mardi 18 juillet 2017

PERSONNE NI DE L’INTÉRIEUR NI DE L’ÉTRANGER NE POURRA FAIRE PERDRE LE STATUT GÉOPOLITIQUE DU MAROC.

N'EST-CE LA L'ACCOMPLISSEMENT DE LA MARCHE AUDACIEUSE ET INTRANSIGEANTE DU MAROC AU PROFIT DE L'AFRIQUE DE PLUS EN PLUS EXIGEANTE EN MATIÈRE DE CRÉDIBILITÉ DIPLOMATIQUE  ?

       Le Maroc depuis son retrait de l'OUA à Nairobi 1984, passant ensuite par la longue période de non rectification de l'injustice de 1995 à son vis-à-vis jusqu'à son retour triomphal au sein de l'UA le 29-30 Janvier 2017, toute la Communnauté Internationale l'a bien vu prendre la défense de l'Afrique avec fougue réalisme et méthode. Même si, il faut le rappeler sans gêne, à Hambourg au G20 en Allemagne du 7-8 Juillet dernier ce  fut décevant pour toutes les attentes africaines, quelles soient sociales économiques écologiques et sécuritaires de lutte contre le terrorisme. D'ailleurs, de ce point de vue, plus le relâchement du G20 vis-à-vis de l'Afrique est grand, plus s'installeront des complicités immondes entre les manipulateurs-chuchoteurs des perfidies tirant vers sa déstabilisation. Ainsi, de fait, c'est maintenant confirmé par la preuve, il y a un moment où trop c'est trop ! Et donc aujourd'hui on a envie de dire, le Maroc se montre un assez brillant pays parmi les quatre en Afrique pour la tracter car tendant vers l’émergence avec le Botswana Maurice et Éthiopie. N'est-ce là où l'on voit se dessiner une corrélation entre la courbe de son destin tracé et le balisage du nouveau contrat marqué de réalisme dans le fonctionnement futur de la machine de l'Exécutif ? N'est-ce là l'accomplissement de sa marche audacieuse et intransigeante en Afrique, malgré les quelques freinages induits en interne ? En plus des brouillages en externe qui s'en prennent au mode de sa grille d'expression de ses initiatives géopolitiques desquelles il joue un rôle essentiel dans l'innovation en positionnement gravitationnel autour de l'idéal africain.

       En quelque sorte, ne s'agit-il d'éviter les essais de simulation de mise du Maroc en situation institutionnelle précaire, d'où, sa vigilance corrobore le tournant décisif dans toutes ses activités extraterritoriales diplomatiques ? Et ce, en résonance complète avec bonne visibilité géopolitique et géostratégique dans toute l'Afrique, sans avoir du mal à se convaincre de l'inutilité des malveillants. Parce que, d'autant plus, lui, il le fait sans être naïf sur l'évitement de la recension historique fastidieuse qui rebute par l'uniformité la légèreté et la répétition des machineries de ses ennemis résiduels. Notamment, les services de renseignement de l'Armée algérienne qu'au demeurant sont convaincus que le Maroc a gagné en puissance décisionnelle indépendante. Usant de développement de partenariats gagnants-gagnants qui s'ajoutent à l'esprit d'entraide et au strict respect des souverainetés de tous les pays africains reconnus à l'ONU. D'ailleurs, n'est-ce même incroyable de toujours voir ce pouvoir algérien continuer à se raconter des histoires, alors qu'il est en déliquescence n'ayant plus d'aura ni régionale ni continentale ni internationale ? Dont le résultat est sidérant, de par son crépuscule politique déjà engagé, et/où, tout se défait autour de lui et son rejeton Polisario dans toute la région MENA-Sahel subsaharienne africaine et pas seulement. Malgré qu'il se targue de l'activisme de ses représentants dans les couloirs et les antichambres de l'UA l'UE et l'ONU, lesquels se montrant fort affairés à dépenser sans compter la rente pétrolière-gazière dans le but de satisfaire les caprices des lobbys anti Maroc. 

       Néanmoins, pour être plus complet, n'est-ce ceci qui montre que dans ce monde de plus en plus corrompu, le Maroc a pris soin de définir les intervalles de confiance de sa politique d'optimisation diplomatique ? Enregistrant ainsi une belle et vertigineuse progression dans l’échelle des cotations onusiennes, car, fonctionnant à merveille après son retour à l'UA sur le mode d'un rythme de travail continu équilibré portant la caution royale. Sans fâcher, ni avec haine les irréductibles ennemis déclarés arrogants au vu de leurs tricheries caractérisées comme l'Algérie l'Afrique du Sud et le Zimbabwe, ni par mépris les soi-disant encore hésitants-imparfaits qu'en effet sont en marche de faire le bon pas à l'exemple de l'Angola. A ce tire, il faut le reconnaitre, le Maroc n'a-t-il réussi à déstructurer le fer-barbelet de la pénétration stratifiée des idéologies contradictoires de tous ses ennemis qui s'essayent à le faire taire ? Et dont, objectivement ne faut-il regarder si l'affaiblissement des intellectuels en est pour quelque chose ? En particulier dans les postures, des uns allant jusqu'à l'illusion d'autosatisfaction alors que les autres jusqu'à la reconversion à l'autoflagellation inquiétante. Tout simplement, en perçant le secret de leur retrait de l'arène politique, par l'identification des similitudes positivistes et contournement des différences négativistes rien que pour pour le bien du pays. 

       A l'évidence, faut-il le rappeler sans détours, assez donc des décideurs gouvernementaux ou autres qui parlent beaucoup sans rien faire de concret en matière de perspective d'avenir social apaisé et sociétal juste ! Dès lors qu'en dehors de la diplomatie sous coupole royale de l'avis des observateurs, coup sur coup, c'est le grand écart dans la praticabilité de gouvernance qui n'est plus tenable, car usant de faux-timing, d'inutile cadrage sociétal et mauvaise approche de fonctionnalité. Alors même que le Maroc, vit presque en direct un changement du cours de son histoire avec le Hirak d'Al Hoceima dont, bizarrement, on en a décelé chez certains un genre de comportement d'huissiers qui surgissent dans le tumulte pour faire la constatation de non atteinte physique de personnes retenues judiciairement alors que ça fait partie des compétences des médecins. Tellement aujourd'hui, l’État-Maroc, que ça plaise ou non, est obligé de renforcer les mesures de lutte contre toutes les dépravations et ne plus se laisser aller aux convenances d'autrefois. En cela, sa victoire symbolique dans sa marche vers la démocratie n'est-elle vraiment là ? Sans se mettre en colère mais seulement en respectant l'esprit du discours royal de Dakar du 06 Novembre 2016, qui en a appelé subliminalement à la suspension en interne des imitations qui existaient depuis longtemps au profit des pasticheurs avérés, des corrompus notoires, des tenants du centralisme, des putschistes en puissance et des voleurs d'élections. 

       Et oui, même si le Maroc se fait perturber dans sa feuille de route il n'en demeure pas moins que jamais il se verra taire le moindre de ses désirs d'avenir pour la prospérité dans la paix et la responsabilité. En cela, personne ni de l'intérieur ni de l'étranger ne pourra faire perdre son statut géopolitique, sachant Sa Majesté le Roi est précieux pour la composition de sa nouvelle partition diplomatique de haute performance, et d'où il montre qu'il se refuse à céder à la pénétration des idéologies mettant en cause tout ce qui a été fait. Au point que le peuple, lui aussi, doit chaque jour être réceptif et réactif même étant dans l'attente du grand changement qui s'annonce imminent. Et dont on voit les visages de certains décideurs paraissant fermés sinon tristes, car à l'inquiétude du lendemain s'ajoute la peur de la mise à disposition de la justice. Une sorte de conséquence logique de remettre les pendules à l'heure du châtiment politico-administratif équitable, à propos du non respect des engagements pris après l’éclatement de l'affaire ''Al Hoceima Manarate Al Moutawassit''. Comme ça, l'on peut dire près de 6 ans de pjdisme débridé sont désormais sur le grill, tellement, jour après jour il n'est plus reconnaissable par ses certitudes d'antan. De ce fait, tant que le gouvernement actuel n'aura pas fait amende honorable, il lui sera difficile de démontrer qu'il ne s'apparente plutôt à celui de Benkirane II qui a fini dans l'impasse. Néanmoins, ne doit-il se refuser de continuer son jeu politicien qui au fil de ses premiers 100 jours a pris l'aspect d'un labyrinthe avec ses contrariétés communicationnelles et ses rivalités couteuses en influence de radicalisme politique ? Et aussi, conséquemment, ne plus se borner à se donner en spectacle désolant au vu de son déni de la dérision provoquée par certains de ses membres, dont on ne sait s'ils sont victimes de la méchanceté du destin ou de l'absurdité d'indisponibilité à faire le suivi correct des chantiers ouverts par leur soin. A bon entendeur, salut ! 

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