vendredi 3 mars 2017

L’INTÉGRATION SANS RÉSERVE A L'UA, C'EST AUSSI L'ENGAGEMENT MAROC A LA CEDEAO-ACTIVE CONFIRMANT LA PANIQUE A L'UMA !

LA FORMULATION-ADHÉSION UNIQUE EN SON GENRE DU MAROC A LA CONSTRUCTION GÉOPOLITIQUE CEDEAO-ACTIVE, NE SONNE-T-ELLE COMME LA CHARGE DE LA VALIDATION DU LEADERSHIP LAISSANT  LES ENNEMIS PERPLEXES ET CONFIRMANT QUE L'UMA EST DEVENUE LE POSÉIDON DU TEMPS PRÉSENT ?

       Ce que racontent l'Algérie en agonie et son excroissance le Polisario qui vit dans les clichés, ne ressemble-t-il à un déversoir de mensonges saugrenus pleins de contradictions d'où ils entrevoient le ciel tomber sur eux  ? D'autant plus, tous les rapports émanant des Centres d'Etudes en Perspectives et Stratégies en Afrique révèlent que les bruits de fond perçus ici et là pendant la tournée royale après le retour du Maroc à l'UA, n'influencent la perception positive qu'en ont les chefs d'Etats. Ce qui confirme, plus les tournées montent en puissance vers de nouvelles contrées, plus leur perception de l'échange Sud-Sud que préconise le Maroc via partenariats gagnants-gagnants d’égal à égal dans tous les domaines devienne une satisfaction sans commune mesure. Jusqu'à même d'avoir réduit leur sensibilité vis-à-vis des gesticulations de l'Algérie de l'Afrique du Sud et le Zimbabwe de ce qu'ils veulent faire du Mali. Alors qu'en vérité, ils ne font de la sorte que cacher leur embarras par suite de leur incompatibilité avec la dynamique et démonstration de force de ce retour triomphant hors de leur portée. Voilà pourquoi l'on peut dire, tous les moteurs économiques tournent maintenant en plein régime pour favoriser le renversement des idées saugrenues des ennemis contre cette intégration. Et donc assurer l'envol Maroc-CEDEAO à contre courant de leurs danses diplomatiques au profilage propolisarien inapproprié inopportun et désolant pour l'avenir de l'UA. Dès lors que pour nombreux observateurs avertis, continuer irrationnellement à accorder leurs mensonges loin du fait de l'historicité légitime du Maroc sur son Sahara, c'est préparer le Polisario à se faire expulser dare-dare du refuge que l'UA de Mouaammar Kadhafi lui a prêté illégalement en 1984 à Nairobi.   

    D'autant plus, pourquoi le Polisario dans sa production d'allégations, ne sait-il qu'il pourrait même disparaître du fait qu'il se soit empêtré dans la zone rouge de séparation, laquelle aujourd'hui est anxiogène pour la communauté internationale au-delà du tolérable pour le Conseil de Sécurité de l'ONU. A cet effet, ne peut-on conclure, décidément à propos du retrait du Maroc de Guergarate et de son intention-intégration de la CEDEAO-active, l'Algérie et ses soutiens résiduels à l'UA à l'UE et à l'ONU n'ont rien compris à l'historicité événementielle sur les données géopolitiques africaines et stratégiques mondialisées du temps présent ? Parce que, de par leur nouveau maillage de connexion quasi-formulé sous-forme de diagramme des dénis des réalités jusqu'à s'en arracher par leurs cris les poumons, ils ne veulent voir que la voie normale du co-développement n'a d'yeux que pour le Maroc. Dont le projet du gazoduc Maroc-Nigéria faisant partie de cette stratégie de contribution en bonne intelligence des pays de la CEDEAO, que l'Algérie cherche à le torpiller en provoquant affrontement direct avec le Maroc via le Polisario. Pour ne laisser le Secrétaire Général de l'ONU tenter de relancer la solution politique acceptable de tous, notamment, après son indignation et dénonciation de la posture de fuite en avant du Polisario à propos de son refus de retrait de la zone de séparation. Chose inimaginable du temps de Ban Ki Moon le propolisarien aujourd'hui isolé et de Christopher Ross maintenant considéré déserteur boudeur si ce n'est fugitif damné !

       A cet égard, en l'occurrence, il ne s'agit pas là du seul cas parmi l'action d'urgence que doit réaliser l'ONU loin des communiqués de presse sans lendemain, en se basant sur la seule offre sérieuse qui existe sur le tapis. Celle marocaine d'autonomie 2007 dans la régionalisation élargie, dont, à l'évidence ce serait une reconnaissance voir admiration du calendrier marocain ayant fait essuyer revers après revers aux ennemis sur sa légitimité de recouvrer toutes ses souverainetés. En les montrant dans le dédale d'incapacité d'initiatives viables ne voulant se réinventer un autre focus d'échanges loin des perfidies et malveillances à son égard. A ce propos, n'y a-t-il, en ce sens, une occasion de création de plateforme politique collaborative de faire respecter le droit et de promouvoir l'autorité du Secrétaire Général de l'ONU en matière d'interactivité positive avec ses appels au retrait de toutes les forces en présence dans la zone de séparation en dehors de la Minurso ? Néanmoins, est-ce que le pouvoir Boutaflika le sait-il qu'à chaque tournée royale en Afrique, les actes-pactes signés qui en découlent font varier la structure géopolitique du continent ? Surtout lorsque de nouvelles données prennent des formes de concrétisation comme dans le cas de réintégration du Maroc de la CEDEAO, en ce temps marocain africain que personne ne le nie car l'UMA est devenue sur le plan politique culturel socio économique et sécuritaire le Poséidon où il y a panique à bord

       D'ailleurs, de fait, il ne reste à ce pouvoir qu'à pleurer le dessèchement de ses allégations au sein de l'UA en voyant les influences du temps du DEA sous Obama s'affaiblir, et d'où l'on s’aperçut après le départ de Nkosazana Dlamini que l'emphase via l'enfumage diplomatique n'était objectivement pas la solution. Aussi, loin s'en faut, pour rester vigilant dans la marge de l'interface communicationnelle des ennemis, ce n'est nullement une recherche d'hégémonisme socio-économique ni culturel ni quoi que ce soit de la part du Maroc, mais seulement une participation normative effective Sud-Sud pour la montée en puissance novatrice de l'UA. Evidemment, à cet égard, n'est-elle annonciatrice d'un autre activisme switch, sorte d'aiguillage combinant volet diplomatique et sécuritaire marocain dans la projection CEDEAO-active, dont il faudrait pointer les ennemis du doigt en anticipant la désactivation de tous leurs essais de déstabilisation de cette sous-région. Et d'où, conséquemment ressortira sans réserve le dépassement des points d'achoppements vis-à-vis de l'UMA qui est qu'on ne le veuille ou pas, malade de l'immobilisme algérien en rupture avec l'idéal des peuples maghrébins. Comme ça, l'on peut dire, l'arrivée en force du Maroc à l'UA est adaptée aux besoins de la CEDEAO pour l'accepter 16°ième membre, ce qui automatiquement la confirmerait au premier rang africain et au 34°ième rang mondial. 

       Mais, attention de s'endormir sur les lauriers, car l'équipe Boutaflika ne veut toujours pas changer son logiciel et se mettre au diapason des temps modernes. D'autant qu'elle s'en empresse à appliquer d'anciennes recommandations par le biais de l'indésirable Joaquim Chissano qui s’entête à créer ce qu'il appelle le front de refus sur le territoire helvète auprès des instances des droits de l'homme. A même de s'en enorgueillir de sa soi-disant médiation transcendantale, oubliant, les nombreux cas de corruption à tous les niveaux de l'Etat au cours de son mandat à la tête du Mozambique. Alors qu'il est accusé avec la sud africaine Nkosazana Dlamini et l'algérien non civilisé Smail Cherqui, de n'avoir monté à la Commission de l'UA que des structures de gouvernance de piètre qualité. Ce qui montre, que ses passages par plusieurs fondations avec nettement moins de crédibilité ne l'ont mis que dans le déni des réalités par sa soi-disant contribution à la paix en dehors des frontières de son pays. Ne s'en rendant pas compte par rapport au dossier du Sahara marocain, que c'est mission impossible en ce qui le concerne lui, même en se racontant des histoires ne sachant que le Maroc comprend pourquoi il le fait. Au vu que derrière c'est son histoire politique personnelle compliquée qui explique cela, s'ajoutant à toute autre chose beaucoup plus complexe à propos de l'inadéquation de ses liaisons dangereuses d'antan en tant que négociant-fournisseur d'armes. Dont aujourd'hui le rapprochement Maroc-CEDEAO en est la pierre angulaire, pour qu'il ne continue à se prendre pour le parent traditionnel pour qui son influence dans le dossier du Sahara marocain ne pouvait être qu'exclusive. N'est-ce même bizarre qu'il ne puisse savoir qu'il est en incapacité de se voir dans les conditions de jadis, pour se permettre de saborder ce rapprochement, ni en relation transversales des pays concernés ni dans la protection des facteurs extrinsèques dangereux par le Maroc pour la sécurité de cette sous-région ? A bon suiveur, bon décryptage ! 

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