vendredi 22 avril 2016

AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L’ONU, N’EST-CE DÉJÀ LA MISE EN AVANT DES VERTUS DU CHOIX DE L'EFFECTIVITÉ DE L’AUTONOMIE APRES LE SOMMET MAROC-CCG?

A CET EFFET, N’EST-CE LE TOURNANT DE VALIDATION DES INFORMATIONS INTERDÉPENDANTES DU DISCOURS DU ROI DU MAROC A RIYAD ?

       Le Maroc conscient de l’importance de la résolution du Conseil de Sécurité, en a anticipé à faire le point sur les sournoiseries et lacunes du rapport Ban Ki Moon. Chose qui s’avère primordiale, en matière de prévention ne s’arrêtant pas seulement à l’applicabilité de ses stratégies nationales en mesure d’identifier la typologie des envenimations distillées. Mais aussi à l’analyse critique du  rapport en question, dont dépend le savoir-lire entre les lignes pour mieux répliquer sur l’évaluation de sa validité de son impact et de sa pertinence dans les relations diplomatiques onusiennes. Parce que, c’est la première évidence qui saute aux yeux dans la façon satanique même déstructurée du rapport pondu par Ban Ki Moon, qui n’est que l’émanation de la pensée des lobbyings pro pouvoir algérien et anti peuple marocain. Sauf que la question, n’est-ce comment faire pour aider le Conseil de Sécurité à exceller dans son rôle complexe de coordination intégrant la maîtrise et connaissance du dossier du Sahara marocain. Afin de pouvoir traduire sa volonté désormais perceptible de prise en compte de l’offre novatrice d’autonomie sur le terrain, malgré quelques rares repositionnements non tranchés incompréhensibles s’opérant hypocritement sans cesse selon les opportunités temporelles et conjoncturelles ?

       Toutefois, il est vrai que le Conseil de Sécurité de l’ONU ne pourrait occulter le meilleur prix de la fidélité décerné aux Rois et Princes du CCG dans l’affaire du Sahara marocain, dont les journalistes accrédités aux Nations Unies et pas seulement, en ont fait grand écho à travers les mass médias du monde. Entre d’une part le soutien courageux sans ambages au Maroc de ces pays du Golf arabe, et d’autre part l’illusion de Ban Ki Moon, son gourou Christopher Ross et leurs portes-flingues au Secrétariat Général qu’en effet tous sont hors du monde du réel. Au sens que dans tous les cas, le Conseil de Sécurité dans sa future résolution à ce propos, il interpréterait positivement la polygraphie des informations interdépendantes hautement stratégiques que contient l'audace la structuralité le tempos la teneur et le ton du discours du Roi Mohamed VI à Ryad lors du Sommet Maroc-CCG. D’abord sur l’intérêt de ce qu’engendrerait la mise en application de l’offre maximale marocaine, pour que la contribution onusienne soit positive et adaptée à l’acceptation de l’avancée socio économique culturelle écologique et politique sur le terrain. Puis, sur les signes prédictifs du grondement guerrier du Polisario ne sachant qu’avec ses agitations tartuferies il est devenu seulement risible à l'international ni moins ni plus.

       Et maintenant par ailleurs, la solution n’est-elle que le Maroc puisse continuer à relever le challenge de développement multidisciplinaire dans la régionalisation avancée dans un espace sans conflit ni menace guerrière ? Plus particulièrement, via la valorisation multidimensionnelle de son alliance stratégique avec les six pays du CCG, qu’évidemment ne lui veulent que du bien dans la sérénité la stabilité et la sécurité à eux aussi ? D’autant plus, sachant que Ban Ki Moon et ses gourous essayent de compliquer l’affaire du Sahara marocain par leur programmation préméditée de reconversion de la résolution 2218 d’Avril 2015 au profit du statu-quo d’avant 2007. Sans tenir compte ni du nouveau concept onusien de prévention des prestations d’envenimations relationnelles et diplomatiques en risquant de mettre inutilement toute la région à feu et à sang. Ni de la garantie de prise en charge globale du Conseil de Sécurité se basant exclusivement sur l’action d’homogénéisation des pratiques de neutralité et impartialité. Voilà ce qui est dit sans détours ni dilutions à propos de l’atmosphère du vécu au sein du Secrétariat Général de l’ONU sous le tendancieux Ban Ki Moon, qu’au demeurant n’a en plus fait engendrer que dépenses paradoxalement inutiles lourdes et injustifiées voire souvent falsifiées par les observateurs  de la Minurso eux-mêmes. Une pratique qui va de pair avec leur corruption par le pouvoir algérien via le gonflement de leurs comptes à l'Etranger, jouant par conséquent un rôle fondamental dans leur partialité et non neutralité.

       Aussi, et c’est essentiel, les divers décryptages analytiques riches en enseignements politiques du discours royal du 20 Avril 2016 au sommet Maroc-CCG à Riyad, dévoilent le rôle du Maroc de plus en plus prononcé dans la géosphère sécuritaire du Machrek du Maghreb de l’Europe de la Russie de l’Asie de la bande sahélo subsaharienne-africaine des Amériques et autres. Plus particulièrement, envers cette ‘’nouvelle-ancienne’’ identité commune Maroc-CCG prometteuse à beaucoup d’égards, par la prévention des malveillances de déstabilisation en interne comme en externe qu’elles soient sociétales économiques culturelles cultuelles et écologiques. D’ailleurs, n’est-ce là où l’attention du Maroc a mis en avant la fabrication du caractère coopératif civil et militaire indispensable à cette alliance sensiblement stratégique, pour combattre le mal être survenu depuis le début du soi-disant printemps arabe ? Et, qui malheureusement, continue de se solubiliser dans la terreur sanguinolente sous les cieux non envieux à même chez les pays en convalescence voire à débandade réduite. Ce qui demande à cette entité une vigilance accrue en régulant toutes sortes d’effets, comme l’échange du renseignement sensible, non seulement pour lutter contre la menace et grondement terroriste, mais aussi contre le chantage communicationnel de la média-génie anti Royautés arabes dont les supports sont désormais connus et identifiés.

       Néanmoins, que les choses soient claires, n’en croyez que c’est un rapport anxiogène pour le peuple marocain ! Au contraire, il conforte à la fois le Maroc dans son dépistage précoce du machiavélisme obstructif de Ban Ki Moon, et le Conseil de Sécurité à propos de la mise en application de l’offre d’autonomie dans la régionalisation avancée sous souveraineté du Royaume du Maroc. Qu’en plus le champ d’application est immense, allant de la garantie de l’Etat-Maroc dans l’apport de l’apprentissage de la démocratie participative sur le plan pratique en faisant participer tous les résidents, au rattrapage socio-économique culturel et écologique en passant par  la dissection des priorités ? D’ailleurs, c'est dans ce sens depuis 2011 que les ateliers pratiques communs entre le Maroc et les pays du CCG, quant à eux, ils étaient axés sur cette modélisation constructive garantie d’un Maroc nouveau sur tous ses territoires de Tanger à Lagouira. Avec bien sûr, la caractéristique de la concomitance en double sens des échanges mutuels informationnels d’intérêts géostratégiques de coexistence et de subsistance. Comme dans les grands chantiers des énergies renouvelables, des infrastructures de dernières générations, de l’industrie agroalimentaire, des nouvelles technologies de fibres optiques pour l’aéronautique et télécommunications, du fret et transport aérien et maritime à destination de l’Europe l’Afrique et les Amériques, de l’excellence de l’enseignement et recherche de pointe internationalisée et autres projets de dessalement des eaux des mers.


       A l’évidence, en résumé, il n’y a pas longtemps on aurait cru Ban Ki Moon ensorcelé, par ce qu’il s’imagine être la victime des voix qu’il entend dans sa paranoïa et fixation anti Maroc, même en reconnaissant qu’il ne maîtrise pas le dossier du Sahara marocain. Mais aujourd’hui, n’est-ce pas qu’il est temps de sévir à son encontre, dès lors que le monde entier assiste au nombre surprenant de ses dérives par suite de gestuels inappropriés, de dires déconcertants et de rapports préétablis biaisés et tronchés parce que basés sur la tromperie et la tricherie ? En plus prétendant même vouloir rendre à l’Algérie son rôle et aura perdus dans les instances internationales, et ce au mépris du Conseil de Sécurité et à l'intelligence de ses membres. Rien que pour ça, ne faudrait-il ne pas occulter cet intérêt de Ban Ki Moon à l’irrationnel initiatique fallacieux du pouvoir algérien en pleine agonie, en le blâmant, lui, pour qu’il puisse s’en rappeler pour le restant de sa vie ? Et, surtout en lui répondant au sein du Conseil de Sécurité par la seule résolution qui vaille, celle menant au succès incontournable de la thèse marocaine d’autonomie ne pouvant laisser de place à l’hystérie collective de la haine infondée et gratuite au sein du Secrétariat Général de l'ONU à l’égard du peuple marocain. A bon suiveur bonne lecture !  

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire