Mais pourquoi toujours cet embarras d'obtempérer de l’administration américaine vis-à-vis du Sahara marocain?
Aujourd’hui plus qu’hier au Maroc à
l’aune du quatorzième anniversaire du nouveau règne, l’expression désormais
célèbre « Achaab yourid » représente une façon claire du désir
du peuple pour le changement de braquet de gouvernance dans le Sahara marocain. Par conséquent, de fait, elle prendrait toute sa charge significative d’aller de l’avant dans
le traitement rapide de cette affaire préfabriquée par l’Algérie de Boumediene
avec bénédiction de la Libye
de Kadhafi et d’autres sous-traitants longtemps restés dans l’ombre. Pour cela, il advient
alors en procédant à l’assainissement strict du jeu de souffrance entretenu au
Sahara par des vendeurs de leurs âmes, de donner l’exemple du bon vouloir des
sahraouis eux-mêmes d’arrêter définitivement cet écoulement inspiré pour une
large part par des motivations dictées de l’extérieur.
N'est-ce pas par ailleurs, que peu de mots suffiraient
à donner du tonus à cet appel de marocanité des territoires dans le but de
moralisation de l’action publique entre autre? C'est-à-dire situer l’action
politique en premier dans cette zone délimitée connue et sécurisée, pour passer à la phase d’autogestion dans l’esprit de la proposition marocaine de régionalisation
avancée en l’occurrence. Et donc, ne plus attendre en se bunkerisant derrière les
tergiversations du gouvernement benkiranisé, n’ayant rien entrepris
politiquement dans ce domaine dans ces régions les unes les autres vis-à-vis
des tentatives de contamination. Alors qu’il fallait surtout passer à
l’offensive par une ligne effective de valorisation politique des frontières
des institutions nationales par rapport à celles régionales en matière de
transfèrement des compétences administratives juridiques et financières au Sahara
sous l’emblème Allah Alwatan Almalik.
C'est parce que toute action politique ne peut être efficace que si l'on connait bien le terrain et les interactions qui s'y greffent de temps à autre pour raison du fil d'actualités parfois imposées. De sorte qu'un tel engagement notamment avec détermination influencerait considérablement l'analyse et la description des observateurs nationaux et étrangers, ne pouvant que confirmer l'unité des marocains dans la recherche d'une solution politique viable, car d'emblée ayant ouvert le chantier sans aucun complexe du respect des valeurs universelles des droits de l'homme sur tous le territoire marocain. Ce qui laisserait l’administration Obama doublement Kerry dépendante sans outils de pression, parce qu’apparemment n’ayant avalé leur déconfiture du mois d’Avril, voulant projeter l’installation d’ébauche de contrôle onusien du respect des droits de l’homme au Sahara. Dont on soupçonne un désir caché du lobby Kerry Kennedy, où aurait été promis pratiquement l’indépendance au moyen cour aux renégats polisariens, si on s’en réfère aux signaux échangés avec les généraux nababs algériens pour quelques dinars petro gaziers.
C'est parce que toute action politique ne peut être efficace que si l'on connait bien le terrain et les interactions qui s'y greffent de temps à autre pour raison du fil d'actualités parfois imposées. De sorte qu'un tel engagement notamment avec détermination influencerait considérablement l'analyse et la description des observateurs nationaux et étrangers, ne pouvant que confirmer l'unité des marocains dans la recherche d'une solution politique viable, car d'emblée ayant ouvert le chantier sans aucun complexe du respect des valeurs universelles des droits de l'homme sur tous le territoire marocain. Ce qui laisserait l’administration Obama doublement Kerry dépendante sans outils de pression, parce qu’apparemment n’ayant avalé leur déconfiture du mois d’Avril, voulant projeter l’installation d’ébauche de contrôle onusien du respect des droits de l’homme au Sahara. Dont on soupçonne un désir caché du lobby Kerry Kennedy, où aurait été promis pratiquement l’indépendance au moyen cour aux renégats polisariens, si on s’en réfère aux signaux échangés avec les généraux nababs algériens pour quelques dinars petro gaziers.
N’est-ce pas que cette idée de faire face aux tentatives synthétistes de doute, est le fruit de
réflexion du développement du Sahara préconisé dans la note du CNSE-E du
partant restant Benmoussa. N’a-t-elle pas fait à l'évidence qu’augmenter le sentiment de fierté chez les
sahraouis, de grouper leurs efforts pour échapper à l’intrigue des mercenaires à
la botte de l’Algérie? En plus, et, surtout elle a assuré à tous les marocains un pas important vers le respect strict de la
constitution, jusqu’à arriver à pouvoir automatiquement en promouvoir les
évolutions tenant compte de leur volonté de vivre dans l’unité la
sécurité et la paix sans grabuges ni brouhaha. Bien sur tout cela sans toucher
aux fondamentaux de la royauté que tous de Tanger à Lagouira adorent,
ni imposer selon les événements des
restrictions des droits de l’homme et/où libertés individuelles et
collectives. Non pas pour faire plaisir aux USA, mais par conviction de faire
encore mieux dans ce domaine et donner une bonne image du Maroc nouveau qui se
construit à pas sûrs.
A cet effet, n’est-il pas temps de
réactiver pour de bon les gardes fous d’auto régularisation de l’action de
l’Exécutif gouvernemental préfigurant dans la constitution du 01 Juillet
2011 ? D’abord, pour faire cesser les irrégularités et autres antinomies de
fonctionnalité que la cour constitutionnelle pourrait débouter voire retoquer.
Ensuite, d’éviter tout autre renverse de gouvernance, par la rente où
préférence tribale consanguine voire de castes, que la loi jugerait
répréhensible. Comme ce que le Maroc malheureusement a vécu dans les
territoires du Sahara d’un passé récent au sein de certains départements
ministériels tels ceux de la pêche et mines. Dont Benkirane en fait fi
aujourd’hui (Aafa Allah Aamma Salaf), après avoir lâché ses crieurs pour faire
face à l’écho salutaire de la visite de Chabat l’istiqlalien au Sahara marocain. Tout ceci, rien
que pour sauver son poste et celui de ses acolytes PJDistes, maintenant que les
istiqlaliens ont claqué la porte du gouvernement l’ayant laissé entre dilemme
de faire appel à un ennemi caractérisé d’hier si ce n'est à d'autres aussi, et jet volontaire d’éponge parce
que ne pouvant basculer vers l’inconnu par des élections anticipées, en plus pouvant s’interpréter sorte de défi lancé à qui de droit avec les temps qui courent.
Aussi, n’en déplaise aux clameurs ne
faisant montre que d’esprit interventionniste de l'Exécutif en leur faveur, étant
fondamentalement attachés à leurs privilèges politiciens du moment. Ne pensent-ils pas qu’à toute entorse
au bon déroulement du fonctionnement de l’Etat, ne pourrait automatiquement se
manifester un arbitrage royal (article 42) ? Dont le rôle décisionnel ne serait
à chaque fois où il a lieu, seulement d’apaisement juste efficace et promotionnel
d’entente entre les protagonistes, comme ce qu'on a vécu dans la crise Chabat-Benkirane. Mais la question que tout le monde se pose,
pourquoi à ce jour la puissance politique de l’Exécutif sous Benkirane cachait
sa faiblesse face à ces castes rentières au Sahara ? Comme partout
ailleurs, dont il n’y put deux ans après prendre conscience se laissant traîner
dans sa religiosité politicienne, dont l’ami Baha en a expliqué clairement le
fondement de l'inexistence de projet sociétal PJDiste, tout en brouillant le message délivré par sa parenthèse d’historicité
événementielle incorrectement dite ? Parce que, si vraiment ça continue
encore comme ça avec le futur gouvernement sous domination PJDistepour raison de pure politique, c’est de l’application
des autres dispositions (article 47 où carrément article 174) dont il faudrait
s’en acquérir pour tenir en échec les ambitions des faucons PJDistes par l'emphase, de
surcroît n'ayant que de fausses griffes et ne pouvant faire face aux mystères de l’Ouest tellement Kerrynophiles, vu leur incompétence démontrée qu'on le veuille où pas dans le domaine diplomatique.
Evidemment, qu’il y a une différence
entre combat politique des institutions, et celui réglementé des partis
politiques de l’opposition comme de la majorité dans le cadre de la diplomatie
parlementaire pour ne pas se laisser faire. Sans en perdre le vraie potentiel
constitutionnel de surcroît fort du concept d’union nationale, s’ajoutant à
d’autres combats revendicatifs des intellectuels et groupes d’influence. Même
si, ils sont parfois non reconnus pour raison d’encombrement des canaux diplomatiques, mais tolérés à
l’exemple de ceux des mouvements issus de la société civile et des MRE. Qu’en plus de par l’étendue
de leurs propos dans les médias et sur les réseaux sociaux, la rapidité presque
insoupçonnable de leurs réactivités sur la toile traitant le contre-balancement
onusien en Avril 2013 les a fait aussi maîtres du jeu politique.
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