Où va le Roi du Maroc, n'est-ce de réussite en réussite vers sa consécration à l'international?
Le roi du Maroc,
est-il vraiment sur la route du Nobel de la paix ? Parce qu’en moins de
seize ans, il a réussi à instiller une résurrection socio-économique culturelle cultuelle
et politique au Maroc presque d’un seul trait. Bien sûr à l’exception des parenthèses
des coups terribles de Casablanca 16 Mai 2003 et Marrakech au café Argana 2011, l'ayant poussé à plus de vigilance. Dès lors que l'image externe et aussi interne du pays est en jeu demandant une politique analytique sécuritaire bien au point pour gagner la bataille socio-économique. Aussi, le cas spécifique du développement à marche forcée que connait le Maroc, n’est-il à bien
des égards lui-même exceptionnel par ce qu’il implique comme changement
sociétal ? Ne fournit-il, plutôt l’image nouvelle d’un Maroc entreprenant sûr et stable sous la
gouvernance royale de proximité et de grande mobilité, dont tout le monde en
parle ? Et ce, malgré la situation financière actuelle en déplétion sur les priorités de la gouvernance, dont
l’Exécutif à tendance islamiste n’en montre parfois, malheureusement que secousses
désolantes itératives dans l'application. Qu’en plus, elle est contaminée d’un taux de chômage
alarmant sur le volet social, jusqu’à en troubler par instant le calendrier d’actions royales
d’accompagnement.
A cet effet, la vraie question c'est pourquoi cet Exécutif s’est-il lancé dans des spéculations imprudentes dans
beaucoup de domaines? N’ayant en plus rien fait à ce jour pour assainir une administration
non rigoureuse car traînant les pieds, et aussi pour se débarrasser des séquelles des promesses non tenues. De surcroît, le poussant dans une
diffusion de toxicité propagandiste à contracter des crédits de
consommation-fonctionnement diversifiés répétitifs ne faisant qu’hypothéquer
l’avenir du pays. Encore heureux, qu’en même temps le développement au Maroc est
assuré sous l’égide et l’aura du souverain, faisant bouger les lignes de
l’investissement structurant de l’économie en sa faveur en l'occurrence. Face à un climat de
peur dans le reste du Maghreb toujours tétanisé, et dont les responsables des départements d’appels
à l’investissement font de la rétention de l’information. Ceci par ailleurs
n’est pas surprenant, parce que, même sur fond d’incertitude au moment de
l’éclatement de ce qui s’appelle désormais le printemps arabe, le Maroc n’est pas tombé
dans le piège des recombinaisons de la phase de transition. Il s’en est bien sorti dressant un magnifique
tableau de sa singularité, grâce à la vision de son Roi responsable honnête pétri de bons
principes en plus d’hauteur de vue et sens moral. Ayant fait basculer et vaciller les
incertitudes par son discours mémorable du 09 Mars 2011, suivi d’actes comme le
référendum du 01 Juillet et les élections législatives anticipées du 25 Novembre de la même
année. Tellement qu’aujourd’hui le Maroc est devenu très visible sur les écrans
en tant que pays ambitieux optimiste sûr et stable, tendant tant bien que mal à rejoindre les
pays émergents au regard de beaucoup d’études-rapports de conjonctures et
stratégies de par le monde.
Donc, pourquoi
pas un Nobel de la paix pour le roi du Maroc, en guise de reconnaissance pour l’effort de partage de cette volonté moderniste drainant des perspectives
plurielles de liberté d’égalité de développement et de paix, non pas
qu’au Maroc mais aussi en Afrique au Proche-Orient et ailleurs ? Surtout à un
moment ou certains politiques aventuriers, voudraient arraisonner la
revitalisation des défis de l’Afrique seulement à leur avantage. En ce sens, le
Roi Mohamed VI n’a-t-il pas pris ses responsabilités en appelant les africains hommes
et femmes à ouvrir les yeux, discours d’Abidjan 2014 faisant foi ? D’abord,
sur l’avenir de par les exigences énormes qui attendent l’Afrique pour répondre
efficacement à la mondialisation, notamment en matière de sauvegarde de
l’environnement et gestion des ressources minières énergétiques forestières
hydrauliques et halieutiques. Puis, sur les grands travaux en infrastructure
dans l’agriculture logistique et transport électrification eau potable et santé,
rendant la vie des populations plus facile plus accessible et surtout leurs
échanges plus pacifistes. Ce qui se traduira ensuite sur l’économie sociale de
proximité par le transfèrement de l’INDH labellisée sans conteste meilleure
expertise marocaine, pour augmenter les chances de réussite et bonne
gouvernance dans les territoires les plus reculés.
D’ailleurs pour
en comprendre la production plurielle de ce référentiel marocain de raison, il
faudrait le lier au charisme et à l’activisme politico-religieux du souverain
en tant que commandeur des croyants. Ne s’agit-il là d’un pari sensé, réaliste
et non fictionnel, dont le souverain en dissipe tous les jours aisément contre
vent et marrées, les tentatives de description sous forme de faisceaux-clichés
douteux et quelques critiques circonspectes. Surtout de la part de groupuscules
violents se déclarant de la lignée jihadiste, qu’au demeurant se nourrit du
banditisme du crime organisé du marché des armes et du terrorisme. À ce propos,
au moins, tous les marocains sont en droit d’en montrer et démontrer la
réussite du pari du Roi de les contrer sereinement à tous les niveaux. Surtout en rendant visibles les offres et aides humanitaires généreuses, même celles s'étant faites dans un contexte de paroxysme de tension comme les hôpitaux de compagne multidisciplinaires à Zaatari Gaza Conakcry Bamako Bissau avec des dons de médicaments aux conséquences plus importantes sur la santé des bénéficiaires. En
revanche, par ce constat encourageant, le Maroc n’est-il devenu sans ambages un
enjeu stratégique de stabilité et de paix dans toute la région, par l'impact de son approche sécuritaire d'anticipation très en vue? Contrairement à
ce qu’en colportent des cracheurs de leur haine et rancune, de par leur
conversion de liberté de ton et prodigalité sans retenue à son vis-à-vis. Ne voulant reconnaître qu’il y a là une opportunité de faire preuve de solidarité, pour
promouvoir la tolérance l’ouverture la médiation et la paix.
N’est-ce pas la
nouvelle impulsion d’idées du Souverain marocain pour la reconstruction d’une Afrique
solidaire, est faite dans la même optique de partage de toutes ces valeurs, en tenant compte des spécificités
ethnoculturelles et politiques ? Ne va-t-elle pas par ailleurs dans ce
sens, pour assurer un optimisme-cadre de bon voisinage entre les africains, avec
cependant quelques nuances dues à la complexité de l’interprétation des
événements politiques dans certains pays ? Ne se caractérise-t-elle déjà au
Maroc, par des discours dénonçant les caprices et mœurs politiques entre
majorité et opposition faisant mauvais genre aux yeux des marocains ?
Voilà pourquoi à toute fin utile, le comité du Nobel de la paix doit en tenir
compte de ce CV moral et humain du souverain marocain. Et/où, le curseur de
lutte anti terrorisme est aussi de rigueur contribuant à la paix, l’entraide
pour la sécurité collective des peuples et au bien-être de l’humanité avec les
temps qui courent. A BON ENTENDEUR SALUT !
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