samedi 12 août 2017

AH, CES POLITIQUES ET DÉCIDEURS ADMINISTRATIFS QUI VEULENT A TOUT PRIX DEVENIR L’OBSESSION DE LEUR ENTOURAGE ET DE L’ÉTAT !

APRÈS LA COLÈRE DU ROI AU CONSEIL DES MINISTRES DU 25 JUIN 2017 ET LE CHOC DE SON DISCOURS D'AID AL AARCH DU 29 JUILLET SUIVANT, N'EST-CE DÉJÀ L'HEURE DE LA FOUDRE QUI S'APPROCHE POUR S'ABATTRE SUR EUX COMME UNE BOULE DE FEU BRULANTE ?

       La rentrée politique 2017 ne se prépare-t-elle déjà pour réinventer le nouveau temps de la grandeur du Maroc, par un changement profond dans le fonctionnement de l’État ? Loin de l’entrelacement de la fascination qu'ont certains faiblards, pour ceux des politiques qui cherchent à avoir le beurre et l'argent du beurre sans avoir atteints le quotient de droiture probité et même sérénité. Et aussi loin de l'imaginaire des autres encore plus sophistiqués, donnant libre cour à l'appropriation de leur savoir mensonger comme ingrédient d'ouverture vers la tromperie politique à l'avantage des ennemis du Maroc. A cet égard, le Roi Mohamed VI dans son dernier discours du 29 Juillet 2017 n'a-t-il piqué droit sur ces illusionnistes de la chimère, avec une dextérité de ciblage inouï pour ne les laisser continuer à décocher leurs lances vénéneuses dans la société marocaine ? N'est-ce pour cela, déjà, l'on perçoit les prémices de l'emballement de la machine judiciaire qui va faire la lumière non seulement sur les retards d'exécution du programme ambitieux ''Al Hoceima Manarate Al Moutawassite'' que la commission mixte d’enquête apparemment l'aurait déjà présentée à qui de droit ? Mais, aussi pour faire le tri des informations reçues ici et là sur d'autres négligences et à les recenser pour enfin les déstructurer par l'effet de la foudre qui s'approche comme une boule de feu brulante. Et ce, pour mettre l’État en orbite de fonctionnalité normale afin de ne plus faire partie de la liste dictée de l'étranger en tant que pays à déstabiliser coute que coute. Dont, l'objectif est prioritairement qu'il soit loin des cycles de tensions entre partis politiques en interne. Et, aussi hors portée des flux perfides de l'Algérie et ses soutiens résiduels en Afrique, s'ajoutant à ceux de certaines franges franquistes espagnoles qui sont restées dans leur reconfiguration des relations hispano-marocaines à l'ancienne. De surcroit,  au demeurant conjuguées des sournoiseries de Podémos et autres lobbys européens à l'encontre de l’intégrité territoriale nationale et pas seulement. Car, ne sachant où plutôt n'acceptant que le Maroc ait plus de flèches dans son arc préparant son futur serein. En plus, ayant toutes les options en main de son nouvel déterminisme et rythme politique compatibles avec la chronologie du Brexit dont Gibraltar et les présides spoliés de Ceuta et Melilia feront conséquemment partie.

       En définitive, n'est-ce toujours en été, par orage violent, que la foudre frappe plus volontiers...et pas uniquement les arbres ? Comme ça, cette année, certes il s'agit de cela que les marocains attendent avec gravité pour trouver des solutions rapides et efficace, et ce, au grand désespoir des ennemis ne tolérant les voir passer de victoire en victoire à l'international. Dont, plus de 100 décideurs connus dans la balance décisionnelle politique et administrative en pâtiraient, certainement, de son choc et ses effets qui laisseront sans doute de graves séquelles au sein des partis politiques et leurs associations affiliées. Évidemment, par ce constat, au Maroc de 2017, n'est-ce finie l'époque où les politiques pensaient que leur engagement est une nécessité à leur développement louant son rôle prépondérant dans leur équilibre pour l’acquisition de statut social avancé ? Aussi, aujourd'hui, par les temps qui courent, savent-ils que cet engagement ne leur donne l'occasion de se libérer des tensions de la vie politique publique, ni de ne valoriser ce qui a été négligé et encore moins dédramatiser ce qui a été exagéré ? En l'occurrence, n'est-ce une autre paire de manche qui s'ouvre, surtout, quand on sait que dans l'esprit des ministres privés cette année de vacances, comme aussi chez les autres fautifs par leurs imprudences et tartufferies sur les différences des partis politiques, des idées leur pourrissent la vie ? D'ailleurs, certains parmi eux, sans avoir l'envergure ont voulu à tout prix devenir l'obsession de leur entourage et de l’État, tellement ils se sont trouvés eux aussi entrain de scruter avec la peur au ventre les moindres phrases et gestes venant par ci par là. Surtout, pour l'un d'eux, qu'au demeurant il continue à gesticuler par amertume de son égocentrisme voire égoïsme, rien que pour essayer de se protéger des conséquences de son passage aux affaires de l’État en rupture avec la bonne gouvernance. 

       A l'évidence, après l'adoption référendaire de la Constitution du 01 Juillet 2011, le Roi en a par respect à l'esprit de celle-ci choisi le chef du parti arrivé en tête, espérant qu'il soit  le PDP ( Potentiel Différentiel Politique ) pour assurer la meilleure gouvernance avec une majorité confortable. Sauf que, très vite, tout le monde s'est aperçu qu'il n'avait pas l'envergure des prédécesseurs premiers ministres, et qu'il ne partage rien avec eux en matière de la conception et la perspective d'un Maroc fort dynamique entreprenant et responsable. Parce que, alors qu'il est le chef de l'Exécutif avec des compétences et prérogatives que n'avaient pas les autres, il n'a fait que se transformer en opposant évasif brouillon sans cap ni sens politique clair. Tellement, cinq ans après, il a continué à aimer cette posture ne se sentant ni mal à l'aise dans ses nombreux propos border-line ni en contradiction avec sa fonction en tant que chef de gouvernement reconduit comme deuxième personnage de État. A même d'avoir récidivé dans ses sautillements donquichottesques après les dernières élections législatives en essayant de former un gouvernement à sa folie possessive de mener tout le monde à la baguette. En plus, ne sachant qu'une législature dure cinq ans si tout va bien, que par ailleurs c'est un temps suffisant à la construction d'une bonne gouvernance sans dysfonctionnement dans la production politique. Chose qu'il n'est pas arrivé à atteindre ni dans le développement de l'efficacité d'action de l'Exécutif ni dans la mise de l'effectivité constitutionnelle et encore moins dans le fonctionnement de certains ministères. Où, il y avait pas uniquement dérèglement flagrant par méconnaissance des responsabilités, mais par suite de jeu politicien dangereux. De quoi, il est maintenant opportun, de les pousser à la réflexion à travers les dégâts sociaux économiques, voire périls sociétaux comme à Al Hoceima qu'ils ont causé. Car, probablement éventuellement, quelques uns de ces décideurs seraient pris entre les rouleaux chauffants de la justice pour manquement au devoir si ce n'est pour traitrise d'avoir laissé les intérêts des citoyens presque en jachère pour raisons de mesquineries politiciennes dans leur stratégie globale de paraitre les sauveurs du pouvoir.

       Néanmoins, n'est-ce comme ça, l'on peut dire, aujourd'hui il est loin le temps avec leurs sourires à la commissure des lèvres dont ils narguaient tout le monde, ne sachant qu'il y a levée de voile d'expressions critiques et suggestions à propos de leur irresponsabilités et extravagances désormais établies ? D'autant plus, tout le monde sait que d'autres sans aucune représentativité notable, se sont décidés à réorganiser leur vie politique autour de l'égo de ce chef des nuls. D'où, sans le prévoir l'irruption des théories des ennemis du Maroc allait bouleverser ses projets demeurés tus du moment qu'il y avait cru dur comme fer après son annonce rocambolesque des résultats des législatives du 07 Octobre 2016 s'étant vu en position de squatter l'Exécutif pour encore cinq ans. Mais, voilà que les choses n'ont pas pris la tournure qu'il voulait, surtout en se voyant incapable de s'en sortir du dédain psychologique du fait d'un détail qui a troublé même ses inconditionnels. D'ailleurs, n'est-ce ce qui l'a mené droit vers la chambre d'isolement, dont force est de constater qu'il a plongé dans la méditation de ses intrigues même après son retour de la ''Omra''. Se refusant aujourd'hui d'admettre que son temps politique est définitivement consumé, au point que les marocains disent ''Merci Majesté'' pour le merveilleux discours d'Aid Al Aarch 2017, presque une sentence de ne plus laisser les illusionnistes vendeurs de thèses-chimères se promener entre les institutions. Un bon point pour l'image du Maroc dans l’échelle des cotations onusiennes, comme État fort démocratique et responsable stimulant et régénérant l'espoir par ce grand toilettage de rester absolument debout impossible à mettre à genou ni à vaincre. 

       En revanche, autant le réaffirmer avec assurance, que les ennemis se gardent de croire que la tolérance de l’État-Maroc n'est que symbole d'incertitude dans ses raisonnements, de caprice dans ses volontés d'aller de l'avant et de froideur dans ses désirs de construction de son avenir... En un mot, c'est l’échec assuré pour eux ! En voulant ainsi franchir ces dénivellations, et d'où ils compteraient le contrer diplomatiquement à l'international. Même si, il faut le rappeler, ils donneraient n'importe quoi pour ne se laisser phagocyter par les suspicions autour d'eux en tant que relais du terrorisme. Si ce n'est carrément pour éviter leur mise dans la corbeille des pays largués économiquement et politiquement, car ne comptent plus à l'ONU mais restant à surveiller de près. N'est-ce là, la nouvelle gamme d'intervention directe du Roi du Maroc, afin de suppléer par des partenariats gagnants-gagnants sud-sud à toutes les carences et les extravagances enregistrées aux tableaux des commandes de certains chefs de partis politiques ? Du fait, peut-être, sans le savoir ils ont joué la partition des ennemis, et dont la commission des experts sous direction de Mounia Boucetta la Secrétaire d’État auprès du Ministre des Affaires Étrangère et de la Coopération n'ayant voulu décevoir a aussi fouiné partout pour montrer s'il y a des négligences ou sapes envers la solidarité avec l'Afrique. A bon suiveur, bonne lecture !

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