vendredi 25 octobre 2013

AU SAHARA MAROCAIN, A BAS LES SUBVENTIONS D’OPÉRATIONS DE SURENCHÈRE ET FILOUTERIES POLITICIENNES CONNEXES A L’INTERNATIONAL ALGÉRO-POLISARIENNE-DEPENDANTES.

    Mais pourquoi l’Algérie reste-t-elle encore dans l’illusion, visant l’instauration de la surenchère durable et cumulative au Sahara marocain ? Pourquoi ne sait-elle pas que l’écrasante majorité des sahraouis, ne cautionne pas ses méthodes répugnantes usant de ses subventions pour agitation et menace ? Pourquoi ne se remet-elle en question, n’a-t-elle de tout temps rencontré ainsi, aussi bien l’opposition de tout le peuple marocain face à ses turpitudes et manigances, que celle de l’Etat marocain serein et responsable regimbant avec maîtrise les effets pervers se raccordant chaque fois fortuitement à l’évolution de la situation ? Pourquoi s’essaye-t-elle à ce dumping forcé politicien qui consiste à inonder à son gré les masses médias par le mensonge le dénigrement et la rancune, seulement pour des motifs de rancœur et essai de revanche sur l’histoire de la guerre des sables ? Pourquoi continue-t-elle de toujours perdre sur chacune de ses tentatives à l'encontre du Maroc, croyant illusoirement pouvoir gagner sur le tout au final dans l'affaire du Sahara marocain? Pourquoi ne consent-elle pas qu’elle soit en contradiction avec son propre statut étatique presque sub-bananier militariste-affairiste loin de tout fonctionnement démocratique laissant le peuple algérien au carreau? Pourquoi vouloir incroyablement faire la concurrence au Maroc, ce pays séculaire n’ayant souffert d’aucune domination étrangère des siècles durant, allant constamment de l’avant maîtrisant et révolutionnant ses approches constitutionnelles et institutionnelles sans se soucier de quiconque ? Pourquoi n’émet-elle exagérément que des mesures illusoires pour essayer de montrer quelle est stable, alors qu’elle ne s’adapte même aux circonstances de fabrique de tourmente dans la région aux conséquences immédiates désastreuses en Egypte Libye Tunisie et pays subsahariens? Pourquoi ne met-elle pas en commun les informations fournies qu’elle a, lesquelles débordent amplement les limites des connaissances sur le terrain régional surtout à propos d'Aqmi et/où autres groupuscules mercenaires sous sa botte ?   

       A bas donc les quelques essais de supercheries connexes anti Maroc, type frange du parlement européen algéro-polisarien-dépendant et son analogue structural onusien au penchant Kennedy-Kerryen. Même s’il convient de signaler qu’en général les courants de pensées qui existent actuellement dans pratiquement toutes les instances internationales, abandonnent de plus en plus les mécanismes d’approche séparatiste polisarienne. Ce à quoi, il n’est donc pas étrange pour quelques marocains restant humbles et responsables qu’ils se livrent de temps en temps à la critique mesurée, à propos de ce qu’ils appellent soi-disant la mauvaise conscience d’utilisation de la superbe production du CNDH marocain. Alors même que l’Etat marocain se plie aisément sans complexe à ses suggestions sans hésitation ni tremblement en l'occurrence. D'abord par respect de la constitution dans son volet assez conséquent des droits de l'homme, puis toujours préconisant plus de retenue clairvoyance sans faiblesse avec prise de ses responsabilités en matière de maintien de l’ordre public comme partout dans le monde.

       En effet, c’est vrai, cela a fait naître une véritable révolution de l’esprit marocain, tant sur le plan des idées que celui de l’action pour contrer les groupuscules polisariens manutentionnaires. Dont Hassad nouveau ministre de l’intérieur étant de la maison, a fait une analyse juste à la fois avec calme et détermination à propos des événements lors de la visite de Christopher Ross au Sahara marocain. Et ce, devant les députés sans se laisser emporter par  un quelconque optimisme même relatif, sachant qu’il n’est plus seul à porter jugement voire considérer l’évolution de la situation compte tenu du niveau d’implication de la société civile du CCSE-E et du CNDH. Désormais tout le monde sait que le niveau d’intervention diplomatique officielle, complété de celle parallèle (partis politiques, syndicats et corps socioprofessionnels, RME, associations…), détermine positivement le niveau d’appréciation effective au sein des instances internationales onusiennes où autres. Par conséquent, et de ce fait, le niveau général des idées pour solutionner définitivement cet imbroglio préfabriqué par l’Algérie du temps de Boumediene et Bouteflika, en instaurant l’autogestion dans le cadre de la régionalisation avancée s’en trouverait en bonne protection.    

       Vive les programmations marocaines strictes planifiant le chemin à suivre en ordonnançant l’effectivité de la régionalisation avancée. Il n’en demeure pas moins que l’argument assez confus des productions des troubles sous ordonnance algérienne, serait objectivement passé sous silence par Christopher Ross ne voulant plus gaspiller le temps. D’autant plus se montrant, à découvert, finalement intéressé par l’offre marocaine, n’épargnant aucun effort en prévision de cette solution viable à laquelle s’ajouteraient les garanties onusiennes pour assurer continuité et  prospérité du Sahara marocain hautement sécurisé pour tous ses enfants. En ce sens aujourd’hui, n’est-il pas le moment pour nos diplomates officiels et officieux devant ces données nouvelles au Sahara marocain de doubler de vigilance pour pallier les dangers parce que l'Algérie des généraux nababs s'en trouve objectivement larguée à tout point de vue? Et donc se mettre en état de veille et d'écoute sur tout ce qui se trame venant de la part de l'Algérie ses satellites et ses relais, pour ne plus revivre de mauvaise surprise comme l’essai-filouterie ONU-USA d’Avril 2013. Qu’heureusement il s’est soldé sans grande casse par suite à la surchauffe de dernières minutes de diplomates chevronnés, coiffée en hauteur de vue par le plus probant acte politique de Sa Majesté contre cette machinerie menée tambour battant par les ennemis. Dont les receleurs de la discorde en interne comme en externe, parmi eux, quelques disciples algéro-polisarien-dépendants en rêvent qu’ils pourraient cette fois-ci s’appliquer pour la réitérer et imposer au Maroc leur régulation des droits de l’homme via MUNIRSO. Oubliant de surcroît que ce secouement est à l’origine du nouveau réveil de l’élite marocaine des associations des partis politiques des syndicats des corporatismes socioprofessionnels, poussant les officiels de sortir des temps morts de la pensée unique en gestion du dossier Sahara marocain.


       N’est-ce pas par ailleurs qu’à ce titre que les incartades et couacs d’Othmani Saad Eddine ces deux dernières années, lui ont coûté son écartement ? Parce que peut être on pensait qu’avec lui une fois la phase de formatage terminée, il allait subir le cycle inévitable des phases de recombinaison comme à l’ancien temps. Sauf qu'il n'en a rien été, étant resté trop ardoganisé morsisé voie ghannouchisé au point de ne pas avoir la capacité de discernement de mesurer où se trouve l’intérêt de son pays. Ayant obligé le palais à réviser de fond en comble sa théorie conjoncturelle de ne laisser plus d’espace au ministre tutélaire titulaire aux affaires étrangères, dont la nomination d’Amrani au cabinet royal en est un signe avant coureur. Ainsi, à la lumière de tout ceci, ce qui attend Mezouar n’est pas seulement d’affronter les situations difficiles seulement par la phraséologie diplomatique mais en usant de mesures toniques sur le terrain en parfaite harmonie avec le palais et aussi en concordance sans ambages avec les désirs du peuple marocain ne supportant plus l'encaissement des coups sans réagir. 

       C'est vrai qu’il est rare que la célébrité à la façon des athlètes, n’impacte pas le rayon d’action d’une fonction ministérielle, soit-elle des affaires étrangères et de la coopération. Sauf qu’il n’est pas aussi impossible qu’un politique expert comptable économiste de surcroît, ne soit un excellent diplomate capable d’utiliser au mieux l’intelligence organisée pour une production juste et équitable de prévoyance d’hic voire danger. En d’autres termes chez Mezouar cet homme du marché politique, c’est à ce niveau qu’interviendront les meilleures notions de formatage et profilage pour qu’il entame son périple diplomatique sans aucune faiblesse en se préparant à la venue prochaine de John Kerry au Maroc.   

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