LA RÉSOLUTION 2654 DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU, UN ECHEC IRRÉMÉDIABLE DU POUVOIR ALGÉRIEN.

L'ALGÉRIE IMPITOYABLEMENT MISE À L'INDEX ET LE PORT DU CHIFFON POLISARIEN INTERDIT AUX NATIONS-UNIES.

       Heureux qui a compris les différentes explications des votes de la Russie et Kenya sur la Résolution 2654 du Conseil de Sécurité de l'ONU à propos du conflit du Sahara marocain. Il s'agit de forme de résistance hative dont tout un chacun connait la valeur diplomatique nulle. Une sorte de caisse de résonnance à la mesure de retrait de leur soutien à l'Algérie des "Kabranates" sans le dire de façon directe. Mais que s'est-il exactement passé, et que signifient leurs monologues insipides après le vote de ce jour ? C'est vrai, on le sait relativement peu sur les causes qui les ont poussé à tarder à faire de sérieux progrès dans la compréhension de l'offre marocaine d'autonomie 2007. Pourtant, il semble précisément prouvé que leur position titubante et chancelante n'est pas indispensable et qu'elle ne modifie nullement la perspective de la victoire diplomatique du Maroc. Elle n'arrêtera en rien le processus du choix des 13 autres pays membres dont les 4 permanents à aller de l'avant vers la solution politique préconisée par le Maroc. Surtout à dépasser l'endormissement qui résulte de l'activisme du trio du mal l'Algérie l'Iran et l'Afrique du sud. Dont, l'on sait que c'est la maximalisation de marquer leur posture du désir refoulé de maintenir le conflit à l'état de veille du fait des données géopolitiques et géostratégiques du moment en défaveur du séparatisme.

       Le fait que la France n'ait pas agi par traîtrise, rendait sa position d'autant plus interessante. Car, à l'évidence nous pensions qu'elle s'est constituée ces derniers temps comme obstacle au développement du Maroc et qu'elle allait le refaire contre l'intégrité territoriale au Conseil de Sécurité de l'ONU. Et ce, du fait de son rapprochement de l'Algérie tebbounienne, et d'où elle fut irrémédiablement jetée sur des tas de problèmes au sein de l'UE par l'Allemagne la Belgique et l'Espagne. Sans oublier ceux géopolitiques et géostratégiques en Afrique de par l'aura du Roi Mohamed VI l'ayant contraint à se résigner. Quant à la Russie c'est le minimum qu'on attendait d'elle, du fait de sa guerre incertaine contre l'Ukraine pour ne pas dire l'OTAN. Comprendront, ceux qui pourront ! Par contre le Kenya, il a montré un éventail assez complet de toutes ses contradictions aux dépens du nouveau temps politique après l'élection du président William TORO. En effet, le Conseil de Sécurité de l'ONU attribue aux "Kabranates" vert-kaki algériens la mauvaise foi dans leur hostilité à la thèse marocaine. Constituant, de fait, l'obstacle majeur à la réunification des sahraouis recensés par l'Espagne en 1974 mais séquéstrés dans des conditions inhumaines dans les camps de la honte avec les leurs au Sahara marocain. C'est ainsi, l'on peut dire l'Algérie est réprimée et le port du chiffon polisarien est interdit aux Nations-Unies. À bon entendeur et suiveur, salut !