ENFIN UNE BONNE NOUVELLE, LES OBSERVATEURS A L’ONU EN
SONT CONVAINCUS QUE L’ESSAI-RISQUEUR DU RAPPORT BAN KI MOON SERA REJETÉ AU
CONSEIL DE SÉCURITÉ !
Désormais le
suivi diplomatique par le Maroc heure par heure du dossier de son Sahara,
montre à quel point la vigilance est précieuse. Tellement, il est même devenu
une occasion inespérée de fustiger en plein jour Ban Ki Moon et une chance de
réactualisation des données des ripostes élaborées conjointement par la
diplomatie officielle et celles parallèles pléthoriques. Puisque, toutes,
recommandent une surveillance exclusive de main-de-maître de l’évolution du
dossier du Sahara marocain en temps réel, dans la globalité d’analyse de la
stratégie du Conseil de Sécurité sous la présidence chinoise. Avec en plus
lecture spéciale complémentaire d’adaptation, primo à la compréhension de
l’action de minimisation des risques de récurrence des dérapages du Secrétaire
Général actuel, que le Venezuela n’accepte toujours pas n’en voulant même pas entendre parler de cette action. Et, secundo à
la volonté palpable d’accompagnement promotionnel de l’offre maximale marocaine
d’autonomie depuis 2007 dans la régionalisation avancée, par la plupart des
membres du Conseil de Sécurité eux-mêmes afin d’assurer la continuité de la
stabilité régionale.
En cela évidemment,
pour ceux à l’extérieur comme à l’intérieur, qui pensent que les marocains sont
des idiots utiles qui soutiennent soi-disant une propagande sans qu’ils n’en
soient eux-mêmes convaincus, ils doivent savoir qu’ils se trompent lourdement.
Pour preuve, les démonstrations indéniables de ce même peuple dans toutes ses
composantes travers le temps, et ce depuis 1956 pour le recouvrement méthodique
de toutes ses souverainetés. Comme aussi actuellement, par leur épreuve de
force pour démonter la PMA (Provocation Minablement Ajustée) de Ban Ki Moon
ayant usé d’un faux zoom-événement pour tromper la communauté internationale. D’ailleurs
n’est-ce là où cet épisode du Mois d’Avril prend toute sa dimension politique,
normalement devant être informationnel sur les thématiques permettant de
confronter les évolutions des propositions ? Dès lors que le peuple marocain
s’en est rendu compte qu’au Secrétariat Général de l’ONU sous Ban Ki Moon on
cherche à le pousser à l’enfer qu’incarnent le pouvoir algérien et ses
manutentionnaires protopolisariens. Au point qu’en deux réunions successives en
hui clos après le SOS bankimoonien au Conseil de Sécurité, sans faire
d’angélisme c’est la confiance au Maroc qui fut de mise pour continuer leur
collaboration exemplaire déterminante. D'ailleurs, n'est-ce ce qui se fait aujourd’hui avec l'ONU officieusement en présence d'intervenants experts dotés d'une grande expérience pour préparer le format des évolutions futures d'accompagnement défensif ? Parce que c’en est une nécessité à s’aider seulement d’observateurs de la fraction militaire de la Minurso, qu’en
effet, les thématiques non politiques font partie de ses compétences sous l’égide
exclusive du Conseil de Sécurité. Notamment, en usant de moyens techniques visant
à réduire la probabilité de relances d’escarmouches dans la zone de séparation et
d’exposition aux ondes de la guerre comme ce fut le cas avant 1991.
À l’évidence,
maintenant, l’on peut dire que les pays qui depuis longtemps s’exprimaient à l’encontre
des positionnements du Maroc par des malveillances co-localisées, ne seraient
plus écoutés à l’échelle diplomatique onusienne. Parce qu’on commence à les
voir se transformer en entités dangereuses, d’une part, de par leurs
compromissions délirantes avec le terreau terroriste et, d’autre part, de par
leurs sournoiseries délocalisées dans leurs dénis des réalités sur le terrain.
Aussi, dorénavant, ils seraient vus comme des inhibiteurs du cycle des
concordances des bonnes volontés, par leurs recherches de pistes de résistance
aux recommandations du CCG, des Eurodéputés, des Congres-mans américains, des
membres du parlement de l’Amérique Centrale et autres groupements influents de
par le monde. En plus, ce qui est dommageable ils le font sous l’influence de
différents lobbyings notoirement anti Maroc, voulant ainsi envahir par leurs
mensonges et contrevérités le Conseil de Sécurité pour le piéger dans ses résolutions.
Sauf qu’ils ne savent que le diagnostic politique de leur dangerosité est devenu
tellement évident, en raison de leurs récidives des plus préjudiciables de leur
existence à l’ONU.
Aussi, à ce jour
il n’y a ni premier jet du rapport de Ban Ki Moon ni même tendance vers une
quelconque précipitation pour le présenter sans en y extraire le poisson
d’avril. A cet égard, autant le répéter, le Secrétaire Général est maintenant
pris pour le dindon de la farce de son propre jeu de ses stratégies
oscillatoires, qui visaient une mise précoce du Sahara marocain sous tutelle
onusienne. Tout simplement, pour saper l’offre marocaine d’autonomie et donc
ralentir la dynamique lancée au quarantième anniversaire de la Massira (Marche
Verte) 06 Novembre 1975. De ce fait, c’est maintenant clair qu’elles n’ont pas
porté leurs fruits et, qu’effectivement il s’en rend compte par la preuve que ses
objectifs fixés pour le 28 Avril 2016 ne seraient jamais atteints. Ce qui
permet au peuple marocain de ne se focaliser plus que sur l’actualité du
Conseil de Sécurité, mais aussi d’échanger dans des débats constructifs à
l’international autour des recommandations et bonnes pratiques relatives à la
meilleure prise en charge du Sahara marocain.
Et oui, voilà ce
qui nous ramène automatiquement au fond des choses en ce qui concerne la place
remarquable du Maroc à beaucoup d’égards dans la carte géostratégique et
politique du Grand Maghreb. Et dont, l’Algérie et ses courtiers au Secrétariat
Général de l’ONU, comme Ban Ki Moon et son gourou Christopher Ross, n’en y
peuvent rien faire par leurs manipulations hasardeuses non biens calculées. S’ajoutant
à l’épaulement du Maroc désormais direct de la France de l’Espagne et des USA, en
plus des offres collaboratives diversifiées qu’elles soient voyantes ou pas avec
lui étant le seul pays sécurisé et stable de la région, surtout de la part de
la Fédération de Russie de l’Inde du Pakistan du Japon de la Chine de la
Turquie du Canada et de l’UK.
Néanmoins,
dorénavant, plus que jamais les pays du CCG sont amenés à jouer à leur tour un rôle
majeur en ON dans la solution préconisée par l’autonomie dans la
régionalisation avancée. De par leur stratégie à moyen terme qui repose sur au
moins trois priorités incontournables, qu’aux Nations Unies on les encouragerait
au détriment de ce que peuvent en penser les récalcitrants du cercle restreint
au Secrétariat Général de l’ONU. Dont, effectivement la première, c’est le
développement de nouvelles applications technico-structurelles civiles et
militaires pour le traitement commun du terrorisme, en usant particulièrement de
circulation permanente du renseignement spécifique et de l’information
sécuritaire stratégique. La deuxième, s’agissant du lancement de projets
concertés en vue de la production des richesses locales, n’est autre que l’accélération
de la croissance dans les secteurs innovants de grande valeur ajoutée. Alors
que la troisième hautement stratégique, c’est l’encouragement au financement
des idées multi spatiales sur les énergies renouvelables d’où la créativité
serait conçue sur le modèle de zones de travail au Maroc de Tanger à Laguouira entre
les chercheurs du monde et pas seulement du Machrek et Maghreb. Notamment, en
palliant le déficit communicationnel d’avant en réalisations grandioses dans le
respect total de l’environnement et ses écosystèmes au-delà de la préparation
de la COP22 à Marrakech Novembre 2016. A bon entendeur salut !
le mal est fait, et qu'il faut attendre la fin de son inimité diplomatique pour lui demander des comptes, sur les raisons de son comportement d'homme vendu aux terroristes et aux corrupteurs, qu'il faut les mettre tous à table devant le monde entier.
RépondreSupprimerle mal est fait, et qu'il faut attendre la fin de son inimité diplomatique pour lui demander des comptes, sur les raisons de son comportement d'homme vendu aux terroristes et aux corrupteurs, qu'il faut les mettre tous à table devant le monde entier.
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