mardi 7 juillet 2015

POURQUOI PAS UN NOBEL DE LA PAIX POUR LE ROI DU MAROC ?

Où va le Roi du Maroc, n'est-ce de réussite en réussite vers sa consécration à l'international?

       Le roi du Maroc, est-il vraiment sur la route du Nobel de la paix ? Parce qu’en moins de seize ans, il a réussi à instiller une résurrection socio-économique culturelle cultuelle et politique au Maroc presque d’un seul trait. Bien sûr à l’exception des parenthèses des coups terribles de Casablanca 16 Mai 2003 et Marrakech au café Argana 2011, l'ayant poussé à plus de vigilance. Dès lors que l'image externe et aussi interne du pays est en jeu demandant une politique analytique sécuritaire bien au point pour gagner la bataille socio-économique. Aussi, le cas spécifique du développement à marche forcée que connait le Maroc, n’est-il à bien des égards lui-même exceptionnel par ce qu’il implique comme changement sociétal ? Ne fournit-il, plutôt l’image nouvelle d’un Maroc entreprenant sûr et stable sous la gouvernance royale de proximité et de grande mobilité, dont tout le monde en parle ? Et ce, malgré la situation financière actuelle en déplétion sur les priorités de la gouvernance, dont l’Exécutif à tendance islamiste n’en montre parfois, malheureusement que secousses désolantes itératives dans l'application. Qu’en plus, elle est contaminée d’un taux de chômage alarmant sur le volet social, jusqu’à en troubler par instant le calendrier d’actions royales d’accompagnement.

       A cet effet, la vraie question c'est pourquoi cet Exécutif s’est-il lancé dans des spéculations imprudentes dans beaucoup de domaines? N’ayant en plus rien fait à ce jour pour assainir une administration non rigoureuse car traînant les pieds, et aussi pour se débarrasser des séquelles des promesses non tenues. De surcroît, le poussant dans une diffusion de toxicité propagandiste à contracter des crédits de consommation-fonctionnement diversifiés répétitifs ne faisant qu’hypothéquer l’avenir du pays. Encore heureux, qu’en même temps le développement au Maroc est assuré sous l’égide et l’aura du souverain, faisant bouger les lignes de l’investissement structurant de l’économie en sa faveur en l'occurrence. Face à un climat de peur dans le reste du Maghreb toujours tétanisé, et dont les responsables des départements d’appels à l’investissement font de la rétention de l’information. Ceci par ailleurs n’est pas surprenant, parce que, même sur fond d’incertitude au moment de l’éclatement de ce qui s’appelle désormais le printemps arabe, le Maroc n’est pas tombé dans le piège des recombinaisons de la phase de transition. Il s’en est bien sorti dressant un magnifique tableau de sa singularité, grâce à la vision de son Roi responsable honnête pétri de bons principes en plus d’hauteur de vue et sens moral. Ayant fait basculer et vaciller les incertitudes par son discours mémorable du 09 Mars 2011, suivi d’actes comme le référendum du 01 Juillet et les élections législatives anticipées du 25 Novembre de la même année. Tellement qu’aujourd’hui le Maroc est devenu très visible sur les écrans en tant que pays ambitieux optimiste sûr et stable, tendant tant bien que mal à rejoindre les pays émergents au regard de beaucoup d’études-rapports de conjonctures et stratégies de par le monde.

       Donc, pourquoi pas un Nobel de la paix pour le roi du Maroc, en guise de reconnaissance pour l’effort de partage de cette volonté moderniste drainant des perspectives plurielles de liberté d’égalité de développement et de paix, non pas qu’au Maroc mais aussi en Afrique au Proche-Orient et ailleurs ? Surtout à un moment ou certains politiques aventuriers, voudraient arraisonner la revitalisation des défis de l’Afrique seulement à leur avantage. En ce sens, le Roi Mohamed VI n’a-t-il pas pris ses responsabilités en appelant les africains hommes et femmes à ouvrir les yeux, discours d’Abidjan 2014 faisant foi ? D’abord, sur l’avenir de par les exigences énormes qui attendent l’Afrique pour répondre efficacement à la mondialisation, notamment en matière de sauvegarde de l’environnement et gestion des ressources minières énergétiques forestières hydrauliques et halieutiques. Puis, sur les grands travaux en infrastructure dans l’agriculture logistique et transport électrification eau potable et santé, rendant la vie des populations plus facile plus accessible et surtout leurs échanges plus pacifistes. Ce qui se traduira ensuite sur l’économie sociale de proximité par le transfèrement de l’INDH labellisée sans conteste meilleure expertise marocaine, pour augmenter les chances de réussite et bonne gouvernance dans les territoires les plus reculés.

       D’ailleurs pour en comprendre la production plurielle de ce référentiel marocain de raison, il faudrait le lier au charisme et à l’activisme politico-religieux du souverain en tant que commandeur des croyants. Ne s’agit-il là d’un pari sensé, réaliste et non fictionnel, dont le souverain en dissipe tous les jours aisément contre vent et marrées, les tentatives de description sous forme de faisceaux-clichés douteux et quelques critiques circonspectes. Surtout de la part de groupuscules violents se déclarant de la lignée jihadiste, qu’au demeurant se nourrit du banditisme du crime organisé du marché des armes et du terrorisme. À ce propos, au moins, tous les marocains sont en droit d’en montrer et démontrer la réussite du pari du Roi de les contrer sereinement à tous les niveaux. Surtout en rendant visibles les offres et aides humanitaires généreuses, même celles s'étant faites dans un contexte de paroxysme de tension comme les hôpitaux de compagne multidisciplinaires à Zaatari Gaza Conakcry Bamako Bissau avec des dons de médicaments aux conséquences plus importantes sur la santé des bénéficiaires. En revanche, par ce constat encourageant, le Maroc n’est-il devenu sans ambages un enjeu stratégique de stabilité et de paix dans toute la région, par l'impact de son approche sécuritaire d'anticipation très en vue? Contrairement à ce qu’en colportent des cracheurs de leur haine et rancune, de par leur conversion de liberté de ton et prodigalité sans retenue à son vis-à-vis. Ne voulant reconnaître qu’il y a là une opportunité de faire preuve de solidarité, pour promouvoir la tolérance l’ouverture la médiation et la paix.


       N’est-ce pas la nouvelle impulsion d’idées du Souverain marocain pour la reconstruction d’une Afrique solidaire, est faite dans la même optique de partage de toutes ces valeurs, en  tenant compte des spécificités ethnoculturelles et politiques ? Ne va-t-elle pas par ailleurs dans ce sens, pour assurer un optimisme-cadre de bon voisinage entre les africains, avec cependant quelques nuances dues à la complexité de l’interprétation des événements politiques dans certains pays ? Ne se caractérise-t-elle déjà au Maroc, par des discours dénonçant les caprices et mœurs politiques entre majorité et opposition faisant mauvais genre aux yeux des marocains ? Voilà pourquoi à toute fin utile, le comité du Nobel de la paix doit en tenir compte de ce CV moral et humain du souverain marocain. Et/où, le curseur de lutte anti terrorisme est aussi de rigueur contribuant à la paix, l’entraide pour la sécurité collective des peuples et au bien-être de l’humanité avec les temps qui courent. A BON ENTENDEUR SALUT !

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