jeudi 3 août 2017

AU MAROC, N'EST-CE FINI LA SÉDUCTION-MANIPULATION ÉLECTORALISTE USANT DE POLITIQUE-GADGET JETABLE ?

N'EST-CE PARCE QUE C'EST LA FIN DE LA DICTATURE DES PARTIS POLITIQUES QUI SONT PERÇUS, SEULEMENT COMME UN CURSEUR DE CIBLAGE DES TRANSACTIONS MERCANTILES DIABOLISANT L'IMAGE DE L’ÉTAT-MAROC ?

       Jamais les discours du Roi du Maroc n'avaient fait autant parler dans les chancelleries à l'étranger que celui du 29 Juillet 2017 à l'occasion de la célébration de 18 ans de règne ! Il faut dire qu'il se distingue par l’époustouflante force de sa charge émotionnelle de rédemption de l'image d'un État fort, que le chef du gouvernement Saadeddine Othmani s'efforce à montrer sa disponibilité d'en respecter la rythmique. En plus de celle politique de déclaration de guerre juridictionnelle aux traitres qui usent en interne de la pensée des pensionnaires diviseurs, dont le ministre de la Justice et des libertés Aujar en a laissé filtrer quelques effets locomotive d'assainissement. N'est-ce là où la communauté internationale s'aperçoit que c'est déjà fini le temps de séduction-manipulation électoraliste des partis marocains usant de politique-gadget consommable à merci ? D'ailleurs, depuis plusieurs discours, leur charge politique l'en a bien convaincue que du côté de l’État, pas question de renoncer au choix de la bonne gouvernance ni au processus de démocratisation pour le bien du développement du pays. Tellement, tout le monde croyait que les décideurs allaient enterrer ou faire disparaitre à jamais leurs inutiles et encombrants comportements politiciens de bas niveau avec l'équipe Benkirane ayant porté préjudice à l'avancée ambitieuse du Maroc. Mais, voici, malheureusement que la communauté internationale découvre avec les péripéties du Hirak d'Al Hoceima qu'ils les aient ressuscités, jusqu'à même les rendre presque indispensables à leur survie politique au demeurant paraissant puérilement électrifiée ! Dont clairement le Roi Mohamed VI, a précisé dans son discours que c'est le moment idéal d'y mettre un terme et sortir du populisme électoraliste de fourvoiement jusqu'à la folie de l'illusion de la chimère voire de la traitrise. Et pourtant, n'est-ce ce qu'indique la question que tout le monde se pose en interne et à l'international, par des recherches encadrées par des règles draconiennes à propos de leur contribution à la marche du Maroc vers le progrès la modernité dans la paix et la stabilité ?

       Cependant, par rapport à tout cela, ne devaient-ils alors ces décideurs comprendre, qu’eux-mêmes, ne sont que des produits  préfabriqués et non des vrais politiques révélés pour ne pas botter en touche ? Et ce, parce qu'ils n'ont rien des leaders politiques de la trempe de Abderrahman Youssefi et Feu Mhamed Boucetta habitués de la stature d'hommes d’État respectables et respectés. D'ailleurs, à cet effet, l'essentiel c'est de leur faire reconnaitre leur savoir-faire incontesté avec humilité et responsabilité dans la gestion géopolitique et stratégique des affaires de l’État. En cela, y aura-t-il encore prolongement du suspens pour sévir contre les contrevenants aux mises en chantiers des transformations du visage du pays, lequel ne cesse de maitriser les coups bas selon ses propres moyens en la matière dans le respect de la Constitution du 01 Juillet 2011 ? Même si, ici et là il en déplore l'absence de talents promotionnels de réactivités constructives au sein de certains partis, pour produire les politiques qui plaisent et qui vont de paire avec la vision royale de relever les grands défis. Autant le dire avec clarté, c'est fini leurs montages habituels de leurs rubriques politiciennes, dans lesquelles ils occupent un espace important pour faire suivre leurs pensées perfides par l'exploitation des sous-outillés politiquement parlant. Essentiellement, à chaque étape électorale avant pendant et après, en s'inspirant des planteurs d'idées tendancieuses difficilement censurables voire délectables du fait de la non effectivité des années durant du deuxième paragraphe de l'Article 1 de la Constitution. Tout simplement, ne faut-il casser le morceau de l'inintelligence qui les pousse à préférer leur égocentrisme à l'utilité publique, afin qu'elle ne reste omniprésente dans les esprits de ces sous-outillés, comme s'il s'agit d'une arborescence de fabrication de rêve enfoui qui les concerne. Particulièrement, pour en tirer par la suite profit politique de facilitation de la construction de leur style qui relève des formatages étrangers générant ainsi une dynamique de la transmission cultuelle d'un autre référentiel de surcroit facteur de déstabilisation.

       C'est vrai jusque-là le Maroc est le pays africain incontestable en matière des grandes avancées sociales, dont il ne faut pas voir que son essor économique écologique et politique pourrait être menacé par les attaques de ses ennemis de l'extérieur et de l'intérieur. D'ailleurs, n'est-ce cela qui montre son vrai atout de véritable combattant contre les tricheurs fossoyeurs, les rancuniers débiles et les jaloux largués à tout point de vue, lesquels à ce jour n'ayant trouvé pour le concurrencer aucune occasion pour avoir davantage de place ni sur le podium africain ni dans le concert mondial onusien ? Et c'est là que la communauté internationale porte son intérêt particulier à ce discours mémorable, au fait qu'il soit censé répondre au besoin de la rationalisation de gouvernance. Suscitant dans la maison État-Maroc plus d'espoir de s'éloigner de la plateforme de production de la polémique stérile de certains décideurs et chefs de partis ne faisant à vrai dire que conjuguer leur traitrise d'où l'on sent leur débandade actuelle. Car, de fait, entrevoyant d'abord les portes des couloirs institutionnels essentiellement judiciaires se rétrécir sinon se fermer devant eux, puis le commencement de reddition des comptes sentant un peu la térébenthine ou la naphtaline. Du fait qu'ils y étaient beaucoup plus investis par leur versatilité d'offenses vis-à-vis de leur propre pays, sans apport d'aucun soutien à ses combats dans l'arène internationale. Au contraire, ne faisant que dans la triche à tire larigot plus versée dans l'art des mensonges et contrevérités au dépend de ses intérêts géopolitiques et stratégiques dont il faut qu'ils en rendent des comptes.

       Hélas, et c'est là où le bât blesse, pourquoi après presque une semaine de ce discours du 29 Juillet 2017, ils commencent déjà à oublier les promesses qu'il contient ? A même de s’être accommodés vite de se sentir ni visés ni coupables, en se faisant passer encore pour les interagissants témoins qui apportent leur point de vue sur ce qu'il faudrait faire. Un non sens politique qui informe sur le marketing de leur formatage d'un temps révolu, ne sachant que les marocains ont un regard distant sur eux du fait qu'ils ne bousculent plus leur curiosités. C'est même cette confiance démesurée pour certains d'entre eux qui choque et qui trouble le plus, alors qu'il aurait fallu qu'ils se taisent et chasser leurs pensées négatives porteuses de trahison de leur serment devant Dieu Al Wattan Al Malik. Dont les observateurs avertis commencent à s'interroger, est-ce que la machine judiciaire va-t-elle sitôt dépasser les nouveaux bobards concernant ceux impliqués d'avoir outrepassé leurs obligations par leur jeu politicien mesquin et les mettre face à leur responsabilité ? Sous prétexte à inventer au cas par cas des circonstances atténuantes pour qu'ils puissent s'en sortir, en se libérant de leur remord face à l'excitation des marocains gênés de leur besoin de montrer qu'ils ont plusieurs cordes en leurs mains. Et bien que les choses soient claires, même si la politique est un peu tout cela, sorte d'effet surprise dans un moment donné, n'est-ce pas il ne serait compréhensible pour les marocains que les affaires de traitrise soient classées voire étouffées ? A bon entendeur, salut !

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