dimanche 3 avril 2016

LA CONFIANCE AU MAROC, SERAIT-ELLE EXCLUSIVEMENT LE MAILLON ESSENTIEL DE LA RÉSOLUTION DU CONSEIL DE SÉCURITÉ D’AVRIL 2016 ?

Ô ATTENTISME ONUSIEN SYNDROME D’ÉPUISEMENTASSURÉMENT TU SERAS BIENTÔT VAINCU PAR LES MISES A DISPOSITION DES BONNES OFFENSIVES DIPLOMATIQUES MAROCAINES !

       Prudence ou pas, il s’agit de bien scruter les ingrédients de la bataille Maroc-Ban Ki Moon à l’ONU ! Surtout en cette période de forte intox susceptible d’aggraver l’attentisme. Parce qu’aujourd’hui, si la volonté de lancer une offensive diplomatique est réelle, que savons-nous sur les raisons d’améliorer plus significativement le rapport de nos diplomates professionnels à leurs contributions longtemps restées discrètes et en deçà des espoirs ? Enfin, on peut dire qu’ils commencent à changer le cours du fil d’actualités dans les chancelleries du monde à l’avantage du pays, concernant la non neutralité et impartialité de Ban Ki Moon et ses sbires au Secrétariat Général de l’ONU dans l’affaire du Sahara marocain. D’autant que, les données stratégiques politiques actuelles sur ce conflit préfabriqué par le pouvoir algérien, reflètent selon les observateurs, une réelle incompréhension du comportement de Ban Ki Moon à l’égard du Maroc.

        A l’évidence, par conséquent, tout le peuple marocain de Tanger à Laguouira approuve l’approche principale de l’attaquer diplomatiquement de front. Et, qu’en plus en encourage la praticabilité méthodologique offensive en ON afin de promouvoir la justesse de l’offre marocaine de l’autonomie 2007 dans le cadre de la régionalisation avancée. Notamment, après la concertation avec les forces vives et finalisation des éléments diplomatiques sur le langage approprié à adopter permettant d’impacter les instances internationales à ce propos. Pour preuve, la leçon tirée chemin faisant de ne plus laisser traîner les choses dans l’action diplomatique au quotidien, dont il en convient au niveau de la tutelle ministérielle d’accorder les initiatives dans un but d’offrir plus de visibilité en communication ciblée à l’international. Et, pourquoi ne pas aller jusqu'à mobiliser dans les conférences et débats, les personnalités et sommités en matière du droit international pour rehausser plus l’image de marque du Maroc qui est semble-t-il encore en pré luminescence cultuelle sécuritaire et en pré séance de développement socio-économique culturel et écologique? D’abord en s’appuyant sur l’offre maximale 2007 du Maroc à l’ONU, particulièrement dans ses potentialités applicatives déjà en marche dans tous ces domaines. Puis en luttant contre toutes les formes de contamination de l’approche marocaine, et ce dans sa singularité usant de légitimité représentative participative de proximité avant toute autre considération.

       D’ailleurs, à ce titre, l’offensive du représentant permanent du Maroc à l’ONU n’est aucunement une simulation. Elle est de fait une mise en garde vive sans ambages, sur la fuite de la missive adressée au Roi Mohammed VI par Ban Ki Moon menée par son SGSP propolisarien (Consulting Group au Secrétariat Particulier). Comme quoi, communiquer sur cette non-conformité à la confidentialité des échanges avec le Maroc, aiderait automatiquement la communauté internationale à la compréhension de la marge de divergence de non neutralité et impartialité du Secrétaire Général actuel. Dès lors que pour lui et ses proches collaborateurs au Secrétariat Général de l’ONU, il suffit d’être séparatiste même par le poids de l’ignorance pour se faire entendre et être encouragé, encore plus bizarrement dans cette bêtise à contresens de l’histoire et du réel sur le terrain. C’est ainsi que l’arrêt de cette attitude s’est imposée au département des affaires étrangères marocain comme une réalité concrète, vu les dangers qu’elle présente et la déflagration régionale qu’elle risque d’entraîner. Mais comment faire pour à chaque fois s’adapter à ce genre de malveillance, si ce n’est de se donner les moyens de la contrer à coups de sensibilisation, d’information et d’engagement par l’action diplomatique préventive proactive intelligente et moderne ? A l'exemple de ce que fut fait immédiatement en tirant d’emblée la sonnette d’alarme quant à la problématique de stigmatisation des marocains par Ban Ki Moon, en tant qu’occupants sans scrupule d’autrui.

       Néanmoins, penser ce que vous voulez, pour le Maroc, afin d’éviter de tragiques conséquences avec l’Algérie entre ‘’Réalités politiques/Réalités territoriales’’ dans les wilayas de Tindouf et Bachar, il lui faudrait l’élaboration d’une production revendicative à l’ONU à la faveur de ce que les marocains patriotes considèrent recouvrement des souverainetés. Ce qu’évidemment le positionnerait en situation encore plus favorable dans la péréquation relationnelle avec le Secrétariat Général trop partial étant connu algéro-dépendant. Parce que, et c’est vrai, augmenter simplement son intérêt à ce Secrétariat Général sous Ban Ki Moon sans aucune valeur ajoutée, n’est pas la solution idéale pour une fin rapide équitable et viable à ce conflit qui a trop duré. D’ailleurs, comme on dit au Maroc ‘’Agrandir le paroxysme conflictuel avec ses ennemis en l'attisant, n’aboutit qu’à son amenuisement ’’. Où, autrement dit, concernant le pouvoir algérien et ses chiens polisariens de basse-cour ’’Dans un poulailler, mettre sa tête dans le Son botanique fruit de blutage après mouture des céréales, c’est s’exposer au picorement des poulets’’. A cet égard, peu importe comment crier son désaveu aux incartades du Secrétariat Général de l’ONU, pour contrecarrer les grignotages qu’on veut imposer à l’intégrité territoriale du Maroc. Ce qui prime avant tout, c’est la mobilisation tout azimut au demeurant propice à la transmission des vérités historiques territoriales et politiques ambitionnant de mettre en place l’unité l’unicité et la pérennité du pays.

      Encore heureux que le Conseil de Sécurité de l’ONU veille au grain formant dans sa recherche de formule réfléchie équitable et viable, le maillon essentiel de sa confiance au Maroc dans toutes ses résolutions futures. Une sorte de barrière morale et politique qui empêcherait les flux et reflux paroxystiques antis Maroc, notamment des groupes de pression de tout faire capoter. N’est-ce dans ce même registre que le Maroc a montré grâce à son offre dans la régionalisation avancée contenant multitude de mesures accompagnatrices innovantes, la validité du mode administratif décentralisé et déconcentré conçu pour résoudre les problèmes en suspens ? Notamment, la peur du retour des inconvénients de l’influence de l’administration territoriale, jadis responsable de la logistique de conservation des réflexes gestionnaires d’un autre temps. Désormais, pour bon nombres de membres du Conseil de Sécurité de l’ONU il est inconcevable aujourd’hui de ne pas encourager fondamentalement l’approche marocaine, pour prévenir et contrer les risques d’installation terroriste de toutes natures que ce soient dans le Sahara marocain. A bon suiveur bonne lecture !    

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