mercredi 29 mars 2017

LE FUTUR GOUVERNEMENT NE SERA NI RECHAPÉ NI RAFISTOLÉ A LA FAÇON ''TUBLESS'' MAIS SEULEMENT FORMÉ DANS L'ESPRIT DU DISCOURS DE DAKAR ?

MAIS, QUE VEULENT-ILS LES DISTRIBUTEURS DES MESSAGES POLLUÉS SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX EN DÉCRIANT LA MÉTHODOLOGIE SUIVIE POUR LA FORMATION DU GOUVERNEMENT APRES LA NOMINATION D'UN AUTRE PJDISTE SAAD-EDDINE OTHMANI PAR SUITE DU LIMOGEAGE DU ZÉLÉ ABEDELILAH BENKIRANE ?
       
       Aider Saad-Eddine Othmani à former son gouvernement avec un programme précis concis et personnalisé par une formation ramassée forte cohérente et stable, n'est rien d'autre qu'une facilitation d'assurer cet objectif pour les marocains y compris les abstentionnistes. Donc, de ce point de vue, il ne sera ni rechapé ni rafistolé à la façon ''Tubless'' et encore moins une boule de neige. Mais, pour cela, faut-il croire en la vertu des chefs de partis de tous les bords, majorité et opposition vis-à-vis de cette programmation dans l'espoir des choix les plus infimes des ministres en tant que commando boule de feu ? A cet effet, il faudrait, surtout de ne pas les entendre parler des hypocrites et des opportunistes autour d'eux, portant leurs CV (Curriculum Vitae) en main et jouant des coudes aux portillons. Alors que, nombreux sont les marocains compétents et capables ayant eux aussi des CV plus étoffés, mais qui ont le sentiment de vivre en dehors de la formation du gouvernement en préparation. A même que certains parmi eux disent, qu'il y a encore un risque qu'il en ressorte de l'incapacité de créer une interdépendance entre les franges sociétales, une représentativité gouvernementale non à l'image le la projection des données de mobilisation pour les élections du 07 Octobre 2016. Parce que, qu'on se le dise sans retenue, on ne peut former un gouvernement au diapason du contenu du discours de Dakar sans tenir compte de l'orientation claire de 60% de marocains par rapport à l'offre programmatique électorale législative d'il y a six mois. Même sachant, qu'il y a quelque chose de pourri chez les zélés incultes n'acceptant cette orientation, croyant pouvoir gagner par l'absurdité la rumeur et le marketing-machination. D'autant plus, que craignent-ils ces pollueurs de la formation gouvernementale, voulant toucher les gens par des messages de la manipulation de tous leurs partages attaches et diffusions d'e-mails photos et caricatures ? Pourquoi ne savent-ils que le Maroc est mieux préparé pour faire face aux attributions de ses ennemis en interne ? En plus, qu'est-ce qui les dérange en matière de sujets à résonance médiatique pro Maroc qui parviennent de partout de par le monde ?  

       Aujourd'hui, c'est vrai, tout s’accélère après que le Roi ne se soit pas rendu au Sommet de la Ligue Arabe à Amman en Jordanie. Mais, attention suite à ce contretemps d’espérer à chercher à faire une pause dans le calendrier de préparation de ce gouvernement ? Même si, le mettre en lumière ne sera pas chose aisée, surtout s'il n'y a pas une sortie de l'engrenage des obscurantistes et de l'impuissance des opportunistes. D'autant plus, tout le monde sait qu'ils n'ont ni colonne vertébrale de projet politique qui ne relève pas du secret de leur pensée, ni relationnel hors norme si ce n'est l'affiliation pour les uns à l'Etranger et pour les autres à des entourages de certains blessés dans leur orgueil qui ne se privent d'aucune occasion pour le montrer. Au sens où, voilà ce qui en dit long sur l'ingrédient principal de la future formation gouvernementale, pour qu'elle n'ait pas le gout d'un raté voire d'une chimère. Sachant, généralement, chacun des chefs de partis concernés affecte une compassion de bonne présence pour certains de leurs protégés et un mépris via vocabulaire qui traduit le complexe de supériorité pour les autres car les considérant lèches-bottes. Mais, là où le bât blesse c'est qu'il s'agisse de langage de surabondance de l'instinct des chefs par l'usage de mots mal placés qui laissent à désirer, même en leur faisant porter le malheur de leurs propres échecs électoraux. D'où l'on voit qu'en ce moment de formation du gouvernement Otmani, ils s'auto-mutilent en voulant se hisser par dessus le seuil érigé par la vision royale que porte le discours de Dakar. N'est-ce, par ailleurs c'est ce qui leur donne des cauchemars avant qu'ils ne s'avisent que tel est le spectre de la future plateforme gouvernementale en profils en structure-organe et fonctionalité cohérente par département ? Comprendront ceux qui voudront, même les recycleurs des idées d'autrui par le copier-coller comme tactique favorite à noyer les arguments sans une ombre de reconnaissance, ne leur serviront à rien !

       Cependant à ce propos, ne peut-on annoncer, d'ores et déjà, toutes les conditions sont réunies pour Othmani pour vivre l'une de ces journées exquises une fois son gouvernement nommé par Sa Majesté le Roi Mohamed VI ? Et d'où, il éprouverait le sentiment d'exister, car beaucoup de pjdistes commencent à changer de fusil d'épaule, cherchant à se convaincre de ce que trop de leurs artifices nuisent à l'essentiel de rester aux commandes de la chefferie du gouvernement. N'est-ce pour cela que Benkirane s'agite, tellement apparemment, il n'en dors plus voyant ses nuits en noir, même si quelques uns de ses anciens ministres le soutiennent par le bout de la langue et le dorlotent ici et là via compassion inutile ? Et ce, comme si par hasard la malveillance ne le submergerait, alors qu'à travers sa vanité et morosité nocturne quand il est seul surement il en arrive à souhaiter l’échec de son successeur. D'ailleurs, en ce genre de situations seule la première intention d'attention à l'égard du peuple compte, par contre le reste n'est qu'un enchaînement entre balancement et incarnation dans les positionnements. A cet égard, autant le dire avec lucidité, quel carnage des souvenirs entre les frères, dont les marocains sont aujourd'hui spectateurs ! D'où, tout ce qui, le mois d'avant, semblait un acquis même dans les tourments des tractations, est devenu insulte et haine entre eux apparaissant de fait à la lumière. Comme quoi l’honnêteté en politique, impose d'admettre que l'opportunisme n'est pas seul responsable d'inconfort des bannis, au vu de leurs combinaisons d'où se distillent des renvois qui amenuisent le luxe politicien dans les jeux interdits. Notamment quand on n'a pas toutes les cartes entre les mains pour stationner en zone de démarcation constitutionnelle dans le but de narguer l'Etat-Maroc en faisant les ablutions en préparation de prêches border-line. En plus, via des propos dont il faut être tombé sur la tête ou avoir un vague air d'irresponsabilité de prétendre pouvoir être le vecteur d'une déstabilisation, croyant pouvoir continuer mettre la bride sur le cou de ses coalisés aussi longtemps qu'ils n'auraient pas trouvé le moyen de s'en rendre compte.

       A l'évidence, Othmani de par ce qu'il a montré à ce jour comme disponibilité d'aller de l'avant, ne voudrait aucunement s'en trouver exposer lui aussi à de désolantes retrouvailles avec l'isolement comme son prédécesseur. De sorte qu'il se positionne d'emblée loin de cette mécanique politique perverse, dont nul ne peut ignorer qu'il en demanderait aux membres de son gouvernement d’être vifs regardants pointilleux voire même enquiquinants sur le respect du droit et l'application stricte de la loi en plus de la pratique de gouvernance saine sans zèle ni soubresauts. Parce que, dorénavant, l'Exécutif de ce qu'était auparavant qu'un refuge pour certains au semblance paisible, est maintenant un toit où l'on doit mériter sa place par la compétence et rien d'autre. Tout en étant convaincu que c'est une Institution Constitutionnelle où rien de démocratique et légal n'offense ni agace, car c'est un lieu où l'on se hausse à la dignité de bien faire son travail dans le silence le calme la sérénité et la responsabilité. Et, donc, il n'est plus temps de rêver en espérant, bon gré, mal gré, compenser les situations grises qu'elles soient sociales économiques culturelles écologiques sécuritaires et politiques, de coups médiatiques hasardeux qui parfois prêtent à en rire. Voilà, n'es-ce là où la communication au nom du gouvernement ne doit-elle le remettre dans les ténèbres du passé récent avec Benkirane ? A bon entendeur, salut !




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