions malheureusement sur directives du Département d’Etat
américain. N’ayant fait évidemment que provoquer désolation et interrogation
sur le bien-fondé de ce saucissonnage-partition du Grand Soudan d’autrefois. N’est-ce
là encore un exemple parmi tant d’autres où Ban Ki Moon a tout fait faux durant
ses deux mandats à la tête de l’ONU, tellement que sa personnalité est devenue
insignifiante car manquant de mordant impartial et aussi de bonnes attentions
dans la neutralité ?
A cet effet, ne
pourrait-on dire que dans ce contexte le drame de l’ONU sous Ban Ki Moon envoûté par ses envoyés particulièrement Christopher Ross, c’est les traitements
inégalitaires des conflits ? Tantôt dus à des indifférences non justifiées
comme en Palestine, tantôt à des zèles imputables aux manigances et perfidies
comme dans le cas du Sahara marocain. N'est-ce là une explication de leur bouillonnement de rancune jalousie et rancœur par livraison de crachat de leur venin en tant qu'ultime baroud d'honneur? C’est pour cela par l’influence revigorée
de satisfecit en ce qui concerne son inflexibilité envers eux, en usant de sa nouvelle modélisation diplomatique géopolitique et relationnelle stratégique que le Maroc est devenu significativement leur bête noire
contrecarrant méthodiquement leurs malveillances. A l’exemple de son annonce de
reprendre son siège à l’UA après 32 ans d’absence, en plus sous condition car
il en détient le droit en tant que fondateur de l’OUA en 1963 à Addis-Abeba après
la charte de la conférence de Casablanca 05-07 Janvier 1961. A bon entendeur
salut !
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