samedi 3 décembre 2016

C'EST ÉVIDENT MAINTENANT, LA CONFIGURATION DE L'AXE PRETORIA-ABUJA-ALGER N'EST PLUS VALIDE CAR DEVENUE CHAOTIQUE POUR L'UA !

PARTANT DE L'ETAT DE FAIT A PROPOS DE LA RENOMMÉE USURPÉE DE CET AXE, N'EST-CE LE FORCING GÉOPOLITIQUE-DIPLOMATIQUE-ECONOMIQUE TRANSVERSAL ET GÉOSTRATÉGIQUE-SÉCURITAIRE MULTIDIRECTIONNEL DE RABAT SOUS L'IMPULSION DIRECTE DU ROI MOHAMED VI PARTOUT EN AFRIQUE QUI L'AIT RENDUE CADUQUE ?

       C'est vrai le Maroc dans son tracé africain, a mis sur pied des accords-partenariats exceptionnels qui n'ont rien à envier à ceux déjà montés avec la France l'Espagne le CCG la Russie l'Inde la Chine et les USA. A l'exemple du projet du gazoduc reliant le Nigéria au Maroc passant par des pays au grand besoin pour leur développement-domestication de l'utilisation de l'Energie, ce qui rend aisé son retour à l'UA malgré les tergiversations puériles de Madame Ncosazana Dlamini à la commission sous anesthésie de l'Algérie presque à images de bandes dessinées mal illustrées de création de chaos. Ne sachant que tous les chefs d'Etats africains ne sont de son avis référencé à une époque désuète et donc ne peuvent se dérober à leur responsabilité historique, pour la suivre dans les réajustements de ses tracasseries risibles révélant ses arrières pensées et aussi dans ses médisances outrancières distillant son venin à contre courant du réveil africain salutaire tonique à coté du Maroc. D'ailleurs, à cet égard, n'est-elle dans le déni émotionnel qu'en plus elle le nourrit de surprise et d'inattendu, sans recherche incessante de terrain de facilitation tendant vers la cohésion de l'UA loin de la théorisation à la Mogabee ? Pour faire entrer la commission dans l'entente sans tabou de la crainte de n’être à la hauteur, sans obligation de dépasser les inquiétudes des comparaisons avec la commission de l'UE et sans injonction de besoin de décharger une quelconque tension nerveuse sur le nouveau Secrétaire Général Antonio Gutteress et les membres du Conseil de Sécurité de l'ONU les uns par rapport aux autres. N'est-ce le moment propice pour elle de demander pardon pour tant de naïveté dans son comportement indigne anti Maroc, en changeant son logiciel loin de la mécanique du secret de la rancune des gens du pouvoir militarisé algérien par peur de l'ouverture du différend des frontières héritées de la France ? N'est-ce là où il faudrait qu'elle actualise notamment sa carte mémoire, en suivant les vrais conseils allant vers la sensation d'un avenir de l'UA sur la trajectoire des souvenirs des fondateurs de l'OUA sans faiblesse politique ni détresse économique et non sur celle des malveillances des lobbys du DEA sous administration Obama ?

       Aussi, de cette débordante activité illégale et illégitime avant son départ, pourquoi cherche-t-elle à vouloir faire du retour du Maroc au sein de l'UA seulement une chose destructive de ses rituels zoulous, ne sachant que ça n'impressionne aucunement le Maroc pour qui ce n'est qu'un dernier baroud d'honneur de sa part ? Parce que, quand l'envie de partager les grands projets géostratégiques avec le Maroc inonde l'UA, il n'y a aucun doute que nombreux sont les chefs d'Etats africains qui ne partagent plus le positionnement de l'Algérie diffuseuse de mensonges vis-à-vis de ce voisin désormais bien coté partout sur la carte géophysique du monde avec les temps qui courent. Au sens où, n'est-ce là une révélation du besoin de coopération Sud-Sud, pleine de passion fruit de longues tractations où l'impensable de voir le Maroc parmi les siens à l'UA devient maintenant aisément envisageable ? Car, tous ces pays sont libérés de leurs ressentis vers la résilience du besoin vital de s'assumer à coté du Maroc entreprenant dans tous les domaines, tellement, qu'ils n'en voient seulement qu'une vie de rancune rancœur et jalousie de la part de l'Algérie à son encontre. De surcroît, est-ce que cette façon de vivre le voisinage n'est-elle devenue une jouissance pour elle, comme un torrent de masochisme qui s'écoule de ses institutions civiles et militaires et que portent ses diplomates enragés dans les instances internationales pour l'enquiquiner ? Mais voilà, pourquoi ne sait-elle que quelque chose s'est alors remis en marche, du fait que la Tunisie la Libye la Turquie et même la Mauritanie ainsi que l'UE ont pris conscience de leur désir d'amitié dénuée de triche avec le Maroc ?

       Il est certain que maintenant l'une des priorités du Maroc au Golf de Guinée, c'est de faire sortir tous ces pays des sentiers battus de la précarité de la pauvreté et de la marginalisation. Surtout, quand il s'agit de protéger la jeunesse de la radicalisation en s'adaptant à la programmation style marocain d'IDH (Initiative de Développement Humain) respectant l'écologie que ce soit dans les périphéries des villes et au fil des forets des étangs des lacs et des embouchures des fleuves. Et ce, jusqu'au partage de la passion économique-écologique cultuelle-sécuritaire et politique solidaire, qui sont le fruit de réflexion mutuelle responsable sans se projeter dans les basses manœuvres ni dans les manigances des services de renseignement algériens. C'est même passionnant de voir que des décideurs économiques privés de presque tous ces pays, assumer ce choix de travailler avec leurs homologues marocains avec autant de présence sur un pied d'égalité, sans masque ni peur et encore moins dérobade. Au point que le pouvoir algérien ait ressenti que les témoignages de soutien à ses essais du copier-coller en concurrence du Maroc ne lui arrivent plus, malgré qu'il s'essaye à la casse de sa tire-lire de soudoiement et corruption. Ce qui annonce, malheureusement, que l'arrivée d'un orage sociétal conjugué à la menace terroriste sont sur le point d'éclater dans toutes ses Wilayas recelant bien des mauvaises surprises pour lui.

       Mais, pourquoi un tel degré d'animosité par l'armée et le pouvoir algérien jamais atteint envers le Maroc, qui, lui, est dans l'accomplissement serein et responsable ? Et ce, grâce à sa ligne tracée dont personne ne l’empercherait de mettre sa parole donnée en exécution efficacement partagée dans ses partenariats diversifiés gagnants-gagnants attestant sa force de retour au sein de l'UA. Ce qui corrobore non pas seulement l'existence du décalage dans l’intégration de toutes ces données géopolitiques et stratégiques, par l'agitation fantasmée de certains médias algériens sous botte de l'armée à même d'en arriver à se forcer de justifier la vague d'arrestation inhumaine violente des migrants n'augurant rien de bon pour la stabilité des frontières notamment avec le Maroc qui, lui, ne s'en lasse de faire jouir les migrants des droits humains. Mais aussi, le déni de la réalité sur le terrain jusqu'à privilégier le langage des menaces à l'encontre des chefs d'Etats, et qu'en effet est devenu source de culpabilité du pouvoir boutaflikien partout en Afrique. En cela, n'en pourrait-on voir que c'est la conséquence d'inhibition de l'afflux informationnel pour brouiller les initiatives d'enfumage de s'assurer et de rassurer les tireurs de ficelles de l'axe usurpé Pretoria-Abuja-Alger ? Lequel, à présent est dans le creux de la vague des pactes relégués en attente de les mettre dans la corbeille des oubliettes, car ne tiennent compte ni de l'évolution de l'économie solidaire ni de la prospective participative dans les projets d'envergure avec honnêteté et abnégation et encore moins de la sécurité cultuelle exerçant une influence de lutte acharnée contre le terrorisme. Dont, l'Imam de la mosquée à Abuja dans son prêche de grande richesse référentielle au rite sunnite d'obédience malékite du vendredi 02 Décembre 2016 en présence du Roi Mohamed VI et du président Nigérian Boukhari, en a magistralement fait l'exégèse de ce qu'apporte le Maroc à l'Afrique par les partenariats hautement stratégiques allant dans la tradition de son histoire foisonnante de ses ''Oulémas'' tolérants et solidaires.  A bon entendeur, salut !

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