LE CHOIX DE MASEN RENTRE DANS LE MANAGEMENT
ENVIRONNEMENTAL STRATÉGIQUE D’INSTAURATION DE CROISSANCE VERTE DURABLE ET SÉCURISÉE !
En dépit du déni
gouvernemental concernant la régression de sa cote en performance
socioéconomique malgré la baisse du prix du pétrole, certains secteurs à
l’exemple de la politique des barrages préservant les écosystèmes et biotopes
environnementaux affichent une bonne appréciation sur le savoir-faire marocain.
Ainsi, créer une nouvelle dynamique anti sur-subventions gouvernementales
répétitives pour le maintien du mixe de la production énergétique marocaine, tel est
l’objectif principal qui a présidé au choix et replacement de Masen dans le
circuit global de gestion à la tête du département des énergies renouvelables.
A l’évidence cette agence à capitaux publics se distingue par sa stratégie
visant à exiger des pouvoirs publics plus de flexibilité sur les concessions de
l’investissement dans les thèmes énergétiques. Ainsi, en combinant à merveille
expertise efficacité et excellence irréprochable dans son assistance
technique multiple, elle montre que le Maroc se réconcilie avec sa mer sa terre
et son air en enrichissant le segment de la production souveraine de l’Energie. Se plaçant même leader africain dans ce domaine, marquant l'histoire par son engagement dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Effectivement
Masen revendiquant d’exceptionnelles spécificités dans l’action, s’étant fait
élire en plus grâce à sa rigueur certifiée à l’international dans l’exploration
et l’exploitation des énergies renouvelables particulièrement dans le solaire.
Voire même au-delà du décryptage de son logiciel-développement du volet
recherche appliquée et adaptabilité des règles d’approbation répondant aux
besoins de la consommation sur le terrain. Ce qui désormais s’inscrit dans
l’initiative volontariste marocaine d’accompagnement durable, qu’au demeurant
nous envient beaucoup de pays. Car, allant dans le sens des exigences devenues
parties intégrantes du management environnemental étatique dans tout le
processus de contribution à l’écodéveloppement socio-économique. N’est-ce
d’ailleurs pour cela qu’elle est primée de la confiance royale en raison de la
projection d’approvisionnement du réseau électrique national d’un rebond à 52%
de la production pour 2030 ? De même que sont prises en compte les
initiatives majeures dans l’innovation en termes de gestion du capital humain
local, via la couverture sociale généralisée et juste s’y ajoutant à une
rémunération équitable.
D’autant
qu’outre l’intérêt de l’originalité du concept d’harmonisation gestionnaire, le
choix de Masen ne manquera de constituer le tournant dans la surélévation
éducationnelle écologique des marocains en préparation de la COP 22 à Marrakech
en Novembre 2016. Fini l’ère des illusions, le solaire est trop sérieux pour
être classé dans le domaine du luxe dominé par la subjectivité et la passion politicienne.
Il est maintenant l’industrie moderne universelle porteuse d’avenir, ayant
entamé sa révolution numérisée basée sur l’expérience reproductible et
quantifiable à beaucoup d’égards. D’ailleurs au Maroc, les indicateurs de la
croissance verte sont dans l’attente de l’apport énergétique matérialisé dans
la conception et la démarche de la plus grande centrale énergétique solaire au
monde gérée par Masen. En effet les stations solaires Nour1, 2 et 3 à Ouarzazat
dans le Sud-Est marocain en région Draa-Tafilalet, auxquelles s’ajoutera celle
Nour Midelt, assureront une continuité dans l’industrialisation à haute valeur
ajoutée par la facilitation des échanges énergétiques. Ainsi la stratégie nationale se poursuivra par le cumul des fonctionnalités diversifiées énergétiques, à l'exemple de Tahaddart enthermo-géophysique, Tarfaya en parc éolien et le littoral dans l'exploitation de la mécanique des houles voire aussi des algues luminescentes et phosphorescentes.
N’en est-ce là
d’ores et déjà, un challenge proactif de demande de renforcement du dispositif
de gouvernance de Masen par des solutions simples fonctionnelles et non
abstraites ? Ce qui ouvrirait aux PME-PMI de nouvelles perspectives non
seulement pour affronter tous les défis de l’installation dans ce domaine,
notamment via ses filiales de veille productive. Mais aussi, pour la
consolidation de son action en partenariats gagnants-gagnants avec les
partenaires triés sur le volet de par leurs références leur sérieux et
garanties. N’est-ce ce
genre de montage, premier en son genre au Maroc quant à la production
énergétique ponctuée et sécurisée, qui permettrait d’éviter la dissipation
énergétique intégrale en cas d’hypo consommation domestique locale. Mais là
encore, l’ambition de Masen doit se programmer avec fidélité sans cesse
renouvelée, selon la répartition géographique dans le but ultime de minimiser
les pertes et maximiser les rendements. Sachant pertinemment qu’en effet elle
reste tributaire de l’aval de l’Etat, restant par ailleurs contrôleur influencé
par la position du ministère de l’économie du budget et des finances. Même si,
d’un coté on peut dire par définition que ce domaine de l’énergie verte est
moins sensible à la volatilité du marché boursier dans sa production et sa
distribution, et que de l’autre, ses valeurs de rendement connaissent
aujourd’hui un engouement de compensation des contre-performances de l’énergie
fossile. Stop et fin !
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