samedi 25 mars 2023

C'EST QUOI CE PLAN INFERNAL DE DÉMILITARISATION DE LA ZONE TAMPON À L'EST DU MUR ?




TOUS, CONTRE LE PLAN DIABOLIQUE QU'AHMED ATTAF PRÉPARE AVEC LA FRANCE CONTRE LE MAROC.


      Aujourd'hui, le ministre algérien des Affaires Étrangères Ahmed ATTAF ne dit plus, comme du temps de Ramtane LAAMAMRA, la nouvelle Algérie. Parce qu'il est convaincu que les historiens mettent l'accent sur 61 ans d'indépendance plus dramatique pour le peuple algérien. Tandis que le voisin de l'Ouest a fait un bon de géant par son rayonnement politico-diplomatique, protégeant autant ses acquis socio-économiques que ses symboles de souverainité sur tous ses territoires de Tanger à Lagouira. À dire vrai, ne faut-il en comprendre que cet ancien-nouveau ministre algérien ne tiendra pas, non plus, devant les perspectives offensives de son homologue marocain Nasser BOURITA ? S'ajoutant aux dimensions géopolitiques des desseins controffensifs qui font peur aux "Kabranates", pour la récupération du Sahara Oriental marocain. N'est-ce, cela permettra d'écarter le plan infernal de proposition de démilitarisation de la Zone Tampon que prépare Ahmed ATTAF sous-contrôle de capteurs de DGSE et DRS ? Et ce, comme garantie de voir le Maroc ne revenir au concept du bon sens de l'Histoire de Chenguitt en Mauritanie et de Bachar Tindouf Saoura Touat Laabadla Knadssa au Sahara Oriental. Comprendront, ceux qui pourront ! 


       Néanmoins, il est clair qu'avec ce qui se passe dans la région Sahel-subsaharienne cela n'ira pas, qu'il ne le veuille ou pas, dans l'intérêt de ses vrais patrons en l'occurrence "Kabranates-França". Notamment, sur un certain nombre de sujets concernant leur longévité au pouvoir, eu égard non seulement du "Hirak" qui revient en force, mais aussi de la mobilisation des marocains pour le symbole de cette même Histoire. Comme ça, l'on peut d'ores et déjà dire, que ça sera un syndrome de désavantage de toute conscription pour faire la guerre contre le voisin de l'Ouest. Au point que l'on doit aussi se poser la question sur le chaos de la désintégration de l'Algérie qui s'annonce. Dont, Ahmed ATTAF Said CHENGRIHA et le menteur et toujours grisé Abdelmajid TEBBOUNE ne peuvent y remédier même avec des sorties médiatiques risibles sur les chaines Aljazeera et/où autres. D'autant plus, tout le monde sait que ce recours diabolique sur le fond et sur la forme hors cadrage de l'ONU via la Minurso, est monté et affiné sous tutelle de la France apeurée et préoccupée par la main-mise du Maroc sur l'Afrique occidentale et pas seulement.


       À cet effet, n'est-ce le parfum des rebelions des Wilayas qui recommence à diffuser après l'arrivée d'Ahmed ATTAF et auxquelles, sans doute, feront face par le bâton et la corruption CHENGRIHA et TEBBOUNE ? Biensûr, ceci aboutira sans doute à une logique systémique sur les reconversions diplomatiques que ce ministre est contraint de faire vis-à-vis du Maroc dans l'avenir proche. Évidemment, pour les observateurs assidus, c'est un aveu d'échec qu'il doit faire oublier en essayant de couper le Maroc de tous ses soutiens à l'UA. En usant, tant bien que mal d'actions diplomatiques protéiformes à tout bout de champ, même sachant qu'une partie de ses subalternes au ministère non contents de sa nomination, improviseront pour le mettre personnellement en difficulté. Ce qui, par ailleurs, n'apaisera guère les gueguerres internes dans les sphères du pouvoir, majoritairement récalcitrantes à plus de tensions avec tous les pays africains pro Maroc. Un constat cuisant, d'où ils n'ont d'altérnative que de relever la barre de l'offre financière dans leur continuum de la politique du chéquier ouvert à qui s'y interesse. À bon suiveur, bon décryptage !

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