samedi 11 mars 2017

...ET SI, L'ONU ACTIVE UN PLAN ANTI KIDNAPPING DU PRÉSIDENT BOUTAFLIKA POUR CONTRER LE FORCING CASSE-TÊTE DES GÉNÉRAUX ?

QUE FAIT LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE POUR CONNAITRE LE VRAI SORT DU PRÉSIDENT ALGERIEN PERDU, SACHANT QU'IL Y A BATAILLE INSTITUTIONNELLE RAGEUSE ET RAVAGEUSE SUR LES DÉCOMBRES QUI RESTENT DE CE POUVOIR ?

       Ce n'est pas parce qu'on n'est pas au cœur du secret de l'Etat algérien, que l'on ne peut savoir que sur le plan diplomatico-stratégique c'est la bérézina totale qui le guette. Et ce n'est pas la ronde du premier ministre Abdelmalek Sellal sur les traces des visites royales en Afrique, qui le mettrait en dehors du champ d'influence du Maroc. En plus, ni les révélations mensongères ni les expressions remake du polisarien Brahim Ghali avec une voix OFF surabondante de Gaid Salah ne s'embarrassant pas du tremblement sous ses pieds, ne l'aideraient à avoir la confiance ni de l'UA ni de l'UE et encore moins de l'ONU. N'est-ce en cela, que c'est prouvé le Maroc a rendu la vie politique socio-économique culturelle et sécuritaire encore plus aisément multi-régénérante de la confiance procurant énergie entrepreneuriale dans ses provinces du Sud des 03 régions (Guelmim-Laayoun-Dakhla) ? Et ce, grâce à la détermination de tout son peuple derrière ses Rois depuis 1975, sans fermer la porte du retour aux égarés qui n'ont pas du sang sur leurs mains. D'ailleurs, pour comprendre pourquoi le Polisario par ses agissements à Guergarate il fait la bande qui danse dans un lieu pouvant devenir son cimetière, il faudrait s'imaginer que les services de renseignements algériens n'admettent cette réalité 42 ans après, d'où conséquemment, ils ne veulent se sentir organiquement marginaliser par le Conseil de Sécurité de l'ONU. S'ajoutant à sa fuite en avant par sa fascination pour le pré carré autour de Said Boutaflika, allant dans le même sens que les généraux de provoquer le Maroc dans les rencontres internationales, tout simplement pour fuir la fronde réelle interne désastreuse dans les camps de la honte à Tindouf Rabouni et partout. 

       Néanmoins, à ce propos, ne peut-on dire que sont désormais ouvertes au Conseil de Sécurité de l'ONU pour fin Avril 2017 au moment de la sortie de la Résolution sur le Sahara marocain, les projections de la recherche du président perdu en l'occurrence Abdelaziz Boutaflika, et ce par le déclenchement du plan d'urgence anti kidnapping ? D'autant plus, c'est parce que les services de renseignements civils-militaires à Alger se voient survitaminé de reprendre les clés du pouvoir en ON par la vengeance et non plus en OFF comme d'antan par la manipulation, qu'ils ont poussé à le séquestrer malgré-lui. Dans le but, où bien d'annoncer son décès presque apprivoisé par eux ou de préparer sa destitution et organiser une mascarade d'élection présidentielle anticipée, en  montrant une position irrationnelle ultra agressive non seulement à l'encontre du Maroc mais aussi vis-à-vis de l'ONU. Et, donc conséquemment, imposer le tempo et le résultat qu'ils veulent, eux, à la crise du Polisario avec le Conseil de Sécurité après le départ de Ban Ki Moon et Christopher Ross. Dont la vraie logique de leur manière de faire, c'est de provoquer un choc en faisant monter le degrés de leurs nuisances pour rester les maîtres de l'ingénierie du jeu géopolitique de déstabilisation vis-à-vis des pays limitrophes. Tels la Mauritanie déjà cyanosée par l'activité surtout d'Aqmi lui donnant une assurance négociée par un deal qui lui permettrait à ses risques et périls de faire passer ses retouches constitutionnelles. La Tunisie apeurée par les signes de l'islamisme ghanouchien va-et-vient qui ne trompent pas, surtout à propos du risque d'emballement sociétal gravissime qu'elle peut vivre à tout instant. Le Mali tétanisé par les nombreuses actions ponctuelles parfois devenant diffuses des groupuscules terroristes et indépendantistes téléguidés d'Alger, la Libye en sursis toujours à la recherche d'une bonne sortie au risque de renouer avec son passé, le Tchad tourmenté par l'aisance de Boko Haram à agir ici et là même s'il ne s’empêche de les contrer avec sa rigueur reconnue, et enfin le Niger horrifié entre procès contre les jihadistes et agissement de l'opposition partisane même en apprivoisant l'idée de sa mort politique dans sa course pour le pouvoir. 

       Excusez du peu, de ce mode de traitement des Généraux algériens par le chantage des voisins et du nouveau Secrétaire Général Antonio Gutterres qu'ils ne portent pas en bonne estime ! Dont, aussi, il faut le mentionner, la volonté du peuple algérien, lui-même, qui normalement aspire à en finir avec eux, elle n'est pas respectée pour ne pas dire qu'elle est malmenée par cette trahison totalement inédite. N'est-ce là, où la communauté internationale doit anticiper une action en faveur de l'effritement de leur genèse qui arrive à bout de souffle, et prendre les dispositions pour faire éjecter le Polisario de Guergarate par la force, même si, il est entrain d’infléchir sa position ? Afin d'arrêter ce jeu dangereux pour la région MENA-Sahel subsaharienne africaine, qui de surcroît émane d'une conception obsolète, de ce que c'est avoir le pouvoir chez ces Généraux. Qu'effectivement, on ne peut pas dire qu'ils n'aient pas choisi de s’empêtrer dans le complot ourdi contre le peuple par le kidnapping et la séquestration du président Boutaflika dont à ce jour on ne sait s'il est encore en vie. Parce que, pour l'ONU, continuer à palabrer avec le Polisario sans sortir de l'esprit équilibriste doctrinal régional clownesque, c'est vraiment le laisser se propager dès lors que la Minurso ne peut être la puissance tutélaire pour le stopper. Au sens que le Maroc en a la capacité la légitimité et la responsabilité de le faire dégager, car son modèle en terrain d'opération rassure amplement, par rapport à la mécanique à scénarios catastrophes que risque d'enclencher l'Algérie à Guergarate. Qu'hélas, elle ne serait que la conséquence de la folie meurtrière entre factions hétéroclites civiles-militaires pour la prise du pouvoir à Ksar Lamradia d'Alger au détriment du peuple.

       Voilà pourquoi, aujourd'hui, il y a trouble douleur et colère dans les services de renseignements algériens qui vivaient leur rêve de maître du jeu à l'UA pendant 33 ans sous-forme d’euphorie révélatrice de toutes leurs obsessions ? Ce qui reflète, en ce temps présent après le retour triomphant du Maroc parmi les siens la face cachée des infiltrations des espions mercenaires et barbouzes à la botte de ce pouvoir en fin de vie. Et ce, en masse en Mauritanie Mali Niger Libye Tunisie et Tchad créant un contexte d'incertitude sur leur stabilité, dont in fine ils sont considérés comme des perturbateurs de la confiance en ces pays de par le monde. Comme quoi cette façon de faire des Généraux algériens en y consignant les activités au quotidien de ces pays pour surveiller leurs émotions, n'est autre qu'un exutoire non salutaire ayant un impact négatif sur les échanges économiques diplomatiques et sécuritaires par manque de confiance. Un jeu où chacun de leur comportement énigmatique vis-à-vis du Maroc, devient une scène de décryptage par les services compétents marocains dans tous les volets pour savoir si les soupçons se confirment. N'est-ce là, où finalement c'est un gros avantage pour lui, au vu de son engagement africain via différentes fonctions de normalisations intégratives interactives des partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal sans triches ni arrières pensées. A bon entendeur, salut !        

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