vendredi 28 août 2015

ERIC LAURENT, CATHERINE GRACIET ET SEMBLABLES, NE TOUCHEZ PAS A MON PAYS !

ERIC LAURENT, CE MAÎTRE-CHANTEUR CALOMNIATEUR ET MANIPULATEUR-AJUSTEUR D’HISTORIETTES A LA CARTE !

       Mais pourquoi, Eric Laurent et Catherine Graciet se sont-ils investis dans cette entreprise malsaine et scandaleuse en termes de chantage et extorsion de fonds ? N’est-ce parce que s’inscrivant dans la pensée de l’enrichissement illicite rapide et facile, qu’ils ont élaboré ce stratagème désolant et navrant. Un montage digne d’un film d’espionnage en ayant demandé 3 millions d’Euros, pour ne pas publier selon le tableau de bord de l’édition des informations soi-disant compromettantes en mettant au point des circuits externes de recherche active des victimes. Au point qu’ils en ont même par ce procédé machiavélique, renforcé l’incubation de l’inculturation politique chez beaucoup de néophytes et autres novices pensant qu’ils étaient des habitués de Dar Al Makhzen. Et ce, par la généralisation de fausses informations créees pour répondre aux besoins de l’amalgame, dont même les observateurs avertis n’en peuvent déceler les contours que difficilement. Alors qu’en vérité, la traduction politique de la réalité c’est qu’Eric Laurent avait interviewé le Roi Hassan II dans son palais d’Ifrane en 1993 pendant plusieurs semaines pour éditer son livre ‘’Mémoire d’un Roi’’. Il n’était nullement l’ami ni le confident, au contraire il y avait une raison simple pour ce rapprochement dans le cadre de la politique d’ouverture enclenchée par Hassan II.

       Néanmoins, Eric et Catherine pour satisfaire leurs besoins et envies croissant d’année en année, n’est-ce pas qu’ils ont transformé l’édition de leurs pamphlets en une bourse de ressources financières basées sur le chantage ? D’autant qu’ils sont à travers la réalité du marché de l’Edition, devenus ajusteurs incontournables d’historiettes dans leurs têtes dans un but de recherche d’augmentation de leur capital financier. Dont, ils ne s’interdisent ni l’improvisation ni la violation des vies privées dans leurs disettes, et encore moins la modulation et/où le bannissement de la trame mensongère qu’ils réadaptent aux exigences de ce marché pour faire le buz. Une sorte de mouvance-machination rehaussée et caractérisée par une culture de la manipulation pour extorsion de fonds à la carte en leur faveur, sans penser qu'un jour ils pourraient être la proie de la justice qui les mènera à la chute. Ce qui aujourd’hui met leurs semblables filipendules dans l’embarras, car se voyant désormais dépourvus de toute crédibilité dans leurs attaques contre le Maroc. Et dont, la lettre manuscrite signée par ce couple de la honte et aussi les liasses d'Euros trouvées en leur possession, ne feraient que les en rendre tous aussi comptables de ce mal devant les générations des journalistes de demain.

       Maintenant, on peut dire qu’il est loin le temps ou Eric Laurent pensait que la pratique du journalisme d’investigation augmente la probabilité du doute, en plus s’ajoutant à l’incertitude ou faiblesse qui s’incrustent dans les consciences conduisant au refus du manichéisme. D’ailleurs, au déroulé du fil d’actualités, pendant tous ses contacts avec l’émissaire du palais en présence de l’avocat du Maroc Me Dupond Moretti, il a cru avoir gagné la bataille de la raison d’Etat haut la main. Parce qu’apparemment dans la discussion sur le thème de l’édition de son livre, il s’est montré confiant tranchant et systématique, réduisant son interlocuteur à un simple émissaire ne s’accrochant rien qu’à sa foi de ne pas en finir sans conclure. Et c’est là son erreur, d’avoir pensé que la raison d’Etat triomphe toujours de la foi d’un négociateur n’ayant pas lui-même fixé son choix dans cette bataille. Une chose est certaine, depuis le début Eric n’était-il persuadé ni convaincu qu’un tel chantage lui ferait prendre des risques incalculables ? Où bien, croyait-il avoir une cohérence dans sa maîtrise de la temporalité des tractations abordées, ne sachant qu’il est épié surveillé enregistré et filmé de très près par les services de police sous contrôle du parquet ?

       C’est vrai que les répercussions politiques et juridictionnelles de cette affaire s’annoncent chaudes, une occasion pour le Maroc d’insister dans son réquisitoire sur la préméditation de l’acte du chantage et l'extorsion. Et, qu’au demeurant, surement occuperont l’avant-scène médiatique dont l’avocat du Maroc dans ses premiers échanges plus libres les ayant mis à profit par son franc-parler. Par conséquent de ce point de vue-là, tout le monde le sait maintenant, d’autres essais malveillants à l’égard du Maroc ne manqueraient d’exposer les relations franco-marocaines à des jeux interdits. Qu’importe par ailleurs que ce soit ainsi ! La question, c’est de savoir comment continuer à réinvestir la confiance entre le Maroc et la France dans ce brouhaha de critiques infondées sans revenir en arrière ? Particulièrement, de ne laisser les irréductibles et leurs relais fragmentés et diffus dans l’administration française au sein des Affaires Etrangères de l’Intérieur et la Justice, d’user de leurs vieux réflexes. S’agissant, notamment, de lobbys anti Maroc qui pourraient souffler sur le brasier des années de plomb en ressuscitant la mémoire de l’absent voire même du mort.

       Cependant, dans un tel contexte, la légitimité du Maroc de passer à l’offensive qui consiste à dire que le rapport des forces est en sa faveur, ne pouvant en aucune façon changer car il s’agit d’un flagrant délit. Et/où ni Eric ni Catherine ne pourraient invoquer des circonstances ni tenter des résistances, pour faire en sorte que la sanction touche le marché de l’édition dans sa globalité. Ce qui certainement consisterait à les forcer à chercher un compromis éditorial dans un sens qui n’attaquerait plus le Maroc, ni défavoriserait sa reconversion en démocratie participative souvent auparavant non correctement médiatisée. Notamment, en tenant compte de l’individualisation des préférences et des choix stratégiques de coopération entre le Maroc et la France dans le monde d’aujourd’hui. Aussi, à l’aune de la prochaine autre visite officielle du président François Hollande au Maroc, se conjuguant avec le réchauffement relationnel et la multiplication d’épisodes de coopération sécuritaire probants, il n’y a de choix que de continuer à l’optimisation des performances et à l’amélioration de la confiance. 

      Par ailleurs, le paysage politique semble propice par les retrouvailles des automatismes via des repères essentiels à l'action concertée. Encore faut-il anticiper de contenir ensemble les essais malveillants, et d’en contrôler les indices polluants l’esthétique relationnelle actuelle exemplaire. Parce que le mal imposé par la voilure de l’affaire Eric Laurent est répugnant de l’avis de tous les marocains. Et que raisonnablement ils n’en requièrent la moindre indulgence pour suspendre les poursuites. Espérant bien sûr que la justice française fasse seulement à charge la part des choses étant en mesure de satisfaire le Maroc concernant les dégâts et préjudices causés. Finalement, n’est-ce pas que l’objectif d’Eric le fou et Catherine la soumise c’est de préparer leurs retraites dorées, chacun dans son coin sur le dos des marocains ? Avec peut-être, création d’un club des nouveaux riches de l’édition des livres-pamphlets et autres guides-navets par des tricheurs et usurpateurs. A bon suiveur bonne lecture !   

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