A CET EFFET, N’EST-CE LE TOURNANT DE VALIDATION DES
INFORMATIONS INTERDÉPENDANTES DU DISCOURS DU ROI DU MAROC A RIYAD ?
Le Maroc
conscient de l’importance de la résolution du Conseil de Sécurité, en a
anticipé à faire le point sur les sournoiseries et lacunes du rapport Ban Ki
Moon. Chose qui s’avère primordiale, en matière de prévention ne s’arrêtant pas
seulement à l’applicabilité de ses stratégies nationales en mesure d’identifier
la typologie des envenimations distillées. Mais aussi à l’analyse critique du rapport en question, dont dépend le
savoir-lire entre les lignes pour mieux répliquer sur l’évaluation de sa
validité de son impact et de sa pertinence dans les relations diplomatiques
onusiennes. Parce que, c’est la première évidence qui saute aux yeux dans la
façon satanique même déstructurée du rapport pondu par Ban Ki Moon, qui n’est
que l’émanation de la pensée des lobbyings pro pouvoir algérien et anti peuple
marocain. Sauf que la question, n’est-ce comment faire pour aider le Conseil de
Sécurité à exceller dans son rôle complexe de coordination intégrant la maîtrise et connaissance du dossier du Sahara marocain. Afin de pouvoir traduire sa
volonté désormais perceptible de prise en compte de l’offre novatrice d’autonomie sur le terrain, malgré quelques rares repositionnements non tranchés incompréhensibles s’opérant hypocritement sans cesse selon les opportunités temporelles et conjoncturelles ?
Toutefois, il est vrai que
le Conseil de Sécurité de l’ONU ne pourrait occulter le meilleur prix de la fidélité décerné
aux Rois et Princes du CCG dans l’affaire du Sahara marocain, dont les journalistes accrédités aux Nations Unies et pas seulement, en ont fait grand écho à travers les mass médias du monde. Entre d’une part
le soutien courageux sans ambages au Maroc de ces pays du Golf arabe, et d’autre part l’illusion de Ban
Ki Moon, son gourou Christopher Ross et leurs portes-flingues au Secrétariat
Général qu’en effet tous sont hors du monde du réel. Au sens que dans tous les
cas, le Conseil de Sécurité dans sa future résolution à ce propos, il
interpréterait positivement la polygraphie des informations interdépendantes
hautement stratégiques que contient l'audace la structuralité le tempos la teneur et le ton du
discours du Roi Mohamed VI à Ryad lors du Sommet Maroc-CCG. D’abord sur
l’intérêt de ce qu’engendrerait la mise en application de l’offre maximale
marocaine, pour que la contribution onusienne soit positive et adaptée à
l’acceptation de l’avancée socio économique culturelle écologique et politique sur
le terrain. Puis, sur les signes prédictifs du grondement guerrier du Polisario
ne sachant qu’avec ses agitations tartuferies il est devenu seulement risible à l'international ni moins
ni plus.
Et maintenant
par ailleurs, la solution n’est-elle que le Maroc puisse continuer à relever le
challenge de développement multidisciplinaire dans la régionalisation avancée dans un espace sans conflit ni menace guerrière ? Plus particulièrement, via la valorisation multidimensionnelle de
son alliance stratégique avec les six pays du CCG, qu’évidemment ne lui veulent
que du bien dans la sérénité la stabilité et la sécurité à eux aussi ? D’autant
plus, sachant que Ban Ki Moon et ses gourous essayent de compliquer l’affaire
du Sahara marocain par leur programmation préméditée de reconversion de la
résolution 2218 d’Avril 2015 au profit du statu-quo d’avant 2007. Sans tenir
compte ni du nouveau concept onusien de prévention des prestations
d’envenimations relationnelles et diplomatiques en risquant de mettre inutilement toute la région à feu et à sang. Ni de la garantie de prise en
charge globale du Conseil de Sécurité se basant exclusivement sur l’action
d’homogénéisation des pratiques de neutralité et impartialité. Voilà ce qui est
dit sans détours ni dilutions à propos de l’atmosphère du vécu au sein du
Secrétariat Général de l’ONU sous le tendancieux Ban Ki Moon, qu’au demeurant n’a en plus fait engendrer que dépenses paradoxalement inutiles lourdes et injustifiées
voire souvent falsifiées par les observateurs de la Minurso eux-mêmes. Une pratique qui va de pair avec leur corruption par le pouvoir algérien via le gonflement de leurs comptes à l'Etranger, jouant par conséquent un rôle fondamental dans leur partialité et non neutralité.
Aussi, et c’est
essentiel, les divers décryptages analytiques riches en enseignements
politiques du discours royal du 20 Avril 2016 au sommet Maroc-CCG à Riyad,
dévoilent le rôle du Maroc de plus en plus prononcé dans la géosphère
sécuritaire du Machrek du Maghreb de l’Europe de la Russie de l’Asie de la
bande sahélo subsaharienne-africaine des Amériques et autres. Plus particulièrement,
envers cette ‘’nouvelle-ancienne’’ identité commune Maroc-CCG prometteuse à
beaucoup d’égards, par la prévention des malveillances de déstabilisation en interne
comme en externe qu’elles soient sociétales économiques culturelles cultuelles
et écologiques. D’ailleurs, n’est-ce là où l’attention du Maroc a mis en avant
la fabrication du caractère coopératif civil et militaire indispensable à cette
alliance sensiblement stratégique, pour combattre le mal être survenu depuis le
début du soi-disant printemps arabe ? Et, qui malheureusement, continue de
se solubiliser dans la terreur sanguinolente sous les cieux non envieux à même
chez les pays en convalescence voire à débandade réduite. Ce qui demande à
cette entité une vigilance accrue en régulant toutes sortes d’effets, comme
l’échange du renseignement sensible, non seulement pour lutter contre la menace et grondement terroriste, mais aussi contre le chantage communicationnel de la média-génie anti
Royautés arabes dont les supports sont désormais connus et identifiés.
Néanmoins, que
les choses soient claires, n’en croyez que c’est un rapport anxiogène pour le
peuple marocain ! Au contraire, il conforte à la fois le Maroc dans son
dépistage précoce du machiavélisme obstructif de Ban Ki Moon, et le Conseil de
Sécurité à propos de la mise en application de l’offre d’autonomie dans la
régionalisation avancée sous souveraineté du Royaume du Maroc. Qu’en plus le
champ d’application est immense, allant de la garantie de l’Etat-Maroc dans l’apport
de l’apprentissage de la démocratie participative sur le plan pratique en
faisant participer tous les résidents, au rattrapage socio-économique culturel
et écologique en passant par la
dissection des priorités ? D’ailleurs, c'est dans ce sens depuis 2011 que les ateliers pratiques
communs entre le Maroc et les pays du CCG, quant à eux, ils étaient axés sur
cette modélisation constructive garantie d’un Maroc nouveau sur tous ses
territoires de Tanger à Lagouira. Avec bien sûr, la caractéristique de la
concomitance en double sens des échanges mutuels informationnels d’intérêts géostratégiques de
coexistence et de subsistance. Comme dans les grands chantiers des énergies
renouvelables, des infrastructures de dernières générations, de l’industrie agroalimentaire,
des nouvelles technologies de fibres optiques pour l’aéronautique et télécommunications,
du fret et transport aérien et maritime à destination de l’Europe l’Afrique et les Amériques, de l’excellence
de l’enseignement et recherche de pointe internationalisée et autres projets de
dessalement des eaux des mers.
A l’évidence, en
résumé, il n’y a pas longtemps on aurait cru Ban Ki Moon ensorcelé, par ce qu’il
s’imagine être la victime des voix qu’il entend dans sa paranoïa et fixation
anti Maroc, même en reconnaissant qu’il ne maîtrise pas le dossier du Sahara
marocain. Mais aujourd’hui, n’est-ce pas qu’il est temps de sévir à son encontre, dès lors
que le monde entier assiste au nombre surprenant de ses dérives par suite de
gestuels inappropriés, de dires déconcertants et de rapports préétablis biaisés et tronchés parce que basés sur la tromperie et la tricherie ? En plus prétendant même
vouloir rendre à l’Algérie son rôle et aura perdus dans les instances
internationales, et ce au mépris du Conseil de Sécurité et à l'intelligence de ses membres. Rien que pour ça, ne
faudrait-il ne pas occulter cet intérêt de Ban Ki Moon à l’irrationnel
initiatique fallacieux du pouvoir algérien en pleine agonie, en le blâmant, lui, pour qu’il
puisse s’en rappeler pour le restant de sa vie ? Et, surtout en lui
répondant au sein du Conseil de Sécurité par la seule résolution qui vaille,
celle menant au succès incontournable de la thèse marocaine d’autonomie ne
pouvant laisser de place à l’hystérie collective de la haine infondée et
gratuite au sein du Secrétariat Général de l'ONU à l’égard du peuple marocain. A bon suiveur bonne lecture !
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