LE POUVOIR ALGÉRIEN NE COMMENCE-T-IL A CONSTATER QUE
SON AVENIR NE DÉPEND QUE DU CHANGEMENT DE SES ATTITUDES ?
Ces derniers
temps l’histoire politique de l’Algérie connait des secousses, souvent
violentes, entre la bande BASILOS (Bouteflika-Ammari-Sellal-Ibrahimi-Laamamra-Ouyahya-Saadani)
et la puissance des opinions diversifiées refusant leur procédé d’Al Hogra (humiliation)
du peuple algérien. Ainsi d’un point de vue purement politique, ce n’est donc
pas par commodité du découpage administratif en Wilayas que la variété de la ‘’nation’’
algérienne semblait auparavant apaisée. Au contraire, elle y est restée sensible aux bouleversements qui se passent dans l'entourage, tout en croyant que ses décideurs négocient aux mieux les mesures d'adaptation. Ce qui explique que la bigarrure sociétale
de l’Algérie d’aujourd’hui, n’est pas moins étonnante que le formatage
politique uni-sens de ses décideurs tatoués de clientélisme partisan et aussi
d’aventurisme politique non bien calculé. Au point que chez la majorité des
algériens qu’ils soient amazighs où arabes, citadins baldis où sahraouis, laïcs
athées où islamistes, l’autonomie de certaines régions est devenue maître mots dans leurs bouches notamment.
Néanmoins en conséquence,
le caractère bêtisier de cette bande chercheuse de conflits, ne se trouve-t-il actuellement
renforcé par le transfert de sa panique face au cataclysme qui s'annonce ? Et ce, en référence aux avis revendicatifs
nombreux sur l’autonomie de ces régions, ne voulant plus être soumises à
ses diktats relayés par des courtisans dans l’entourage du bienheureux Said de
son prénom de surcroît frère du président-légume. N’est-ce ceci qui rend instable
la vie politique du pays, n’augurant malheureusement à ce jour le moindre
commencement de réconciliation avec le pouvoir, ayant sans le savoir ouvert la boite de mauvaise loterie risquant de tout perdre ? D’autant plus qu’il y a
de graves injustices sociales, dont moins de 5% de la population reçoivent 80%
du revenu national montrant bien à quel point le pouvoir s’est-il rabaissé dans
le mauvais traitement des ses citoyens. Tellement, que maintenant les algériens sont convaincus du mauvais choix de gouvernance trompe l’œil qui se base seulement sur la rente pétrole-gaz. C’est dire, qu'aujourd'hui ce pouvoir n’est aux yeux de
la communauté internationale que le support d’un écoulement, d’abord de
mensonges même sachant la transition à haut risque le mettant de plus en plus dans l’impasse.
Puis d’actes de détournement de la richesse nationale par des pratiques
devenues avec le temps un rituel haineux même vis-à-vis du vrai peuple algérien.
Ainsi, éclate le véritable sens du déni des réalités par cette bande, l’en a même
fait presque sa religion que par ailleurs elle n’est que sa conversion depuis l’acte
fondateur de sa haine envers le Maroc en l’occurrence la guerre des sables 1963,
s’ajoutant aux différends des années 70 ayant aboutit à la Massira 06 Novembre
1975.
Dans la situation
d’aujourd’hui, l’Algérie ne doit-elle reconsidérer son destin en répondant à
son dilemme de remobilisation de ses atouts, par des actes et pactes assurant
sa réintégration parmi les pays honorables sans dilapidation de ses richesses
pour des causes perdues d’avance ? N’est-ce
pour cela la bande des BASILOS, servie par le pouvoir médiatique enragé mis à
sa disposition, montre un état de transe journalistique injustifiée vis-à-vis
du Maroc ? Le montrant sans fondement ni preuve, comme inducteur-catalyseur à
propos de la tension paroxystique à Ghardaïa chez les Mozabites, voire même dans
la région d’Ain Defla chez les daechiens de la Wilaya de Skikda et aussi
ailleurs. N’est-ce là carrément un non sens politique de la part de cette bande
tombée sur sa tête, de par sa situation devenue insoutenable ? Ce qui exige de la communauté internationale
plus de vigilance et efficacité de surveillance de l’Algérie désormais au bord
du précipice terroriste. Dans la mesure qu’au Maroc, les acquis culturels
cultuels sociaux économiques et politiques sous l'impulsion du Souverain, répondent aux exigences de la
mobilisation des marocains pour continuer à vivre dans la sérénité la responsabilité et surtout la paix protectrice contre les convulsions sociétales.
Cependant,
comment expliquer à cette bande qu’elle n’est plus seulement dans le contexte-tension
Maroc-Algérie à propos de l’affaire du Sahara marocain ? Mais, qu’elle se trouve
désormais dans l’œil du cyclone daechien, au vu de signaux réels de risque d’éclosion
d’un autre foyer de guerre civile à la syrienne dans tous le territoire algérien
voire au delà. Evidemment, cette
bande pour qui son sacré du million de martyrs s’est déplacé vers la haine du
Maroc jusqu’à en faire sa fixation principale, ne veut surmonter ses anciennes
rancœurs par delà le fil d’actualités et événements dangereux du temps présent.
En plus continuant à montrer qu’elle s’inscrit dans la durée privilégiant la
déstabilisation de toute la région, par l’usage d’arguments faussement
passionnels mais violents à l’encontre du Maroc. Ne sachant, qu’elle apparaît ainsi faible et puérile dans ses agissements, dont on retrouve cependant la
trace dans toutes les crises internes qu’elle affronte aujourd’hui n’arrivant
pas à les maîtriser. Avec en plus cerise sur le gâteau, l’estime grandissant de
la communauté internationale vis-à-vis du Maroc, qui lui, agit dextrement pour
obtenir gain de cause en ce qui concerne l’affaire de son Sahara. Contrairement
à ce pouvoir algérien qui ne veut toujours pas compenser son entêtement
unilatéral profondément désuet, afin d’en tirer bénéfice du renforcement des
relations avec son voisin de l’Ouest en l’occurrence le Maroc.
A cet égard, le
besoin requérant la contribution active et constructive d’un Etat algérien qui
se respecte, semble évident par la participation de toutes les cultures et
ethnies du pays. N’est-ce d’ailleurs ce qui inquiète plus cette bande, voyant
presque en direct la montée en puissance spirituelle cultuelle et politique du
Souverain marocain dans la scène onusienne et même au-delà ? Au point
qu’au travers cette vision royale percutante et pragmatique, ne peut-on
affirmer par anticipation que le pouvoir algérien s’il ne se ressaisi pas, il se
verrait dans un très proche avenir contraint de ne plus prétendre à exister et
non à concurrencer le Maroc à tout point de vue. En tout cas, aux yeux d’observateurs
avertis, il ne lui reste qu’à se rendre à l’évidence et tendre à une neutralité
forcée, s’il ne veut pas en pâtir malgré lui de la réalité de la réciprocité
dans le traitement par la loi du talion. D’ailleurs, aujourd’hui plus que
jamais, il est nécessaire pour le gouvernement marocain de corser ses réponses
officielles envers cette bande d’usurpateurs. A même de lui livrer dispute impulsive
stratégique dans les masses médias internationaux sans continuer à se parler à lui-même,
notamment sur la valeur-répartition des rôles reconnus de chaque pays, en se
référant aux témoignages d’observateurs impartiaux dans la zone Euro
méditerranée-Maghreb-Sahel-Afrique subsaharienne. A bon suiveur bonne lecture !
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