Ô ATTENTISME ONUSIEN SYNDROME D’ÉPUISEMENT, ASSURÉMENT TU SERAS BIENTÔT VAINCU PAR LES MISES A DISPOSITION DES BONNES OFFENSIVES DIPLOMATIQUES
MAROCAINES !
Prudence ou pas,
il s’agit de bien scruter les ingrédients de la bataille Maroc-Ban Ki Moon à l’ONU ! Surtout en cette période de forte intox susceptible d’aggraver l’attentisme. Parce qu’aujourd’hui, si la volonté de lancer une offensive diplomatique est
réelle, que savons-nous sur les raisons d’améliorer plus significativement le
rapport de nos diplomates professionnels à leurs contributions longtemps
restées discrètes et en deçà des espoirs ? Enfin, on peut dire qu’ils commencent
à changer le cours du fil d’actualités dans les chancelleries du monde à
l’avantage du pays, concernant la non neutralité et impartialité de Ban Ki Moon
et ses sbires au Secrétariat Général de l’ONU dans l’affaire du Sahara marocain.
D’autant que, les données stratégiques politiques actuelles sur ce conflit préfabriqué par
le pouvoir algérien, reflètent selon les observateurs, une réelle
incompréhension du comportement de Ban Ki Moon à l’égard du Maroc.
A l’évidence, par conséquent, tout le peuple marocain
de Tanger à Laguouira approuve l’approche principale de l’attaquer
diplomatiquement de front. Et, qu’en plus en encourage la praticabilité
méthodologique offensive en ON afin de promouvoir la justesse de l’offre
marocaine de l’autonomie 2007 dans le cadre de la régionalisation avancée.
Notamment, après la concertation avec les forces vives et finalisation des
éléments diplomatiques sur le langage approprié à adopter permettant d’impacter
les instances internationales à ce propos. Pour preuve, la leçon tirée chemin
faisant de ne plus laisser traîner les choses dans l’action diplomatique au
quotidien, dont il en convient au niveau de la tutelle ministérielle d’accorder les initiatives dans un but d’offrir
plus de visibilité en communication ciblée à l’international. Et, pourquoi ne
pas aller jusqu'à mobiliser dans les conférences et débats, les personnalités et sommités en matière
du droit international pour rehausser plus l’image de marque du Maroc qui est semble-t-il encore en pré luminescence
cultuelle sécuritaire et en pré séance de développement socio-économique culturel
et écologique? D’abord en s’appuyant sur l’offre maximale 2007 du Maroc à l’ONU, particulièrement dans ses potentialités applicatives déjà en marche dans tous ces domaines. Puis
en luttant contre toutes les formes de contamination de l’approche marocaine,
et ce dans sa singularité usant de légitimité représentative participative de
proximité avant toute autre considération.
D’ailleurs, à ce
titre, l’offensive du représentant permanent du Maroc à l’ONU n’est aucunement
une simulation. Elle est de fait une mise en garde vive sans ambages, sur la
fuite de la missive adressée au Roi Mohammed VI par Ban Ki Moon menée par son SGSP
propolisarien (Consulting Group au Secrétariat Particulier). Comme quoi, communiquer
sur cette non-conformité à la confidentialité des échanges avec le Maroc, aiderait
automatiquement la communauté internationale à la compréhension de la marge de divergence de non neutralité
et impartialité du Secrétaire Général actuel. Dès lors que pour lui et ses
proches collaborateurs au Secrétariat Général de l’ONU, il suffit d’être
séparatiste même par le poids de l’ignorance pour se faire entendre et être
encouragé, encore plus bizarrement dans cette bêtise à contresens de l’histoire et du réel sur le
terrain. C’est ainsi que l’arrêt de cette attitude s’est imposée au département
des affaires étrangères marocain comme une réalité concrète, vu les dangers qu’elle
présente et la déflagration régionale qu’elle risque d’entraîner. Mais comment
faire pour à chaque fois s’adapter à ce genre de malveillance, si ce n’est de
se donner les moyens de la contrer à coups de sensibilisation, d’information et
d’engagement par l’action diplomatique préventive proactive intelligente et
moderne ? A l'exemple de ce que fut fait immédiatement en tirant d’emblée la sonnette d’alarme quant à la problématique
de stigmatisation des marocains par Ban Ki Moon, en tant qu’occupants sans
scrupule d’autrui.
Néanmoins, penser
ce que vous voulez, pour le Maroc, afin d’éviter de tragiques conséquences avec
l’Algérie entre ‘’Réalités politiques/Réalités territoriales’’ dans les wilayas
de Tindouf et Bachar, il lui faudrait l’élaboration d’une production
revendicative à l’ONU à la faveur de ce que les marocains patriotes considèrent
recouvrement des souverainetés. Ce qu’évidemment le positionnerait en situation encore plus favorable dans la péréquation relationnelle avec le Secrétariat Général trop partial étant connu
algéro-dépendant. Parce que, et c’est vrai, augmenter simplement son intérêt à
ce Secrétariat Général sous Ban Ki Moon sans aucune valeur ajoutée, n’est pas
la solution idéale pour une fin rapide équitable et viable à ce conflit qui a trop duré.
D’ailleurs, comme on dit au Maroc ‘’Agrandir le paroxysme conflictuel
avec ses ennemis en l'attisant, n’aboutit qu’à son amenuisement ’’. Où, autrement dit, concernant le pouvoir algérien et ses chiens polisariens de basse-cour ’’Dans
un poulailler, mettre sa tête dans le Son botanique fruit de blutage après
mouture des céréales, c’est s’exposer au picorement des poulets’’. A cet égard,
peu importe comment crier son désaveu aux incartades du Secrétariat Général de
l’ONU, pour contrecarrer les grignotages qu’on veut imposer à l’intégrité
territoriale du Maroc. Ce qui prime avant tout, c’est la mobilisation tout
azimut au demeurant propice à la transmission des vérités historiques
territoriales et politiques ambitionnant de mettre en place l’unité l’unicité et la pérennité du pays.
Encore heureux
que le Conseil de Sécurité de l’ONU veille au grain formant dans sa recherche
de formule réfléchie équitable et viable, le maillon essentiel de sa confiance au Maroc dans toutes ses résolutions futures. Une sorte de barrière morale et politique qui
empêcherait les flux et reflux paroxystiques antis Maroc, notamment des groupes de pression de
tout faire capoter. N’est-ce dans ce même registre que le Maroc a montré grâce
à son offre dans la régionalisation avancée contenant multitude de mesures
accompagnatrices innovantes, la validité du mode administratif décentralisé et
déconcentré conçu pour résoudre les problèmes en suspens ? Notamment, la
peur du retour des inconvénients de l’influence de l’administration
territoriale, jadis responsable de la logistique de conservation des réflexes gestionnaires d’un autre temps. Désormais, pour bon nombres de membres du
Conseil de Sécurité de l’ONU il est inconcevable aujourd’hui de ne pas
encourager fondamentalement l’approche marocaine, pour prévenir et contrer les
risques d’installation terroriste de toutes natures que ce soient dans le
Sahara marocain. A bon suiveur bonne lecture !
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