Mais pourquoi l’Algérie reste-t-elle
encore dans l’illusion, visant l’instauration de la surenchère durable et
cumulative au Sahara marocain ? Pourquoi ne sait-elle pas que l’écrasante
majorité des sahraouis, ne cautionne pas ses méthodes répugnantes usant de ses
subventions pour agitation et menace ? Pourquoi ne se remet-elle en
question, n’a-t-elle de tout temps rencontré ainsi, aussi bien l’opposition de
tout le peuple marocain face à ses turpitudes et manigances, que celle de l’Etat marocain serein et responsable regimbant avec maîtrise les effets pervers se raccordant chaque fois
fortuitement à l’évolution de la situation ? Pourquoi s’essaye-t-elle à ce
dumping forcé politicien qui consiste à inonder à son gré les masses médias par
le mensonge le dénigrement et la rancune, seulement pour des motifs de rancœur et essai de revanche sur
l’histoire de la guerre des sables ? Pourquoi continue-t-elle de toujours
perdre sur chacune de ses tentatives à l'encontre du Maroc, croyant illusoirement pouvoir gagner sur
le tout au final dans l'affaire du Sahara marocain? Pourquoi ne consent-elle pas qu’elle soit en
contradiction avec son propre statut étatique presque sub-bananier militariste-affairiste loin de tout
fonctionnement démocratique laissant le peuple algérien au carreau? Pourquoi vouloir incroyablement faire la concurrence
au Maroc, ce pays séculaire n’ayant souffert d’aucune domination étrangère des
siècles durant, allant constamment de l’avant maîtrisant et révolutionnant ses
approches constitutionnelles et institutionnelles sans se soucier de
quiconque ? Pourquoi n’émet-elle exagérément que des mesures illusoires
pour essayer de montrer quelle est stable, alors qu’elle ne s’adapte même aux
circonstances de fabrique de tourmente dans la région aux conséquences
immédiates désastreuses en Egypte Libye Tunisie et pays subsahariens? Pourquoi
ne met-elle pas en commun les informations fournies qu’elle a, lesquelles
débordent amplement les limites des connaissances sur le terrain
régional surtout à propos d'Aqmi et/où autres groupuscules mercenaires sous sa botte ?
A bas donc les quelques essais de supercheries
connexes anti Maroc, type frange du parlement européen algéro-polisarien-dépendant
et son analogue structural onusien au penchant Kennedy-Kerryen. Même s’il
convient de signaler qu’en général les courants de pensées qui existent
actuellement dans pratiquement toutes les instances internationales,
abandonnent de plus en plus les mécanismes d’approche séparatiste polisarienne.
Ce à quoi, il n’est donc pas étrange pour quelques marocains restant humbles et responsables qu’ils se livrent de
temps en temps à la critique mesurée, à propos de ce qu’ils appellent soi-disant
la mauvaise conscience d’utilisation de la superbe production du CNDH marocain.
Alors même que l’Etat marocain se plie aisément sans complexe à ses suggestions sans hésitation ni
tremblement en l'occurrence. D'abord par respect de la constitution dans son volet assez conséquent des droits de l'homme, puis toujours préconisant plus de retenue clairvoyance sans faiblesse avec prise de ses responsabilités en matière de maintien
de l’ordre public comme partout dans le monde.
En effet, c’est vrai, cela a fait naître
une véritable révolution de l’esprit marocain, tant sur le plan des idées que
celui de l’action pour contrer les groupuscules polisariens manutentionnaires.
Dont Hassad nouveau ministre de l’intérieur étant de la maison, a fait une
analyse juste à la fois avec calme et détermination à propos des événements
lors de la visite de Christopher Ross au Sahara marocain. Et ce, devant les
députés sans se laisser emporter par un quelconque
optimisme même relatif, sachant qu’il n’est plus seul à porter jugement voire
considérer l’évolution de la situation compte tenu du niveau d’implication de
la société civile du CCSE-E et du CNDH. Désormais tout le monde sait que le
niveau d’intervention diplomatique officielle, complété de celle parallèle
(partis politiques, syndicats et corps socioprofessionnels, RME,
associations…), détermine positivement le niveau d’appréciation effective au
sein des instances internationales onusiennes où autres. Par conséquent, et de
ce fait, le niveau général des idées pour solutionner définitivement cet
imbroglio préfabriqué par l’Algérie du temps de Boumediene et Bouteflika, en
instaurant l’autogestion dans le cadre de la régionalisation avancée s’en
trouverait en bonne protection.
Vive les programmations marocaines
strictes planifiant le chemin à suivre en ordonnançant l’effectivité de la
régionalisation avancée. Il n’en demeure pas moins que l’argument assez confus
des productions des troubles sous ordonnance algérienne, serait objectivement passé
sous silence par Christopher Ross ne voulant plus gaspiller le temps. D’autant
plus se montrant, à découvert, finalement intéressé par l’offre marocaine,
n’épargnant aucun effort en prévision de cette solution viable à laquelle
s’ajouteraient les garanties onusiennes pour assurer continuité et prospérité du Sahara marocain hautement
sécurisé pour tous ses enfants. En ce sens aujourd’hui, n’est-il pas le moment
pour nos diplomates officiels et officieux devant ces données nouvelles au
Sahara marocain de doubler de vigilance pour pallier les dangers parce que l'Algérie des généraux nababs s'en trouve objectivement larguée à tout point de vue? Et donc se mettre en état de veille et d'écoute sur tout ce qui se trame venant de la part de l'Algérie ses satellites et ses relais, pour ne
plus revivre de mauvaise surprise comme l’essai-filouterie ONU-USA d’Avril 2013. Qu’heureusement il
s’est soldé sans grande casse par suite à la surchauffe de dernières minutes de
diplomates chevronnés, coiffée en hauteur de vue par le plus probant acte
politique de Sa Majesté contre cette machinerie menée tambour battant par les
ennemis. Dont les receleurs de la discorde en interne comme en externe, parmi eux,
quelques disciples algéro-polisarien-dépendants en rêvent qu’ils pourraient
cette fois-ci s’appliquer pour la réitérer et imposer au Maroc leur régulation
des droits de l’homme via MUNIRSO. Oubliant de surcroît que ce secouement est à
l’origine du nouveau réveil de l’élite marocaine des associations des partis politiques des syndicats des corporatismes socioprofessionnels, poussant les officiels de
sortir des temps morts de la pensée unique en gestion du dossier Sahara
marocain.
N’est-ce pas par ailleurs qu’à ce titre
que les incartades et couacs d’Othmani Saad Eddine ces deux dernières années,
lui ont coûté son écartement ? Parce que peut être on pensait qu’avec lui
une fois la phase de formatage terminée, il allait subir le cycle inévitable
des phases de recombinaison comme à l’ancien temps. Sauf qu'il n'en a rien été, étant resté trop ardoganisé morsisé voie ghannouchisé au point de ne pas avoir la capacité de discernement de mesurer où se trouve l’intérêt de son pays. Ayant obligé le palais à
réviser de fond en comble sa théorie conjoncturelle de ne laisser plus d’espace
au ministre tutélaire titulaire aux affaires étrangères, dont la nomination
d’Amrani au cabinet royal en est un signe avant coureur. Ainsi, à la lumière de
tout ceci, ce qui attend Mezouar n’est pas seulement d’affronter les situations
difficiles seulement par la phraséologie diplomatique mais en usant de mesures toniques sur le terrain en parfaite harmonie avec le palais et aussi en concordance sans ambages avec les désirs du
peuple marocain ne supportant plus l'encaissement des coups sans réagir.
C'est vrai qu’il est rare que la célébrité à la façon des athlètes, n’impacte pas le rayon d’action d’une fonction ministérielle, soit-elle des affaires étrangères et de la coopération. Sauf qu’il n’est pas aussi impossible qu’un politique expert comptable économiste de surcroît, ne soit un excellent diplomate capable d’utiliser au mieux l’intelligence organisée pour une production juste et équitable de prévoyance d’hic voire danger. En d’autres termes chez Mezouar cet homme du marché politique, c’est à ce niveau qu’interviendront les meilleures notions de formatage et profilage pour qu’il entame son périple diplomatique sans aucune faiblesse en se préparant à la venue prochaine de John Kerry au Maroc.
C'est vrai qu’il est rare que la célébrité à la façon des athlètes, n’impacte pas le rayon d’action d’une fonction ministérielle, soit-elle des affaires étrangères et de la coopération. Sauf qu’il n’est pas aussi impossible qu’un politique expert comptable économiste de surcroît, ne soit un excellent diplomate capable d’utiliser au mieux l’intelligence organisée pour une production juste et équitable de prévoyance d’hic voire danger. En d’autres termes chez Mezouar cet homme du marché politique, c’est à ce niveau qu’interviendront les meilleures notions de formatage et profilage pour qu’il entame son périple diplomatique sans aucune faiblesse en se préparant à la venue prochaine de John Kerry au Maroc.