dimanche 18 décembre 2016

POURQUOI A L'ONU DÉSORMAIS LES NON-DITS ET NON-ENTENDUS A PROPOS DU RETOUR DU MAROC A L'UA NE SONT-ILS PLUS UNE FATALITÉ ?

QU'EN NE LE VEUILLE OU PAS, POUR L'UE LA RUSSIE LES USA LA CHINE ET L'UA DÉSORMAIS LEUR PROJECTION FUTURE, C'EST NE PLUS JAMAIS ETRE DANS LE PRÉJUDICE NI LE DÉNI DE LEUR CONFUSION D'ANTAN VIS-A-VIS DU MAROC UNIQUE ET UNITAIRE ACTUELLEMENT EN ROUTE POUR L'UA.

       D'ores et déjà l'on peut dire, beaucoup d'événements avec la Russie l'Allemagne la Chine l'Inde la Turquie le Brésil et les USA sont prévus par le Maroc en 2017. C'est ainsi, selon les observatoires dignes de foi, il se tient prêt à encore donner une ligne plus recadrée comme opération fatale pour en finir avec les fourberies de l'Algérie qui se trouve piégée dans le boudoir mauritanien à Guergarate. Bref, n'est-ce là une optimisation de sa part de toutes ses relances diplomatiques avec minutie stratégique multidirectionnelle tenable et rentable, à l'opposé des tentatives mono-colores de l’extrême algériennes et sociétales in-sécuritaires ici et là sur la région MENA-Sahel subsaharienne africaine ? Sachant qu'aujourd'hui entre le Maroc et l'Algérie la lutte sur le leadership politique en Afrique est un pugilat d'influence et de maîtrise de la notion de la temporalité d'appartenance à la communauté des pays utiles et non à ceux en faillite. Dès lors qu'à propos de son retour à l'UA à addis-Abeba, le semblant des non-dits par l'Algérie au sens où même les non-entendus par l'ONU ne sont plus considérés une fatalité d'incompréhension du différend Maroc-Algérie. Pourtant, pendant longtemps à l'UA leurs conséquences diplomatiques émotionnelles d'un temps révolu étaient dans l'énormité, car s'opposant à la vraie mesure-priorité du Maroc par peur qu'il la fasse sortir de cette léthargie conditionnée par les agitateurs au sein de la Commission dirigée par l'Ex Madame Zouma. 

   Néanmoins, cette lutte n'est-elle aussi un véritable enjeu géopolitique pour marquer outre une mise au point sur l'état avancé de la ligne diplomatique offensive tracée par le Maroc, le fait aussi qu'il puisse susciter espoir de réalisation des gestions intégrées sans confusion sur les priorités ? D'abord, de couverture adéquate sans conteste en relation avec les montages financiers pour faciliter la constance collaborative économique en qualité des prestations et partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal, à l'exemple du gazoduc Nigéria-Maroc qui représente le chantier d'envergure dont l'incidence augmentera la capacité énergétique de pas moins de 13 pays. Puis, d'efforts déployés par lui sur le plan sécuritaire-cultuel sur bon nombre de critères d'évolution du système d'établissement de sérénité spirituelle de surcroît tributaire de l'instauration des liens de la majorité des pays au sein de la future projection de l'UA. Avec tout ce que cela entraîne comme répercussions sur les comportements de quelques pays inféodés à l'Algérie, laquelle par ailleurs, depuis la guerre des sables 1963 s'opposait à la place du Maroc dans le concert mondial notamment aux non alignés. Evidemment, n'est-ce en cela que les pirates informationnels à sa solde sur le Net n'ont eu de cesse de prendre des tannées successives de la part des marocains, du fait qu'ils n'arrivent à intégrer que c'est fini les manœuvres algériennes en OFF car l'équilibre des défenses de fer n'est plus ? C'est même plus compliqué que cela pour l'Algérie en déconfiture, étant donné tous les jours par des moments d'égarements successifs intensifs elle gesticule à l'aveugle pour reprendre la main en Afrique, face à un Maroc qui évolue se développe et améliore son approche pour maintenir sa renommée reconnue à l'international.


       A cet égard, à l'heure où l'aura du Roi du Maroc enregistre une augmentation de l’intérêt géostratégique des grands du monde à son endroit et de ses rapports avec l'Afrique pour permettre au co-développement durable d’être une réalité, la machine propagandiste algérienne quant à elle est enrayée. En cela, rien d'étonnant à ce que cette démarche royale soit l'une des expressions de la prise en tenaille du pouvoir algérien, pour l'obliger à sortir de ses transactions malveillantes avec la Mauritanie. Parce que cette dernière, à même qu'elle puisse penser pouvoir sortir de la risée au Maghreb elle ne peut s'échapper 
de la sorte de son croupissement pour se tourner vers la fabrication d'une nouvelle façade politique, alors qu'elle est dans le profilage des terroristes et des grands barons du trafic du crime et du gangstérisme à l’échelle planétaire. C'est donc, pour cela le Maroc en cultivant son originalité comme éditeur de nouvelles actions solidaires, qu'il a exercé presque une forme d'éloquence pour démontrer le ridicule des lignes de démarcation que cherchent à lui imposer les pouvoirs algérien et mauritanien selon le tempo de leur stratégie conspirationniste. D'ailleurs, parallèlement à toutes les performances prometteuses marocaines, pourquoi l'Algérie n'admet-elle pas qu'elle est de fait dans la gestion des déchets temporels de la régularisation dignement réalisée par le Maroc des migrants se trouvant chez-lui ? D'autant plus, en ce qui la concerne, elle n'a pu préserver un champ de mures attitudes politiques et humaines vis-à-vis des migrants subsahariens africains, dont on voit l'aboutissement à sa condamnation partout dans le monde. Ce qui montre sans le moindre doute, sa trace référentielle pour ne pas dire préférentielle à l’apartheid même en usant de ses lignes maîtresses d'antan, désormais douteuses avec la commission africaine sous Ncosazana Dlamini n'ayant pas pipé mot et l'ANC de Zouma apparemment n'est plus antiségrégationniste.

     Aussi, peu importe les contradictions de l'Algérie, seule compte la vérité dont elle trouve sa cause dans l'impuissance à faire entendre sa voix auprès du Conseil de Sécurité de l'ONU du CCG de la Russie de l'Allemagne des USA de l'UE et l'UA. Contrairement au Maroc ne cessant de s'élever dans le parchemin grandiose des ses devoirs solidaires optimistes envers l'Afrique et pas seulement, sans angoisse sur sa traçabilité géopolitique en cadence soutenue par rapport au déclassement façon fête des chimères de l'Algérie dont aussi la Mauritanie donne l'image. N'est-ce là où le nouveau Secrétaire Général de l'ONU verra sans conteste dans l'affaire du Sahara marocain que la diplomatie marocaine est devenue un des fleurons onusiens, s'appuyant sur les plateformes de fabrication du Droit rigoureusement établi aux normes internationales ? Et ce, sans retournement de positionnements, mais seulement en permettant d'offrir tous les arguments de la marocanité de son Sahara dans la régularité  historique et la continuité des liens. Et c'est là où il faut pour le futur gouvernement faire attention de ne pas tomber dans l'apparence de la HRP (High Résistance Politique) sans aucun résultat probant, alors qu'il est devant la volonté et l'esprit du discours de Dakar. Autrement dit, comprendra qui voudra, il faut continuer à travailler dans le creusage du sillon marocain africain avec subtilité, sans modification de l’authentification des vraies forces de la ''Hiba'' de l'Etat-Maroc unique et unitaire. Dont tout un chacun peut en voir qu'il avance avec une rapidité vertigineuse mais assurée dans tous les domaines, même si Ramtane Laamamra à Oran comme à l'accoutumée n'a pas fait dans la dentelle, poussant ses portes flingues médiatiques à attaquer le Maroc jusqu'à lui reprocher sa Constitution du 01 Juillet 2011, comme quoi le ridicule ne tue pas. A bon entendeur, salut !  

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