AUJOURD'HUI, L'ESPAGNE DANS TOUTES SES PROFONDEURS POLITIQUES, SAIT L'INCOMPARABLE PUISSANCE DE NUISANCE DU MAROC ET DE QUOI IL EST CAPABLE.
L'Espagne officielle joue double jeu dans le conflit préfabriqué au Sahara marocain. C'est pour cela, même sachant "qui triche perd", elle considère l'entente stratégique tripartite USA-MAROC-ISRAËL malvenue pour elle. Voyant, de ce fait, son rêve de continuer de narguer le Maroc remis en cause de l'autre côté de l'atlantique. En tout cas, les faits hitoriques la mettent à nu, car, sous Franco agonisant en 1975, elle avait signé scéllé et enregistré à l'ONU l'acte de décolonisation de ce territoire reconnu marocain. D'ailleurs, cette attitude faisait figure de sagesse en rétrocédant sa gestion tutéllaire au Maroc qui, l'ayant de tous les temps revendiqué. Vraiment, l'on peut dire, aujourd'hui l'Espagne a peur du calendrier de la programmation des revendications de Sebta et Melilia. Notamment, sur les menaces contre ses efforts d'organisation de ses diverses ripostes face à l'assurance de plus en plus exprimée de ce voisin du Sud. Pour preuve la circonscription commerciales par les autorités territoriales marocaines autour de ces présides spoliés. En cela, voilà le Maroc en position d'aborder avec calme l'essentiel des secrets des tergiversations espagnoles, ne le touchant aucunement dans ses desseins du tracé de l'avenir, ni le perturbant dans ses prestations diplomatiques pour la reconnaissance onusienne totale de son Sahara.
C'est même là, la subtilité de l'expression diplomatique du nouveau cycle de la vie politique marocaine. Celui, de collection des données stratégiques pour la conception, le pilotage et la projection en perspective d'avenir des projets structurants pour le rayonnement et le développement de Tanger à Lagouira. Mais alors, pourquoi Mme Arancha GONZALÈS LAYA la ministre espagnole des affaires étrangères de l'UE et la coopération s'essaye-t-elle à l'accordéonisme dans ses sorties médiatiques ? Tantôt, à faire l'éloge des relations exemplaires Rabat-Madrid, tantôt, à revenir à la médisance politicienne anti Maroc chaque fois qu'elle se trouve en difficulté. Ne le fait-elle pour noyer le poisson en interne, face au Podèmos et aux diverses expressions séparatistes culturelles et territoriales qui rongent son pays ? Plus précisément, afin d'aboutir au plan d'action commune à l'UE pour narguer ce pays de plus en plus fier de ses succès et, qui dérange. Ce qui, pour elle, répond à faire de sorte à le stopper dans toutes ses envolées économiques et conquètes géopolitiques, en usant d'harcellements et chantages. Sauf que, en a-t-elle les moyens d'influence au sein de l'UE qui sait l'incomparable puissance de nuisance du Maroc ? Évidemment, de ce constat, le Maroc ne doit-il rompre avec sa passivité envers l'Espagne, en lui montrant que la loyauté ne peut être que réciproque. Autrement, dans le cas contraire, ce qu'il est capapble de faire au tourisme ibėrique, à l'armada de pêche hauturière, à la lutte migratoire, au terrorisme. Bref, à la position espagnole en tant que premier partenaire économique du Maroc. À bon suiveur, bon décryptage !
Il fallait piéger le rat ibérique maintenant que c est fait on peut poser nos conditions pour le libérer.auparavant le royaume n avait même pas de cage .maintenant il l a et elle est spacieuse même pour la France si elle préservere dans petits calculs miserables
RépondreSupprimer