mercredi 30 août 2017

DEPUIS TOUJOURS, LE MAROC GAGNE FACE AUX MENACES QUI PÈSENT SUR TOUTES SES VICTOIRES !

ET POURTANT, POURQUOI CHERCHE-T-ON EN INTERNE COMME EN EXTERNE A VOULOIR LUI IMPOSER CETTE PARALYSIE DE LA CONFIANCE ET DE LA LUCIDITÉ AUX CONSÉQUENCES SUR LA GOUVERNANCE EN AFRIQUE ?

       Pendant des années, le Maroc ce pays reconnu stable, a mené sa destinée loin des scandales des rumeurs et des répliques à des publications pernicieuses sur des situations non envieuses touchant à sa mémoire civilisationnelle et politique. Contrairement à aujourd'hui où c'est le temps de la défiance, par la fabrication des cycles des mensonges à son endroit, s'ajoutant aux manifestations et mobilisations des populations sur commandes des professionnels agitateurs.  Autant dire que c'est fait par narcissisme de séduction des sous-outillés politiquement parlant, une sorte de nouveau culte-énumération des soi-disant faiblesses de l’État. Dont, ces manipulateurs excellent pour le fragiliser et le rendre une proie facile à phagocyter diplomatiquement. En d'autres termes, ils cherchent à rendre dénudés les piliers et fondamentaux de la monarchie constitutionnelle plébiscitée à 99 % par les marocains par voie référendaire du 01 Juillet 2011. Ainsi, pour eux, il ne s'agit pas seulement du moment de la grande rupture avec les modèles de gouvernance classiques désormais périmés, mais de faire payer au plus fort aux marocains leur inconditionnalité d'amour à la Royauté. Sans savoir, que leur jeu politique n'en vaut pas la chandelle auprès de ce grand peuple précieux et agréable et qui n'acceptera jamais qu'on l'achète qu'on l'humilie et qu'on le méprise. Par conséquent, le Maroc n'a donc de choix que s'approprier de nouvelles stratégies d'attaque avec fureur et vigueur comme représailles massives sur tous les plans envers eux. Et tant pis de passer pour un pays va-t-en guerre, car c'est ce qu'il faudra faire ! 

       D'ailleurs, il faut arrêter de penser qu'un jour les tireurs des ficelles à l'international cesseront d'en dissuader les ennemis irréductibles de produire l'escalade où ils auront les premiers rôles. D'autant qu'aussi, de ce point de vue, qu'on ne le veuille ou pas, le Maroc veut exister par ses propres moyens dans la compétition géopolitique et stratégique en Afrique. Et, de fait, ne pas être absent de l’Histoire avec grand H de la reconstruction de l'avenir de l'UA, dont c'est elle qui fut la pierre angulaire du discours royal du 20 Aout à l'occasion du soixante quatrième anniversaire de la révolution du Roi et du Peuple. Ce discours qui a résonné, primo comme un rappel des fondements de l'approche marocaine en Afrique, secundo comme un tremblement pour les ennemis déclarés tels l'Algérie l'Afrique du Sud le Zimbabwe le Mozambique l'Angola la Namibie le Kenya, en plus d'autres compétiteurs politico-économiques à l'exemple de la Tunisie l’Égypte et le Nigeria. Néanmoins, à ce propos, ce qui importe pour le Maroc de 2017, c'est une dédicace hautement symbolique aux pays amis ayant marqué par leur constance auprès du Maroc le CCG du moins ce qu'il en reste les USA la Chine la France l'Inde la Russie la Turquie  et Israël. Et ce, pour le meilleur et le plus intéressant soutien vivace et décisif, corroborant de la sorte, ce qui se passait dès l'indépendance en 1956, où tout lui a souri dans le monde de la trilogie MTP (Marketing-Tendance-Politique) en ayant mis les bouchées doubles dans la construction de l’État-Maroc moderne. Tellement, le Peuple la Royauté et l’Élite de l'époque étaient en phase incarnant l'épopée politique du début des années 60, et ce, malgré que la problématique des ambitions en 1963 ait pris l'ascendant. Mettant par la suite le multipartisme en souffrance intrinsèque, ce qui avait abouti, hélas, à l'état d'exception et en même temps au complotisme des putschistes. Évidemment, aujourd'hui, le Maroc est heureux de ce qui a été fait depuis 1975, passant par des péripéties multiples avec des hauts et des bas jusqu'à l’avènement du règne Mohamed VI en 1999 à ce jour soixante quatre ans après la révolution du Roi et du peuple. 

       Certes, en ce temps présent de la communication tous azimuts, la politique parait si dure qu'il faut avoir beaucoup d’énergie pour s'imposer sans oublier qu'il y a des pays africains qui comptent le plus en ayant chacun leur valeur diplomatique. Aussi, pas question de triomphalisme après le retour gagnant à l'UA ! Au vu que l'histoire le montre, même si ce fut fait dans des conditions presque guerrières contre les ennemis irréductibles de l'extérieur, qu'au demeurant, de surcroit, sont toujours mal informés de ce que c'est véritablement le Maroc de 2017. Oui, ce fut un choix géopolitique de hauteur de vue, même si, certains politiques affabulateurs illusionnistes l'auraient vu à tort comme saignée aux quatre veines du Maroc pour l'Afrique. Ne sachant, par ailleurs, qu'il s'agisse d'une réelle satisfaction géostratégique de voir la majorité des pays africains si bien réussir leurs partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal avec lui. En effet,  ces récalcitrants ingrats-ignorants de l'Histoire, encore heureux peu nombreux sur l'échiquier mondial, ils sont maintenant dévorés en interne par leur propre logique d'essais itératifs de déstabilisation du Maroc sans résultats probants. En plus, surtout, sans savoir ce qu'ils leur ont coutés socialement économiquement et financièrement leurs cycles de folies desquels ils bravaient le bon sens pour certains et le bon voisinage pour d'autres. Et d'ailleurs, même avec ça, on ne peut pas dire que le Maroc n'a pas manqué d'indulgence à leur égard, surtout vis-à-vis du pouvoir algérien lui accordant à maintes reprises plus de circonstances atténuantes. D'où, conséquemment, il lui pardonnait ses écarts de langage ses gesticulations d'animosité et ses erreurs d'appréciation diplomatique pour qu'il puisse se remettre en cause. Sauf que, n'est-ce là un comportement qui n'a plus raison d’être ! Et tant pis, si en disant cela ça fera vaciller le mythe de ce que ce pouvoir représentait aux années 60-70 pour beaucoup d'africains. Mais, est-ce bien la même Algérie ? En tout cas, toute l'Afrique désormais est dans le doute la considérant profondément très seule, et, surtout paranoïaque. N'est-ce parce qu'elle n'était pas faite pour jouer le rôle de locomotive tout en vivant dans le passé ?    

       Il est évident, quand cette semaine Jeune Afrique a choisi brusquement d'inoculer son venin par une couverture à la façon pancarte, on ne peut pas dire que ce n'est nullement scandaleux. D'autant plus que pour les observateurs avertis et analystes chevronnés, c'est fait pour fêler la carapace des résistances des marocains médusés face aux événements gravissimes de Barcelone et d'en disposer de leur bon vouloir de lutte anti terroriste en le changeant voire le transformant en illusions. Preuve en est ce soutien malicieux de ce magazine aux ennemis enragés du Maroc, dont des renégats en ont profité pour envahir les salles de rédaction et plateaux de télévisions satellitaires afin de balafrer son image jusqu'à même l'injurier. Alors aujourd'hui, même si l'on a payé cher sur le moment cette incartade journaleuse, ne faut-il décanter et y voir de près le rythme où vont les choses pour se rassurer ? Car, ils ont perdu voyant même la torpille que Jeune Afrique avait lancé sur orbite médiatique leur revenir en pleine gueule, en plus d'une manière fracassante que le ministre de l'Intérieur espagnol n'en a pas laissé l'occasion de le démontrer depuis Rabat. Puisque, maintenant c'est clair, ça n'implique ni hiérarchie étatique sécuritaire côté marocain, ni pulsion de vengeance sur quoi que ce soit dans ce drame espagnol comme le colportent ces enragés anti Maroc. Mais, simplement que le Maroc a fait un tabac montrant qu'il s'agisse du laxisme catalan ayant abouti à l'exécution de la menace par la passion qu'ont les enfants de troisième et quatrième générations des immigrés pour Daech et autres groupes islamistes terroristes.

       Et maintenant, pour ces ennemis pourquoi c'est tout ou rien ? N'est-ce du fait qu'encore ils n'ont pas réussi à débrider les conférences et rencontres à l'international pour les rendre à leur avantage ? Ont-ils déjà oublié ce qui leur est arrivé au Mozambique à Maputo au Sommet Japon-Afrique, dont ils n'ont pu mettre le Maroc dans l'impasse diplomatique ? Un fait gravissime sans précédent, de surcroit inacceptable car ça nuit à la sécurité des participants, en plus ça pourrait faciliter la mise de l'Afrique à la portée des manœuvriers terroristes. A cet égard, la question qui taraude le plus, comment vont-ils les ennemis du Maroc après leurs défaites successives cuisantes sur beaucoup de terrains ? Continueront-ils à vibrer de jalousie morbide, même sachant que cela risquerait de les anéantir un jour en tant que pays voyous ? D'ailleurs, pourquoi n'ont-ils pas compris, si le Maroc est encore en pleine rédemption africaine, c'est que la providence a peut-être quelque chose à lui faire faire pour le bien de l'Afrique, comme du temps de la préparation de création de l'OUA à Casablanca avec  Mohamed V et les grands ténors africains de l'époque ?  Parce que frôler la solitude et l'isolement par suite à la politique de la chaise vide au sein de l'UA, l'a amené à avoir une autre vision de changer le paradygme de ne plus sacrifier ses intérêts géopolitiques et stratégiques, notamment face aux menaces qui pèsent sur toutes ses victoires. A bon entendeur, salut ! 

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