mardi 4 juillet 2017

APRÈS LA COLÈRE ROYALE DU 25 JUIN 2017 VIS-A-VIS DU GOUVERNEMENT, NUL CONFISCATION DU CHANGEMENT DÉSIRÉ NE PEUT ÊTRE ACCEPTÉE !

CELA NE VOUDRAIT-IL DIRE, EMPRUNTER UNE NOUVELLE APPROCHE POUR BÂTIR UNE VRAIE EXCELLENCE DANS LA GOUVERNANCE ET DE METTRE FIN A L'ADDICTION DES PORTEURS DE HAINE QUI EN VEULENT A LEUR PROPRE PAYS ?   

       Alors qu'aucun pays ne recoure par gaité de cœur à l'utilisation de la force pour contenir l'agitation des casseurs lors des manifestations, il est difficile d'admettre qu'aujourd'hui le Maroc traverse des moments d'où son image à l'international risquerait de s'écorner. Surtout s'il n'y a pas un électrochoc positif contributif pour donner de la visibilité à l'action publique et à sa réorientation vers plus de façonnage et réveil des consciences pour la meilleure gouvernance. En réponse constructive d'évitement de l'addiction  à la haine pour qu'elle ne se propage davantage, conséquemment, aux manipulations in-situ des usurpateurs-receleurs du ''Hirak'' d'Al Hoceima dans le Rif. Lesquels, par ailleurs, par leur pratique d'épandage d'informations border-line et faux secrets pour raison facile à deviner, ils ne tranchent avec la dramatisation du contexte car cherchent toujours à rester dans l'opacité logorrhéique trompeuse. Aussi, face à ce jeu perturbateur du fil conducteur pour trouver des solutions à l'impasse du ''Hirak'', ne faudrait-il s'assurer que la cohésion sociétale ne se déchire encore plus à cause de l'opportunisme lamentable de certains politiques hommes et femmes sans foi ? N'usant, malheureusement, que de fausses promesses dont la base était déjà entamée voire phagocytée, crise de confiance oblige, depuis la fronde du M20F en 2011 lors de la soi-disant soufflerie arabo-amazighe.

       Néanmoins, à ce propos, même si c'est mal compris par ces insoumis qui sont dans le déni à tout vent, la question qui taraude les observateurs avertis du champ politique marocain, n'est-elle, comment trouver la solution adéquate pour en sortir de la chienlit désormais pointant son nez au Rif ? En quelque sorte, un autre passage institutionnel pour ressortir du bon coté constitutionnel, par un vrai rythme politique d'un État encore plus fort, de surcroit respecté et respectable dans sa ligne de mise en effectivité du développement à marche forcée par le programme ambitieux ''Al Hoceima Manarate Al Moutawassite''. Parce que, faut-il le rappeler, il n'a nullement de choix que de s'accrocher à la force de réalisation de ce chantier grandiose de vision politique publique par l'innovation et l'instauration de plus de démocratie. Non seulement par la création des conditions de plus d'unité à sa juste valeur sans exclusion ni rejet de quiconque, mais aussi sans prise de risque de tomber dans l'aventure dangereuse de tout faire capoter. Alors même qu'il sait, les ennemis de l'extérieur ne cessent de lui tendre des pièges ici et là, en cherchant de s'accaparer les doléances légitimes des habitants afin de pouvoir en attiser le Hirak et le rendre plus étouffant via l'aide des vendus et renégats. Comme quoi, c'est d'une réorientation vers la production des richesses locales matérielles et immatérielles dans tous les secteurs dont il s'agit. Notamment, en se basant sur les transformations des approches d'usage de l’éventail des moyens dans le social la culture l'éducation le tourisme l'habitat le Numérique la transition énergétique et la recherche en agroalimentaire et pêche maritime.

       En cela, pour confirmer ce désir de changer de braquet, d'approche et de méthodologie dépassant la partisanerie ridicule qui hante encore et toujours les institutions, ne faudrait-il pour le gouvernement sortir de ses contradictions hilarantes ? D'ailleurs, n'en a-t-on pas vu par le ton candide du chef du gouvernement dans sa prestation sur Aloula et 2M, se demandant lui-même ne pas savoir pourquoi le Hirak ne s'estampe pas ? Évidemment, par ce constat, même prenant un teint de quelqu'un d'apeuré, n'a-il répondu aux journalistes par une série de petits grognements discrets pour ne pas dire distraits, dans le but de marquer sa désapprobation de n'avoir plus envie d'entendre de questions sur le Hirak ? Parce que, intimidé qu'il fut il ne sut quoi dire, étant hardi et maladroit même en semblant reconnaitre explicitement la légitimité des revendications jetant les manifestants dans la rue en faisant accuser le coup au gouvernement de sa gestion calamiteuse. Pourtant, ces journalistes qui ne sont pas nés de la dernière fournée, pourquoi l'observaient-ils faire ce genre de réponses sans oser le contredire dans ses usages étroits de langue de bois ? Tellement, ils ont donné l'impression de ne s'en apercevoir qu'ils le suivaient sans beaucoup d’intérêt, presque en s'excusant de ne l'interpeler sur les grandes choses verticales qui devaient être la base de l'action du gouvernement.

        Cependant, autant le redire sans ambages, le Maroc n'est pas et ne sera jamais un pays facile à bousculer ni de l'intérieur ni de l'extérieur. Car, à chaque fois qu'on cherche à le prendre en tenaille par une quelconque nouvelle forme expressive de la discorde touchant à son unité et unicité, il réagit par de réelles avancées dans sa marche courageuse en donnant la preuve du renforcement coordonné de sa lutte contre ces malveillances et essais sordides. Comme ce qu'il montre aujourd'hui via sa retenue équilibrée et maitrise de son sang froid, face à la soi-disant résistance certes invraisemblablement visible des quelques insoumis, la partageant presque minute par minute sur le Net et les réseaux sociaux. D'ailleurs, n'est-ce là le nœud de l'affaire de ces surexcités du ''Hirak'' à Al Hoceima dans le Rif marocain ? Ce qui, conséquemment, invoque comment stopper la coordination des manifestations tantôt sur les places célèbres tantôt sur les plages ou autres hauteurs environnementales pour faire le Buzz. C'est vraiment essentiel de le répéter sans aucune gêne, cela n'est-il construit comme s'il s'agit d'un sprint social qui ne se termine jamais ? Au vu du retard de la coagulation de cette insoumission ne faisant d'Al Hoceima qu'une fausse fenêtre de ce que c'est le vrai Maroc paisible tranquille et apaisé. Alors même que c'est le contraire qui normalement devait se prévaloir par les bons choix sans regrets sur le respect des lois ni confrontations sociétales et encore moins sur la concession de la ''Hiba'' de l’État. Même si, loin des contraintes et peurs déjà un retrait relatif des forces de l'ordre est entamé donnant un signe encourageant.

       A l'évidence, tout indique, que peut-être bientôt une bonne nouvelle dans ce sens serait officielle, parce qu'apparemment tout est en starting-block pour la grande annonce. Tellement ça sera une vie de liesse célébrée partout, en mettant fin à la série des mauvaises gouvernances d'un côté, comme des manquements au respect de l'Etat de l'autre. De toute façon, ce sera la faillite encore plus grave des ennemis que montrera cette rédemption de l’État pour l'entente la cordialité au milieu de tout ce brouhaha. D'ailleurs, n'est-ce pas souvent les marocains s'en sont interrogés et s'en sont demandés si, oui ou non, ces ennemis ne sont pas des imbéciles ? Parce que, n'en ayant compris c'est quoi qui les a poussé à s'engouffrer dans le Hirak et surtout n'en sachant qu'au final c'est de leur déconfiture avec amertume et désespoir de ne réussir leur coup de force dont il s'agira ? Et qu'un jour même les quelques insoumis irréductibles toujours à leurs bottes, reviendront au bercail par suite de repentance car ils auraient compris qu'ils ne trouveront de paix dans cette médiocrité. En tout cas, c'est parce qu'ils sont écrasés de honte d'amertume de tristesse et de déceptions qu'ils savent que rien ne leur sera épargné par la feuille de route d'une justice équitable, à part s'ils sont graciés par Sa Majesté le Roi Mohamed VI. Alors, de ce point de vue, que ceux par leurs sorties médiatiques, parfois avec cynisme à même le vice s'arrêtent de provoquer plus de confusion sur la préparation de l'éclaircie politique et sociale à Al Hoceima. Donc, à toute fin utile, nul confiscation du changement en vue, après la colère royale du 25 Juin 2017 à l'encontre du gouvernement Othmani. A bon entendeur, salut !

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